J’ai vaguement l’impression que si Apple décidait de produire des cardans de voiture ou des tondeuses à gazon, ça marcherait. C’est d’ailleurs assez énervant, un peu exaspérant d’ailleurs, de constater que tout ce que touche ou lance Apple, fonctionne et, surtout rapporte.
Avant d’aborder, le sujet consacré à Apple Podcasts, il faut évoquer le destin tragique de l’iPod. Ce minuscule baladeur numérique a fait les grandes heures de la musique et, indirectement, on va dire probablement, les grandes heures du podcast. Apple a annoncé qu’elle cessait la fabrication de l’iPod. C’est une page de deux décennies qui se tourne parce que c’est grâce à ce genre d’outils que l’industrie (comme les créatifs, les compositeurs, les chanteurs, les musiciens, les producteurs de podcasts) a pu plus rapidement émerger. L’iPod s’est vendu à plus de 450 millions d’exemplaires. Même si on n’écoute pas forcément que des podcasts sur un iPod, ce sont 450 millions de chances supplémentaires de faire en sorte qu’il soit écouté. L’iPod, c’était (et c’est encore toujours un peu) la possibilité de découvrir de la musique, des radios et donc, des podcasts. Il faut saluer l’aspect pratique, léger et robuste de ce petit baladeur qui a, à sa manière, à participer à l’essor des podcasts.
Que dire d’Apple Podcasts ?
D’abord, Apple Podcasts, dans l’inconscient collectif, c’est un peu la Rolls-Royce des plateformes. C’est un peu comme être l’heureux propriétaire d’un iMac, d’un macBook, d’un iPod, d’un HomePod ou d’un iPhone (ou les 5 à la fois). Être présent sur Apple Podcasts, c’est un signe de crédibilité. L’assurance que votre podcast répondrait à (presque) à toutes les conditions. Ça classe immédiatement votre podcast parce que ce dernier bénéficie indirectement de l’image d’Apple. C’est véritablement un aspect à prendre en compte. Vous pouvez déposer vos podcasts sur une multitude de plateformes mais rien n’arrive, pour l’instant, à dépasser Apple Podcasts. Parce que Apple Podcasts, c’est une marque solidement implantée. C’est une façon de faire, une façon de voir les choses, mieux encore, une façon d’être. En cela, Apple Podcasts donne du coffre à votre podcast et à votre travail.
L’autre qualité d’Apple Podcasts, pour l’utilisateur (ici l’auditeur) c’est bien sûr la simplicité d’utilisation. Et surtout, selon moi, la possibilité de transférer les podcasts choisis sur d’autres supports d’Apple. C’est ce que l’on appelle la synchronisation et donc, la simplicité de les emporter partout.
Découvrabilité et partage
Un des rares inconvénients de cette plateforme, c’est que le podcast n’est pas son cœur de métier. Et ça, c’est un vrai souci. Car lorsque l’on regarde de plus près, il y a mille et une choses qui devraient être corrigées. On va (re)prendre l’exemple de la problématique liée à la découvrabilité des podcasts. C’est un handicap que ne sont pas parvenues à régler ces plateformes. Être sur Apple Podcasts, c’est bien mais y être écouté c’est encore mieux. L’auditeur passe trop de temps à chercher son bonheur, autrement dit, le podcast qui va répondre à son besoin du moment.
Par sérendipité, vous pouvez laisser faire le hasard mais le nombre de podcasts, d’épisodes, de séries ou de studios est tellement gigantesque qu’il est paradoxalement très difficile de trouver la perle rare. C’est pourquoi, la curation a encore quelques belles années devant elle.
Si j’avais encore un peu de temps, j’évoquerais un autre souci : la difficulté de partager son podcast à partir de Apple Podcast qui a fait le choix de ne pas vouloir créer un éparpillement de ses utilisateurs. C’est bien ou pas, le constat c’est que ce n’est pas forcément pratique. C’est pourquoi, il vous faut déjà opter pour une plateforme comme, par exemple, Spotify qui offre un partage plus facile, visuellement plus engageant. D’ailleurs, les deux géants sont aux coude-à-coude. Mais peu importe… Inutile de savoir qui a le plus d’auditeurs. Il y davantage de PC que de MacBook et en termes de chiffres d’affaires, ça dérange pas trop Apple...
L’interface d’Apple Podcasts, on en parle ?
Non ! En effet, c’est mieux... On va éviter. C'est le sujet qui fâche. Une interface assez soviétique qui n’a d’ailleurs jamais dépassé le stade de la sobriété, une interface que je situe visuellement entre Atari et Windows 95.
