Deux évènements ont marqué le secteur radiophonique en novembre dernier. Le premier est passé presque inaperçu : il s’agit du quarantième anniversaire de la modulation de fréquence. Le 9 novembre 1981 a marqué "la libéralisation des ondes". C’est à cette date que les radios locales ont pu officiellement émettre en France grâce à la loi no 81-994 portant dérogation au monopole d’État de la radiodiffusion. Curieusement, cet anniversaire n’a pas eu l’écho qu’il aurait mérité.
Le second évènement, c’est le changement d’appellation de la 126 000 Radio devenue EAR comme "Étude Audience Radio" ou comme "oreille", en anglais dans le texte. Dans le Landerneau de la radio, c’est une petite révolution : la 126 000 ponctuait quatre fois par an la vie des professionnels depuis les années 90. Elle avait été précédée par la 75 000 +, elle-même précédée par la 55 000, dès le milieu des années 80. Pour autant, l’étude EAR préserve son ADN : distribuer les bonnes, et les mauvaises, notes quatre fois par an.
Comme en 2021, il n’y aura pas de Salon de la Radio en 2022. Le terrain sanitaire est encore trop sablonneux pour se risquer à réunir près de 7 000 professionnels de la radio et de l’audio digital sous la Grande Halle de la Villette à Paris. Croyez bien qu’il s’agit d’un crève-cœur pour l’équipe des Éditions HF. Mais, à défaut de grives, on mangera des merles. Nous proposerons une nouvelle RadioWeek, du lundi 17 au vendredi 21 janvier. Un évènement gratuit et exclusivement en distanciel dont le fil rouge sera l’audience hertzienne et numérique.
Avec quelques jours d’avance, nous vous souhaitons un joyeux Noël et de belles fêtes de fin d’année. Cette trêve des confiseurs qui se dessine à l’horizon est une période idéale pour lever le pied et se reposer, après une année 2021 particulièrement épuisante. Cette période est surtout une opportunité pour faire le bilan et, pour les plus courageux d’entre nous, de se fixer de nouveaux défis à réaliser en 2022.
Le second évènement, c’est le changement d’appellation de la 126 000 Radio devenue EAR comme "Étude Audience Radio" ou comme "oreille", en anglais dans le texte. Dans le Landerneau de la radio, c’est une petite révolution : la 126 000 ponctuait quatre fois par an la vie des professionnels depuis les années 90. Elle avait été précédée par la 75 000 +, elle-même précédée par la 55 000, dès le milieu des années 80. Pour autant, l’étude EAR préserve son ADN : distribuer les bonnes, et les mauvaises, notes quatre fois par an.
Comme en 2021, il n’y aura pas de Salon de la Radio en 2022. Le terrain sanitaire est encore trop sablonneux pour se risquer à réunir près de 7 000 professionnels de la radio et de l’audio digital sous la Grande Halle de la Villette à Paris. Croyez bien qu’il s’agit d’un crève-cœur pour l’équipe des Éditions HF. Mais, à défaut de grives, on mangera des merles. Nous proposerons une nouvelle RadioWeek, du lundi 17 au vendredi 21 janvier. Un évènement gratuit et exclusivement en distanciel dont le fil rouge sera l’audience hertzienne et numérique.
Avec quelques jours d’avance, nous vous souhaitons un joyeux Noël et de belles fêtes de fin d’année. Cette trêve des confiseurs qui se dessine à l’horizon est une période idéale pour lever le pied et se reposer, après une année 2021 particulièrement épuisante. Cette période est surtout une opportunité pour faire le bilan et, pour les plus courageux d’entre nous, de se fixer de nouveaux défis à réaliser en 2022.
Téléchargez ce nouveau et 138e numéro ICI.
Rédigé par Brulhatour le Lundi 13 Décembre 2021 à 20:20
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Vous connaissez ce célèbre proverbe. Depuis la nuit des temps, la qualité de l’outil impacte considérablement sur la qualité du travail et donc, indirectement sur la qualité des produits et des services. Ça vaut pour tous les corps de métiers et donc, ça vaut aussi pour le secteur du podcast. De bons outils font généralement de bons podcasts.