En conclusion, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier et toujours garder une poire pour la soif. Quand un conducteur roule en Rolls-Royce, il y a quand même de fortes chances pour que, en fonction des jours de la semaine, de son humeur ou des saisons de année, il roule, parfois, dans une autre cylindrée. On dira, par analogie, que Apple Podcasts c’est, presque, la même chose…
D’abord, Apple Podcasts, dans l’inconscient collectif, c’est un peu la Rolls-Royce des plateformes. C’est un peu comme être l’heureux propriétaire d’un iMac, d’un macBook, d’un iPod, d’un HomePod ou d’un iPhone (ou les 5 à la fois). Être présent sur Apple Podcasts, c’est un signe de crédibilité. L’assurance que votre podcast répondrait à (presque) à toutes les conditions. Ça classe immédiatement votre podcast parce que ce dernier bénéficie indirectement de l’image d’Apple. C’est véritablement un aspect à prendre en compte. Vous pouvez déposer vos podcasts sur une multitude de plateformes mais rien n’arrive, pour l’instant, à dépasser Apple Podcasts. Parce que Apple Podcasts, c’est une marque solidement implantée. C’est une façon de faire, une façon de voir les choses, mieux encore, une façon d’être. En cela, Apple Podcasts donne du coffre à votre podcast et à votre travail.
L’autre qualité d’Apple Podcasts, pour l’utilisateur (ici l’auditeur) c’est bien sûr la simplicité d’utilisation. Et surtout, selon moi, la possibilité de transférer les podcasts choisis sur d’autres supports d’Apple. C’est ce que l’on appelle la synchronisation et donc, la simplicité de les emporter partout.
Découvrabilité et partage
Un des rares inconvénients de cette plateforme, c’est que le podcast n’est pas son cœur de métier. Et ça, c’est un vrai souci. Car lorsque l’on regarde de plus près, il y a mille et une choses qui devraient être corrigées. On va (re)prendre l’exemple de la problématique liée à la découvrabilité des podcasts. C’est un handicap que ne sont pas parvenues à régler ces plateformes. Être sur Apple Podcasts, c’est bien mais y être écouté c’est encore mieux. L’auditeur passe trop de temps à chercher son bonheur, autrement dit, le podcast qui va répondre à son besoin du moment.
Par sérendipité, vous pouvez laisser faire le hasard mais le nombre de podcasts, d’épisodes, de séries ou de studios est tellement gigantesque qu’il est paradoxalement très difficile de trouver la perle rare. C’est pourquoi, la curation a encore quelques belles années devant elle.
Si j’avais encore un peu de temps, j’évoquerais un autre souci : la difficulté de partager son podcast à partir de Apple Podcast qui a fait le choix de ne pas vouloir créer un éparpillement de ses utilisateurs. C’est bien ou pas, le constat c’est que ce n’est pas forcément pratique. C’est pourquoi, il vous faut déjà opter pour une plateforme comme, par exemple, Spotify qui offre un partage plus facile, visuellement plus engageant. D’ailleurs, les deux géants sont aux coude-à-coude. Mais peu importe… Inutile de savoir qui a le plus d’auditeurs. Il y davantage de PC que de MacBook et en termes de chiffres d’affaires, ça dérange pas trop Apple...
L’interface d’Apple Podcasts, on en parle ?
Non ! En effet, c’est mieux... On va éviter. C'est le sujet qui fâche. Une interface assez soviétique qui n’a d’ailleurs jamais dépassé le stade de la sobriété, une interface que je situe visuellement entre Atari et Windows 95.
En conclusion, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier et toujours garder une poire pour la soif. Quand un conducteur roule en Rolls-Royce, il y a quand même de fortes chances pour que, en fonction des jours de la semaine, de son humeur ou des saisons de année, il roule, parfois, dans une autre cylindrée. On dira, par analogie, que Apple Podcasts c’est, presque, la même chose…
Rédigé par Brulhatour le Mercredi 11 Mai 2022 à 13:26
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Faut-il voir dans Twitter une plateforme qui vous permet aussi de promouvoir vos podcasts, de partager des extraits sonores ou encore d’engager une audience et de fidéliser une communauté ? Bien sûr ! À l’image de tous les réseaux sociaux, Twitter est un lieu intéressant où naissent parfois de belles aventures. C’est pourquoi, il ne faut pas passer à côté de Twitter.
Quelle différence fondamentale entre Facebook, Instagram, TikTok et consort ? Et bien, il n’y en a aucune. Ici, on est là pour d’abord se divertir. Ce n’est pas tout à fait la même chose sur Twitter où on est là pour s’informer rapidement. Avant, un tweet représentait seulement 140 caractères. Désormais, on peut en loger 280. C’est peu mais c’est un avantage : on va droit au but et on dit moins de conneries.
Twitter donc, c’est l’endroit où l’on s’informe d’abord. Où l’on s’instruit. C’est un univers qui repose sur une autre temporalité : toute information y a une date de péremption très proche de sa mise en ligne. Autrement dit, une fois en ligne, il faut quelques minutes seulement pour que cette info passe aux oubliettes. Sur Twitter donc, ça va vite. Très vite. Comme ailleurs, ce qui fonctionne le mieux ce sont les tweets accompagnés d’une photo ou, mieux, les tweets accompagnés d’une très courte vidéo.
L’équation gagnante sur Twitter est beaucoup plus simple qu’ailleurs : soit vous êtes intéressant et donc, ça fonctionne. Soit, vous ne l’êtes pas et vous resterez dans une relative solitude numérique. Sur Twitter, on mesure l’intérêt que vous produisez grâce au nombre de followers qui vous suivent, en fonction de l’intérêt aussi de ce que vous partagez, en fonction de votre cadence de publication (qui doit être plus élevée qu’ailleurs) et, enfin, en fonction du nombre d’interactions qui sont générées. Il y en a 3 : vous aimez un tweet (anciennement c’était un bouton dénommé Favoris), un retweet simple et un retweet avec une citation. Le Graal, c’est de se retrouver dans les Trending Topics, les tendances. Elles évoluent en permanence.
Twitter donc, c’est l’endroit où l’on s’informe d’abord. Où l’on s’instruit. C’est un univers qui repose sur une autre temporalité : toute information y a une date de péremption très proche de sa mise en ligne. Autrement dit, une fois en ligne, il faut quelques minutes seulement pour que cette info passe aux oubliettes. Sur Twitter donc, ça va vite. Très vite. Comme ailleurs, ce qui fonctionne le mieux ce sont les tweets accompagnés d’une photo ou, mieux, les tweets accompagnés d’une très courte vidéo.
L’équation gagnante sur Twitter est beaucoup plus simple qu’ailleurs : soit vous êtes intéressant et donc, ça fonctionne. Soit, vous ne l’êtes pas et vous resterez dans une relative solitude numérique. Sur Twitter, on mesure l’intérêt que vous produisez grâce au nombre de followers qui vous suivent, en fonction de l’intérêt aussi de ce que vous partagez, en fonction de votre cadence de publication (qui doit être plus élevée qu’ailleurs) et, enfin, en fonction du nombre d’interactions qui sont générées. Il y en a 3 : vous aimez un tweet (anciennement c’était un bouton dénommé Favoris), un retweet simple et un retweet avec une citation. Le Graal, c’est de se retrouver dans les Trending Topics, les tendances. Elles évoluent en permanence.
À faire et à ne pas faire :
Soyez intéressant
Comme sur tous les réseaux sociaux ou sur l’ensemble des supports, il y a une condition sine qua non à respecter : ne jamais être ennuyeux. Et donc, tenter autant que faire ce peu, d’être intéressant. Être intéressant : cela veut dire partager un contenu qui conduit à la satisfaction ou à la réaction. Vous le mesurez facilement avec l’engagement que vous produisez et, sur Twitter, la plateforme vous propose un outil de mesure qui vous offre des statistiques, on va dire de base. Il faut généralement beaucoup tweeter pour générer de l’audience, en tous cas, être présent, surtout en semaine. Le week-end, Twitter c’est mort sauf chez ceux qui regardent la TV…
Soignez les publications
L’internaute n’est pas dupe. Un seul partage d’un lien ne suffit pas. Il faut soigner la publication. Un tweet est toujours plus performant en proposant une autre entrée de lecture que la seule reprise du titre de l’article. Accompagner son tweet d’une illustration, c’est aussi maximiser sa propulsion. Plus encore, grâce à une vidéo. Il existe d’ailleurs des outils intéressants qui permettent par exemple d’insérer du son, des images et du texte comme du sous-titrage. Le sous-titrage est très important car beaucoup n’utilisent pas le son sur Twitter. Pour rappel, sur Twitter, on n’a jamais deux fois la possibilité de faire une bonne impression : un tweet envoyé ne peut pas (encore) être corrigé.