Je rappelle ici qu’il y a deux sortes de podcasteurs. Les premiers sont ceux qui ont du temps à tuer. Ils sont pour s’amuser, pour faire plaisir et se faire plaisir. Pour eux, ce ne sont pas les outils qui comptent mais la philosophie de leur démarche qui compte et qui, souvent n’est pas négociable. Et puis, il y a la seconde catégorie : celle des podcasteurs qui sont là pour générer de l’audience, une audience qui va leur permettre d’entamer un processus de monétisation et donc, de générer des revenus. Pour eux, le choix des outils est pris en comptent. Ce que l’on appelle de l’investissement. Le matériel sera amorti. Tout un processus comptable se met en place. Ce sont des podcasteurs très exigeants et notamment donc dans le choix du matériel.
En fonction donc de la catégorie dont vous faites partie, vous avez compris que la vision est différente et que l’approche ne nécessite pas le même investissement.
En fonction donc de la catégorie dont vous faites partie, vous avez compris que la vision est différente et que l’approche ne nécessite pas le même investissement.
Zoom H5, DT 770 et LEM
Chaque ouvrier à sa boîte à outils : les outils qui lui sont familiers et qu’il aime utiliser. Alors, je ne sais pas ce que vous avez dans votre boîte à outils mais je vais vous ouvrir la mienne. Je vais vous parler de ce que je connais.
D’abord, je travaille avec un Zoom H5. Je ne l’ai pas choisi, on me l’a conseillé. Je ne suis pas un spécialiste mais ce Zoom H5 a le mérite de faire le job, dans toutes les conditions, c’est ce qu’on lui demande et il le fait. Il est très simple d’utilisation et n’est pas encombrant (l’encombrement, c’est vraiment un souci). Il faut compter environ 250 euros pour acquérir un Zoom H5.
Ensuite, j’utilise un casque. Un DT 770 Pro. Il est extrêmement hermétique et très confortable mais très encombrant. Il faut compter environ 130 euros.
Ensuite, il vous faut un micro. Vous pouvez utiliser le micro prémonté sur votre Zoom. Mais, en ce qui me concerne, j’utilise un micro spécifique pour les interviews (un LEM 21B par exemple qui coûte aux alentours de 300 euros) et un micro parabole pour les ambiances extérieures dont l’investissement est, approximativement, de 700 euros. Grosso modo pour un investissement de 1 500 euros, vous pouvez commencer à enregistrer.
Chaque ouvrier à sa boîte à outils : les outils qui lui sont familiers et qu’il aime utiliser. Alors, je ne sais pas ce que vous avez dans votre boîte à outils mais je vais vous ouvrir la mienne. Je vais vous parler de ce que je connais.
D’abord, je travaille avec un Zoom H5. Je ne l’ai pas choisi, on me l’a conseillé. Je ne suis pas un spécialiste mais ce Zoom H5 a le mérite de faire le job, dans toutes les conditions, c’est ce qu’on lui demande et il le fait. Il est très simple d’utilisation et n’est pas encombrant (l’encombrement, c’est vraiment un souci). Il faut compter environ 250 euros pour acquérir un Zoom H5.
Ensuite, j’utilise un casque. Un DT 770 Pro. Il est extrêmement hermétique et très confortable mais très encombrant. Il faut compter environ 130 euros.
Ensuite, il vous faut un micro. Vous pouvez utiliser le micro prémonté sur votre Zoom. Mais, en ce qui me concerne, j’utilise un micro spécifique pour les interviews (un LEM 21B par exemple qui coûte aux alentours de 300 euros) et un micro parabole pour les ambiances extérieures dont l’investissement est, approximativement, de 700 euros. Grosso modo pour un investissement de 1 500 euros, vous pouvez commencer à enregistrer.