Suivez les tendances
Sur Twitter, on utilise des # quand on veut se faire connaître et surtout apparaitre dans les résultats de recherche et dans les résultats des Trending Topics. Vous n’êtes pas le seul à le faire donc, il faut jouer des coudes. Une fois que vous avez construit votre communauté, ces # ne sont pas franchement utiles… Dans vos tweets, vous pouvez aussi taguer d’autres utilisateurs. Vous pouvez suivre d’autres utilisateurs mais pas les forcer à vous suivre. Donc, si vous êtes suivi (si vous avez beaucoup de followers, c’est ce que vous êtes populaire ou plutôt intéressant). À partir de combien est-on intéressant ? À vous d’y répondre…
Humanisez votre compte
Sur les réseaux sociaux, mettez le moteur à l’ombre et mettez-vous dans la lumière pour humaniser votre profil. Il faut d’abord que les followers comprennent qu’il y a un individu derrière un compte. Un vrai individu : pas un robot. Donc, c’est important d’humaniser votre profil. Comment ? C’est un savant mélange entre vie professionnelle et personnelle. Dans quel but ? Démontrer que vous êtes comme vos followers : vous avez les mêmes centres d’intérêt, les mêmes coups de gueules, les mêmes coups de coeur, les même affinités…
Ne mettez pas votre compte en privé
C’est une possibilité offerte par Twitter : cadenasser votre compte. Seuls les followers que vous avez choisis peuvent y avoir accès (c’est un peu comme un groupe privé sur Facebook). J’ai jamais compris à quoi ça servait…
Quoi qu’il en soit, et c’est mathématique, plus vous serez présent sur les réseaux sociaux, plus vous engagerez de l’audience. Quand on débute dans le monde du podcast, mieux vaut donc occuper l’espace, tout l’espace, pour multiplier les opportunités. Faire le choix d’en mettre un ou plusieurs de côté, comme mettre de côté Twitter, c’est probablement être un peu prétentieux dans sa démarche ou être certain de la réussite de sa stratégie. Ensuite, bien sûr, tout cela exige du travail : une mise en ligne régulière et de qualité. Cela demande du temps, et le temps c’est, toujours, de l’argent...
Soyez intéressant
Comme sur tous les réseaux sociaux ou sur l’ensemble des supports, il y a une condition sine qua non à respecter : ne jamais être ennuyeux. Et donc, tenter autant que faire ce peu, d’être intéressant. Être intéressant : cela veut dire partager un contenu qui conduit à la satisfaction ou à la réaction. Vous le mesurez facilement avec l’engagement que vous produisez et, sur Twitter, la plateforme vous propose un outil de mesure qui vous offre des statistiques, on va dire de base. Il faut généralement beaucoup tweeter pour générer de l’audience, en tous cas, être présent, surtout en semaine. Le week-end, Twitter c’est mort sauf chez ceux qui regardent la TV…
Soignez les publications
L’internaute n’est pas dupe. Un seul partage d’un lien ne suffit pas. Il faut soigner la publication. Un tweet est toujours plus performant en proposant une autre entrée de lecture que la seule reprise du titre de l’article. Accompagner son tweet d’une illustration, c’est aussi maximiser sa propulsion. Plus encore, grâce à une vidéo. Il existe d’ailleurs des outils intéressants qui permettent par exemple d’insérer du son, des images et du texte comme du sous-titrage. Le sous-titrage est très important car beaucoup n’utilisent pas le son sur Twitter. Pour rappel, sur Twitter, on n’a jamais deux fois la possibilité de faire une bonne impression : un tweet envoyé ne peut pas (encore) être corrigé.
Suivez les tendances
Sur Twitter, on utilise des # quand on veut se faire connaître et surtout apparaitre dans les résultats de recherche et dans les résultats des Trending Topics. Vous n’êtes pas le seul à le faire donc, il faut jouer des coudes. Une fois que vous avez construit votre communauté, ces # ne sont pas franchement utiles… Dans vos tweets, vous pouvez aussi taguer d’autres utilisateurs. Vous pouvez suivre d’autres utilisateurs mais pas les forcer à vous suivre. Donc, si vous êtes suivi (si vous avez beaucoup de followers, c’est ce que vous êtes populaire ou plutôt intéressant). À partir de combien est-on intéressant ? À vous d’y répondre…
Humanisez votre compte
Sur les réseaux sociaux, mettez le moteur à l’ombre et mettez-vous dans la lumière pour humaniser votre profil. Il faut d’abord que les followers comprennent qu’il y a un individu derrière un compte. Un vrai individu : pas un robot. Donc, c’est important d’humaniser votre profil. Comment ? C’est un savant mélange entre vie professionnelle et personnelle. Dans quel but ? Démontrer que vous êtes comme vos followers : vous avez les mêmes centres d’intérêt, les mêmes coups de gueules, les mêmes coups de coeur, les même affinités…
Ne mettez pas votre compte en privé
C’est une possibilité offerte par Twitter : cadenasser votre compte. Seuls les followers que vous avez choisis peuvent y avoir accès (c’est un peu comme un groupe privé sur Facebook). J’ai jamais compris à quoi ça servait…
Quoi qu’il en soit, et c’est mathématique, plus vous serez présent sur les réseaux sociaux, plus vous engagerez de l’audience. Quand on débute dans le monde du podcast, mieux vaut donc occuper l’espace, tout l’espace, pour multiplier les opportunités. Faire le choix d’en mettre un ou plusieurs de côté, comme mettre de côté Twitter, c’est probablement être un peu prétentieux dans sa démarche ou être certain de la réussite de sa stratégie. Ensuite, bien sûr, tout cela exige du travail : une mise en ligne régulière et de qualité. Cela demande du temps, et le temps c’est, toujours, de l’argent...
YouTube on y trouve de tout. On y trouve même des émissions de radio et des podcasts ! L’entreprise ne l’avait certainement pas envisagé dès sa création mais, les internautes en ont décidé autrement. Depuis quelques mois, les podcasteurs ont opté pour le "pousse-toi de là que je m’y mette". C’est tant mieux. C’est plaisant. Et c’est plein de promesses…
Il y a à ce jour 52.6 millions d’utilisateurs de médias sociaux en France, ce qui correspond à plus de 80% de la population et 94.4% des plus de 13 ans y sont présents. Avec une moyenne de 2 heures et 27 minutes par jour, les médias sociaux représentent la plus grande partie de notre temps d’utilisation des médias connectés, soit 35% du total. Le temps que nous passons sur les médias sociaux a encore augmenté l’année dernière, de 2 minutes par jour.
L’utilisateur type de YouTube passe désormais près d’une journée entière – 23.7 heures – par mois à utiliser l’application mobile de YouTube sur Android selon le "Digital Report 2022 Global Overview".
En France, une étude sur la confiance des Français dans les médias digitaux réalisée par CSA Research révèle que parmi les 3 plateformes et réseaux sociaux qu’ils consultent le plus, on retrouve Facebook (48%) suivi de YouTube (33%) mais également les sites de la PQR (30%)
L’utilisateur type de YouTube passe désormais près d’une journée entière – 23.7 heures – par mois à utiliser l’application mobile de YouTube sur Android selon le "Digital Report 2022 Global Overview".
En France, une étude sur la confiance des Français dans les médias digitaux réalisée par CSA Research révèle que parmi les 3 plateformes et réseaux sociaux qu’ils consultent le plus, on retrouve Facebook (48%) suivi de YouTube (33%) mais également les sites de la PQR (30%)
Inspirez-vous des 5 raisons du succès de YouTube
#1 Sa notoriété internationale
Il faut reconnaître que YouTube est aujourd’hui la plateforme la plus connue et la plus utilisée au monde. Cette notoriété internationale lui permet de drainer une audience considérable et donc d’offrir la possibilité à ses utilisateurs de multiplier sur celle-ci des défis et d’obtenir des résultats. Car oui, les potentialités sont ici mathématiquement beaucoup plus nombreuses que sur une plateforme dédiée aux seuls podcasts.
#2 L’efficacité de son algorithme
Que vous ayez ou pas un compte sur YouTube (via par exemple votre accès Gmail), YouTube, c’est aussi et surtout un algorithme de recommandation qui ouvre le champ des possibles. La sérendipité sur YouTube, c’est du concret. Ça marche tellement bien qu’un utilisateur y passe un temps considérable sans avoir l’impression d’en être le prisonnier. À sa notoriété mondiale s’ajoute donc une efficacité algorithmique qui fait que votre podcast peut émerger à chaque instant.
#3 Sa simplicité d’utilisation
YouTube, c’est tout sauf une usine à gaz. Donc, c’est d’abord la simplicité qui prime : le confort de l’utilisateur. Le seul bémol, c’est la publicité en pré-roll, en mid-roll. Mais, YouTube a résolu le problème puisque si vous n’en voulez pas, vous pouvez opter pour la version Premium (qui outre le fait de supprimer la publicité vous offre tout un panel de nouvelles fonctionnalités complémentaires). Mais, retenons cet aspect lié à la simplicité. Selon moi, c’est 80% de la réussite de YouTube que l’on soit créateur ou auditeur.
#4 Les passerelles possibles
Entre la vidéo et l’audio, il n’y a qu’un pas. Ce n’est ni choquant ni étrange de réunir les deux sur une même plateforme. D’ailleurs, naturellement et progressivement, YouTube est aussi devenue une plateforme dédiée aussi à l’univers strictement sonore. On y trouve de plus en plus de fichiers strictement et seulement sonores. Il devient donc urgent que YouTube clarifie son positionnement et que la plateforme mette davantage en avant le son.