Mixer et monter
À cela, vous devrez ajouter un logiciel de montage : SounForge ou Samplitude. Personnellement, j’utilise Audobe Audition que j’ai découvert il y a plus de 20 ans sous l’appellation Cool Edit Pro. Ce n’est pas très compliqué. Vous pouvez enregistrer, mixer et exporter du contenu audio pour un podcast par exemple. Sur une session multipiste, vous pouvez couper, ajouter, effacer, recommencer, raccourcir le son, le travailler… Bref, il y a 1 001 possibilités. Mais si vous débutez, Adobe n’est pas forcément le meilleur choix. Je conseille d’abord de vous faire la main sur Audacity…
Voilà pour le contenu de cette boite à outils. Rien de bien extraordinaire.
Donc, n’oubliez pas que "Les bons outils font les bons ouvriers".
À cela, vous devrez ajouter un logiciel de montage : SounForge ou Samplitude. Personnellement, j’utilise Audobe Audition que j’ai découvert il y a plus de 20 ans sous l’appellation Cool Edit Pro. Ce n’est pas très compliqué. Vous pouvez enregistrer, mixer et exporter du contenu audio pour un podcast par exemple. Sur une session multipiste, vous pouvez couper, ajouter, effacer, recommencer, raccourcir le son, le travailler… Bref, il y a 1 001 possibilités. Mais si vous débutez, Adobe n’est pas forcément le meilleur choix. Je conseille d’abord de vous faire la main sur Audacity…
Voilà pour le contenu de cette boite à outils. Rien de bien extraordinaire.
Donc, n’oubliez pas que "Les bons outils font les bons ouvriers".
Boileau est votre ami
N’oubliez pas non plus cette phrase de Boileau (que vous devriez afficher sur l’écran de votre ordinateur pour l’avoir sous les yeux tous les jours) : "Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolissez ; Ajoutez quelquefois, et souvent effacez".
Le succès d’un podcast repose souvent sur plusieurs ingrédients (son contenu, sa philosophie, son style, sa forme…) mais aussi sur son aspect technique : plus votre équipement est de bonne qualité, plus le degré de confortabilité d’écoute de votre podcast est élevé. Les bons outils permettent souvent d’atteindre ce niveau de confort d'écoute qui impacte forcément sur la durée d’écoute donc, sur votre audience globale.
N’oubliez pas non plus cette phrase de Boileau (que vous devriez afficher sur l’écran de votre ordinateur pour l’avoir sous les yeux tous les jours) : "Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolissez ; Ajoutez quelquefois, et souvent effacez".
Le succès d’un podcast repose souvent sur plusieurs ingrédients (son contenu, sa philosophie, son style, sa forme…) mais aussi sur son aspect technique : plus votre équipement est de bonne qualité, plus le degré de confortabilité d’écoute de votre podcast est élevé. Les bons outils permettent souvent d’atteindre ce niveau de confort d'écoute qui impacte forcément sur la durée d’écoute donc, sur votre audience globale.
Casse-ferrailles et traîne-patins
Bon, je n’ai pas eu le temps d’aborder les autres outils qui sont tout aussi importants : l’assise, le plan de travail, l’ordinateur, les logiciels de gestion de temps, l'insonorisation de votre bureau, les To Do List, l’autodiscipline, les habitudes des tâches et... l’entourage qui joue un rôle indirect dans la production. Je rappelle que l’on ressemble toujours aux 2 ou 3 personnes avec lesquelles on traine habituellement. Donc, si vous trainez avec des casse-ferrailles et des traîne-patins, c'est pas gagné...
Bon, je n’ai pas eu le temps d’aborder les autres outils qui sont tout aussi importants : l’assise, le plan de travail, l’ordinateur, les logiciels de gestion de temps, l'insonorisation de votre bureau, les To Do List, l’autodiscipline, les habitudes des tâches et... l’entourage qui joue un rôle indirect dans la production. Je rappelle que l’on ressemble toujours aux 2 ou 3 personnes avec lesquelles on traine habituellement. Donc, si vous trainez avec des casse-ferrailles et des traîne-patins, c'est pas gagné...