#5 Ses nouveautés attendues
Selon notre confrère James Cridland, qui motorise la newsletter quotidienne Podnews, YouTube serait sur le point de s’intéresser aux podcasteurs et aux auditeurs de podcasts. Selon James Cridland, YouTube pourrait prochainement proposer une page d’accueil dédiée aux podcasts. Prudence tout de même car le podcast n’est pas le coeur de métier de YouTube. D’autres comme Spotify ou Acast savent le faire mais avec beaucoup moins de notoriété et de popularité.
Youtubeurs versus podcasteurs
Enfin, selon Acast, le podcast est "LE" nouveau terrain de jeu pour les influenceurs de YouTube qui, en octobre 2021, représentaient 10% des écoutes françaises sur les podcasts Acast contre seulement 3%, sur la même période de l’année précédente. Plus connus pour leurs vidéos, ces créateurs exploitent ce média en plein essor pour offrir une expérience différente à leur communauté déjà fidèle. Et il a fort à parier que ces derniers ne changent pas de crémerie et entraînent avec eux d’autres YouTubeurs devenus podcasteurs et d’autres podcasteurs qui deviendront probablement ainsi Youtubeurs.
#1 Sa notoriété internationale
Il faut reconnaître que YouTube est aujourd’hui la plateforme la plus connue et la plus utilisée au monde. Cette notoriété internationale lui permet de drainer une audience considérable et donc d’offrir la possibilité à ses utilisateurs de multiplier sur celle-ci des défis et d’obtenir des résultats. Car oui, les potentialités sont ici mathématiquement beaucoup plus nombreuses que sur une plateforme dédiée aux seuls podcasts.
#2 L’efficacité de son algorithme
Que vous ayez ou pas un compte sur YouTube (via par exemple votre accès Gmail), YouTube, c’est aussi et surtout un algorithme de recommandation qui ouvre le champ des possibles. La sérendipité sur YouTube, c’est du concret. Ça marche tellement bien qu’un utilisateur y passe un temps considérable sans avoir l’impression d’en être le prisonnier. À sa notoriété mondiale s’ajoute donc une efficacité algorithmique qui fait que votre podcast peut émerger à chaque instant.
#3 Sa simplicité d’utilisation
YouTube, c’est tout sauf une usine à gaz. Donc, c’est d’abord la simplicité qui prime : le confort de l’utilisateur. Le seul bémol, c’est la publicité en pré-roll, en mid-roll. Mais, YouTube a résolu le problème puisque si vous n’en voulez pas, vous pouvez opter pour la version Premium (qui outre le fait de supprimer la publicité vous offre tout un panel de nouvelles fonctionnalités complémentaires). Mais, retenons cet aspect lié à la simplicité. Selon moi, c’est 80% de la réussite de YouTube que l’on soit créateur ou auditeur.
#4 Les passerelles possibles
Entre la vidéo et l’audio, il n’y a qu’un pas. Ce n’est ni choquant ni étrange de réunir les deux sur une même plateforme. D’ailleurs, naturellement et progressivement, YouTube est aussi devenue une plateforme dédiée aussi à l’univers strictement sonore. On y trouve de plus en plus de fichiers strictement et seulement sonores. Il devient donc urgent que YouTube clarifie son positionnement et que la plateforme mette davantage en avant le son.
#5 Ses nouveautés attendues
Selon notre confrère James Cridland, qui motorise la newsletter quotidienne Podnews, YouTube serait sur le point de s’intéresser aux podcasteurs et aux auditeurs de podcasts. Selon James Cridland, YouTube pourrait prochainement proposer une page d’accueil dédiée aux podcasts. Prudence tout de même car le podcast n’est pas le coeur de métier de YouTube. D’autres comme Spotify ou Acast savent le faire mais avec beaucoup moins de notoriété et de popularité.
Youtubeurs versus podcasteurs
Enfin, selon Acast, le podcast est "LE" nouveau terrain de jeu pour les influenceurs de YouTube qui, en octobre 2021, représentaient 10% des écoutes françaises sur les podcasts Acast contre seulement 3%, sur la même période de l’année précédente. Plus connus pour leurs vidéos, ces créateurs exploitent ce média en plein essor pour offrir une expérience différente à leur communauté déjà fidèle. Et il a fort à parier que ces derniers ne changent pas de crémerie et entraînent avec eux d’autres YouTubeurs devenus podcasteurs et d’autres podcasteurs qui deviendront probablement ainsi Youtubeurs.
Le contenu et le contenant ne sont pas de simples apparences. Le contenu, c’est votre podcast mais pas que. Le contenant, c’est vous mais pas que. Dans tous les cas, contenu et contenant ne font qu’un. Car c’est bien de l’image que l’on renvoie dont il est question ici. Quelques rappels de fondamentaux…
Quatre axes à privilégier pour un meilleur contenu
Le rédactionnel
C’est l’orthographe mais également la titraille ou encore les entrées de lecture. Un bon titre, c’est la possibilité de déclencher une envie chez un auditeur potentiel qui, habituellement, ne demande qu’à vous écouter. Un bon titre réveille chez lui une appétence qui déclenchera (peut-être) une lecture ou un téléchargement. Un conseil : faites des essais avant de mettre en ligne les accroches qui servent à promouvoir votre podcast. Les essais ne fonctionnent que si ces derniers sont menés sur plusieurs jours parce que, parfois, on est moins bon le mardi que le jeudi et vice-et-versa…
Les visuels
Les logos, les illustrations et, en particulier dans le secteur du podcast, la vignette sont tous des éléments visuels qu’il faut soigner. On dit que c’est la vignette qui déclenche prioritairement une écoute ou un téléchargement (j’avais déjà écrit un article -accessible ICI - sur son importance) . Si, en dehors, du titre de votre podcast vous deviez soigner un élément, ce serait donc bien la vignette. La décliner dans tous les formats possibles. Et pensez à la faire évoluer avec le temps, avec l’actualité, avec les épisodes spéciaux, avec les saisons… Les déclinaisons sont nombreuses.
La qualité sonore
Certes, votre sujet est intéressant, on n'en dote pas? Mais, si la qualité sonore de votre podcast ne suit pas, alors il ne sera probablement pas écouté ou pas dans son intégralité. Ici, on fait référence à la confortabilité d'écoute de l’auditeur. Sur une échelle de 1 à 10, il faut atteindre les 10. Les nouveaux podcasteurs sont tous confrontés à cette problématique sonore. C’est d’ailleurs souvent une des raisons qui les poussent à abandonner au même titre que la périlleuse étape du montage.
Le montage
Vous avez probablement une idée très précise de ce que doit être votre montage final mais vous êtes confronté à l’outil qui vous permet de le réaliser. Il mérite une prise en main, parfois longue et exaspérante voire décourageante. Un conseil : n’en faites pas trop si vous pensez ne pas avoir les compétences techniques suffisantes. Encore une fois : faites peu mais faites le bien. Soignez les 30 premières secondes. N’attendez pas avant d’entrer dans le vif du sujet. Tenez la promesse dès les premières secondes.
Le rédactionnel
C’est l’orthographe mais également la titraille ou encore les entrées de lecture. Un bon titre, c’est la possibilité de déclencher une envie chez un auditeur potentiel qui, habituellement, ne demande qu’à vous écouter. Un bon titre réveille chez lui une appétence qui déclenchera (peut-être) une lecture ou un téléchargement. Un conseil : faites des essais avant de mettre en ligne les accroches qui servent à promouvoir votre podcast. Les essais ne fonctionnent que si ces derniers sont menés sur plusieurs jours parce que, parfois, on est moins bon le mardi que le jeudi et vice-et-versa…
Les visuels
Les logos, les illustrations et, en particulier dans le secteur du podcast, la vignette sont tous des éléments visuels qu’il faut soigner. On dit que c’est la vignette qui déclenche prioritairement une écoute ou un téléchargement (j’avais déjà écrit un article -accessible ICI - sur son importance) . Si, en dehors, du titre de votre podcast vous deviez soigner un élément, ce serait donc bien la vignette. La décliner dans tous les formats possibles. Et pensez à la faire évoluer avec le temps, avec l’actualité, avec les épisodes spéciaux, avec les saisons… Les déclinaisons sont nombreuses.
La qualité sonore
Certes, votre sujet est intéressant, on n'en dote pas? Mais, si la qualité sonore de votre podcast ne suit pas, alors il ne sera probablement pas écouté ou pas dans son intégralité. Ici, on fait référence à la confortabilité d'écoute de l’auditeur. Sur une échelle de 1 à 10, il faut atteindre les 10. Les nouveaux podcasteurs sont tous confrontés à cette problématique sonore. C’est d’ailleurs souvent une des raisons qui les poussent à abandonner au même titre que la périlleuse étape du montage.
Le montage
Vous avez probablement une idée très précise de ce que doit être votre montage final mais vous êtes confronté à l’outil qui vous permet de le réaliser. Il mérite une prise en main, parfois longue et exaspérante voire décourageante. Un conseil : n’en faites pas trop si vous pensez ne pas avoir les compétences techniques suffisantes. Encore une fois : faites peu mais faites le bien. Soignez les 30 premières secondes. N’attendez pas avant d’entrer dans le vif du sujet. Tenez la promesse dès les premières secondes.