Produit par la Podcast&Radio House implantée à Brive en Corrèze, "Oppidum, le podcast de l'Histoire du Bas-Limousin" poursuit son exploration de l'histoire régionale avec 4 nouveaux épisodes disponibles en ligne. Au total, on a déjà produit 15 épisodes d'environ 15 minutes chacun et c'est un vrai plaisir d'être aux commandes de ce nouveau challenge !
"Gondolval, Roi de Brive" (n° 7), "Observer le paysage pour remonter le temps" (n° 8), "Deux affaires criminelles emblématiques du Bas-Limousin" (n° 9) et "Au fil de la Vézère" (n° 10) sont les 4 nouveaux numéros qui ont été propulsés aujourd'hui sur l'ensemble des plateformes d'écoute. À suivre "La toponymie occitane de la Montagne limousine" (n° 11), "Les monuments disparus de Brive" (n° 12), "La forge de Savignac-Lédrier" (n° 13), "Les années 70 à Brive : la ruée vers l’Est" (n° 14) et "La papeterie de Vaux à Payzac" (n° 15) accompagneront les auditeurs jusqu'à la fin de cette année 2021.
Des bonus...
Pour aller au-delà de ce que proposent les plateformes d'écoutes habituelles, nous avons fait le choix de mettre en ligne un site exclusivement dédié à ce podcast. Les auditeurs peuvent, non seulement y retrouver l'ensemble des épisodes grâce à un lecteur Audiomeans intégré, mais aussi bénéficier de bonus : des articles de fond, l'iconographie des thèmes abordés, la bibliographie et même des interviews qui permettent de débriefer avec les invités. Je vous invite à découvrir le site ICI. On doit y apporter certains ajustements et autres ajouts. Bref, en faire une belle devanture.
Du travail...
Quel bilan après ces 4 mois de travail ? D'abord, je dirais qu'il faut être (presque) passionné pour s'engager dans un tel projet. Pour moi, l'histoire n'est pas une passion mais simplement un centre d'intérêt, une curiosité. Cela facilite quand même considérablement les choses. J'ai la chance de pouvoir choisir les sujets qui sont abordés. C'est un plus. Je choisis le thème mais aussi l'invité. En amont, je consacre beaucoup de temps au sujet (principalement sous la forme de lectures diverses). Toutes les questions sont rédigées et transmises à l'invité. L'interview s'effectue toujours dans les conditions du direct et le montage intervient dans la foulée pour ne pas perdre le fil.
Des perspectives...
L'audience générée n'est pas strictement locale. C'est assez surprenant, elle déborde sur les régions limitrophes jusqu'en Île-de-France. Dans ma démarche, l'objectif n'est pas forcément de jouer la carte du quantitatif mais de privilégier le qualitatif, donc de proposer un produit de qualité, sans date de péremption. Mon associé Philippe gère la mise en ligne, les visuels, la motorisation du site... Toute le reste me revient. Nous souhaitons pousser jusqu'en juin prochain, soit un total d'environ 40 épisodes qui pourraient être produits sur une saison complète. Ce ne sont pas les thèmes qui manquent mais le temps, je le répète une énième fois, qui nous fait défaut.
Des bonus...
Pour aller au-delà de ce que proposent les plateformes d'écoutes habituelles, nous avons fait le choix de mettre en ligne un site exclusivement dédié à ce podcast. Les auditeurs peuvent, non seulement y retrouver l'ensemble des épisodes grâce à un lecteur Audiomeans intégré, mais aussi bénéficier de bonus : des articles de fond, l'iconographie des thèmes abordés, la bibliographie et même des interviews qui permettent de débriefer avec les invités. Je vous invite à découvrir le site ICI. On doit y apporter certains ajustements et autres ajouts. Bref, en faire une belle devanture.
Du travail...
Quel bilan après ces 4 mois de travail ? D'abord, je dirais qu'il faut être (presque) passionné pour s'engager dans un tel projet. Pour moi, l'histoire n'est pas une passion mais simplement un centre d'intérêt, une curiosité. Cela facilite quand même considérablement les choses. J'ai la chance de pouvoir choisir les sujets qui sont abordés. C'est un plus. Je choisis le thème mais aussi l'invité. En amont, je consacre beaucoup de temps au sujet (principalement sous la forme de lectures diverses). Toutes les questions sont rédigées et transmises à l'invité. L'interview s'effectue toujours dans les conditions du direct et le montage intervient dans la foulée pour ne pas perdre le fil.
Des perspectives...
L'audience générée n'est pas strictement locale. C'est assez surprenant, elle déborde sur les régions limitrophes jusqu'en Île-de-France. Dans ma démarche, l'objectif n'est pas forcément de jouer la carte du quantitatif mais de privilégier le qualitatif, donc de proposer un produit de qualité, sans date de péremption. Mon associé Philippe gère la mise en ligne, les visuels, la motorisation du site... Toute le reste me revient. Nous souhaitons pousser jusqu'en juin prochain, soit un total d'environ 40 épisodes qui pourraient être produits sur une saison complète. Ce ne sont pas les thèmes qui manquent mais le temps, je le répète une énième fois, qui nous fait défaut.
Une rapide définition pour nous mettre en appétit : un hébergeur stocke et distribue. Si vous comprenez cette mécanique, vous avez tout compris du rôle et des avantages que vous pourrez bénéficier de votre futur hébergeur.
D’abord, et dans le cadre du processus de production d’un podcast, il est, certes nécessaire de s’intéresser au choix de son futur hébergeur, mais ce n’est pas une obligation. Plutôt, ce n’est pas une étape urgente. On n’envisage pas de produire un podcast en fonction de l’hébergeur. D’abord, on pense à son podcast, avant de penser à son hébergement. Ce n’est pas au podcast de s’adapter à l’hébergeur mais à l’hébergeur de s’adapter aux podcasts des uns et des autres. C’est un postulat qui doit s’inscrire dans la durée parce que, dans le cas contraire, vous allez devoir respecter un cahier des charges plus imposant. Donc, lorsque vous avez l’idée de lancer un podcast, "prioriser les priorités" : dans l’ordre, son titre, son visuel, son style, sa rythmicité, le matériel utilisé, le temps que vous allez devoir y consacrer. Tout le reste -je ne dis pas que ce n’est pas nécessaire- je dis seulement que ce n’est pas prioritaire.
Primo. Vous n’avez que l’embarras du choix sur le marché de l’hébergement. D’abord : le prix. Écartez tout ce qui est gratuit, ou presque, sauf si vous voulez simplement vous amuser et vous faire plaisir. Si vous avez un autre objectif, payer un service. C’est l’assurance de bénéficier qu’une qualité qu’il est très difficile de bénéficier avec des formules gratuites. Ça vaut pour l’hébergement d’un podcast comme pour la création graphique d’une vignette. Vous payez l’orchestre, vous choisissez la musique, vous avez votre mot à dire. Vous pouvez ne pas être satisfait. Vous devez le faire savoir. Vous êtes le client et, vous connaissez le formule : "le client est roi".
Secundo. Le marché de l’hébergement est loin d’être une jungle. Au bout du fil, ce sont encore et toujours, et le plus souvent, des passionnés. Ce sont des gens, on va dire, de bons conseils. Ils ont d’ailleurs tout intérêt à ce que vous soyez satisfait. Il ne faut pas leur jeter la pierre car l’hébergeur n’est pas le chainon marquant de votre audience. C’est un facilitateur. Et, ce n’est surtout pas la faute de votre hébergeur si votre podcast n’atteint pas l’audience que vous avez envisagée pour lui.
Tertio. L’hébergeur héberge. C’est déjà beaucoup. C’est un métier. Comme celui d’écrire ou de créer des vignettes. On ne s’improvise pas hébergeur. L’hébergeur, plus qu’héberger, il va vous faire gagner du temps. Grâce à sa technologie, il va distiller votre épisode sur de nombreuses plateformes d’écoute en quelques clics. Ça, c’est ce que vous devez retenir : le gain de temps. Mais sa mission s’arrête là. Ce ne sera pas sa faute, je le répète, si votre podcast se retrouve noyé au milieu de millions d’autres. Ce qui fera la différence, c’est vous.