Quatre axes à privilégier pour un meilleur contenant
Le site web
C’est la vitrine de votre travail. Plus encore, en fonction des couleurs, de son adresse, de la disposition des rubriques, des illustrations, de la cadence de mise à jour… c’est aussi la principale porte d’entrée d’où pourra naitre votre communauté. Comme on l’a déjà dit ici, le site web c’est une sorte de quartier général. J’aime bien cette notion de quartier général parce que c’est comme un centre de commandement autonome le plus indépendant possible où sont concentrés votre ADN, vos productions, vos valeurs…
La ligne éditoriale
C’est un peu la philosophie (l’esprit) de votre travail. Vous l’expliquez en 4 lignes est bien sûr impossible tant cette notion est aussi prégnante que nécessaire, et que différente en fonction de vos moyens et de vos buts. Pour résumer, la ligne éditoriale c’est votre promesse ou, plus exactement, le respect de votre promesse grâce à un savant mélange qui comprend le choix des sujets traités ou la façon de les aborder en gardant toujours dans votre ligne de mire votre cible.
La motorisation
Ce sont les outils que vous maîtrisez et qui jouent un rôle dans votre développement. Un bon moteur qui "tourne carré" et ne tombe jamais en panne, c’est l’assurance d’arriver à bon port. Les outils que vous utilisez doivent donc répondre à des exigences techniques : leur facilité d’utilisation, leur rapidité d’exécution, leur compatibilité, leur coût… et beaucoup d’autres choses encore. On peut produire un podcast sur un Smartphone mais quand vous devez en réaliser 3, 4 ou 5 par semaine ou un seul par mois dans un format long, vous comprendrez que cette motorisation joue un rôle déterminant.
L’image
C’est l’empreinte que vous laissez dans la vie de tous les jours, au contact de vos partenaires ou de vos auditeurs, sur les réseaux sociaux. Vous êtes le seul à pouvoir la maîtriser. Travailler son image, c’est beaucoup de travail car elle se construit sur le long terme. Son résultat repose toujours sur la patience et sur une régularité dans vos actions. Il y aurait ici beaucoup à dire. Le meilleur des conseils que l’on puisse vous donner, c’est prioritairement et durablement d’être sympa, d’être curieux, d’être raisonnable, d’être humble et de faire preuve d’audace. Bref, "Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage"...
Le site web
C’est la vitrine de votre travail. Plus encore, en fonction des couleurs, de son adresse, de la disposition des rubriques, des illustrations, de la cadence de mise à jour… c’est aussi la principale porte d’entrée d’où pourra naitre votre communauté. Comme on l’a déjà dit ici, le site web c’est une sorte de quartier général. J’aime bien cette notion de quartier général parce que c’est comme un centre de commandement autonome le plus indépendant possible où sont concentrés votre ADN, vos productions, vos valeurs…
La ligne éditoriale
C’est un peu la philosophie (l’esprit) de votre travail. Vous l’expliquez en 4 lignes est bien sûr impossible tant cette notion est aussi prégnante que nécessaire, et que différente en fonction de vos moyens et de vos buts. Pour résumer, la ligne éditoriale c’est votre promesse ou, plus exactement, le respect de votre promesse grâce à un savant mélange qui comprend le choix des sujets traités ou la façon de les aborder en gardant toujours dans votre ligne de mire votre cible.
La motorisation
Ce sont les outils que vous maîtrisez et qui jouent un rôle dans votre développement. Un bon moteur qui "tourne carré" et ne tombe jamais en panne, c’est l’assurance d’arriver à bon port. Les outils que vous utilisez doivent donc répondre à des exigences techniques : leur facilité d’utilisation, leur rapidité d’exécution, leur compatibilité, leur coût… et beaucoup d’autres choses encore. On peut produire un podcast sur un Smartphone mais quand vous devez en réaliser 3, 4 ou 5 par semaine ou un seul par mois dans un format long, vous comprendrez que cette motorisation joue un rôle déterminant.
L’image
C’est l’empreinte que vous laissez dans la vie de tous les jours, au contact de vos partenaires ou de vos auditeurs, sur les réseaux sociaux. Vous êtes le seul à pouvoir la maîtriser. Travailler son image, c’est beaucoup de travail car elle se construit sur le long terme. Son résultat repose toujours sur la patience et sur une régularité dans vos actions. Il y aurait ici beaucoup à dire. Le meilleur des conseils que l’on puisse vous donner, c’est prioritairement et durablement d’être sympa, d’être curieux, d’être raisonnable, d’être humble et de faire preuve d’audace. Bref, "Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage"...
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