Quartro. Tous les hébergeurs proposent aujourd’hui différentes formules avec des services intéressants. La rapidité d’import, la possibilité d’avoir accès à des chiffres liés à votre audience, les liens simultanés avec les réseaux sociaux, un accompagnement par un membre de l’équipe, la mise en ligne en différé… Il faut prendre un peu de temps et demander, par exemple, un essai gratuit d’un mois pour se faire la main et prendre ses marques…
Le choix d’un hébergeur repose bien souvent sur le bouche-à-oreille, la publicité la plus loyale, rappelons-le. Donc, écoutez ce qui se dit autour de vous, partagez des sentiments, des appréhensions, des expériences et des ressentis. Je ne vous donnerai pas des noms d’hébergeurs à solliciter mais, je me permets de partager avec vous, ma philosophie (qui j’espère sera la vôtre) : vous êtes en France, privilégiez un hébergeur français.
Primo. Vous n’avez que l’embarras du choix sur le marché de l’hébergement. D’abord : le prix. Écartez tout ce qui est gratuit, ou presque, sauf si vous voulez simplement vous amuser et vous faire plaisir. Si vous avez un autre objectif, payer un service. C’est l’assurance de bénéficier qu’une qualité qu’il est très difficile de bénéficier avec des formules gratuites. Ça vaut pour l’hébergement d’un podcast comme pour la création graphique d’une vignette. Vous payez l’orchestre, vous choisissez la musique, vous avez votre mot à dire. Vous pouvez ne pas être satisfait. Vous devez le faire savoir. Vous êtes le client et, vous connaissez le formule : "le client est roi".
Secundo. Le marché de l’hébergement est loin d’être une jungle. Au bout du fil, ce sont encore et toujours, et le plus souvent, des passionnés. Ce sont des gens, on va dire, de bons conseils. Ils ont d’ailleurs tout intérêt à ce que vous soyez satisfait. Il ne faut pas leur jeter la pierre car l’hébergeur n’est pas le chainon marquant de votre audience. C’est un facilitateur. Et, ce n’est surtout pas la faute de votre hébergeur si votre podcast n’atteint pas l’audience que vous avez envisagée pour lui.
Tertio. L’hébergeur héberge. C’est déjà beaucoup. C’est un métier. Comme celui d’écrire ou de créer des vignettes. On ne s’improvise pas hébergeur. L’hébergeur, plus qu’héberger, il va vous faire gagner du temps. Grâce à sa technologie, il va distiller votre épisode sur de nombreuses plateformes d’écoute en quelques clics. Ça, c’est ce que vous devez retenir : le gain de temps. Mais sa mission s’arrête là. Ce ne sera pas sa faute, je le répète, si votre podcast se retrouve noyé au milieu de millions d’autres. Ce qui fera la différence, c’est vous.
Quartro. Tous les hébergeurs proposent aujourd’hui différentes formules avec des services intéressants. La rapidité d’import, la possibilité d’avoir accès à des chiffres liés à votre audience, les liens simultanés avec les réseaux sociaux, un accompagnement par un membre de l’équipe, la mise en ligne en différé… Il faut prendre un peu de temps et demander, par exemple, un essai gratuit d’un mois pour se faire la main et prendre ses marques…
Le choix d’un hébergeur repose bien souvent sur le bouche-à-oreille, la publicité la plus loyale, rappelons-le. Donc, écoutez ce qui se dit autour de vous, partagez des sentiments, des appréhensions, des expériences et des ressentis. Je ne vous donnerai pas des noms d’hébergeurs à solliciter mais, je me permets de partager avec vous, ma philosophie (qui j’espère sera la vôtre) : vous êtes en France, privilégiez un hébergeur français.
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