Avant d’aborder, le sujet consacré à Apple Podcasts, il faut évoquer le destin tragique de l’iPod. Ce minuscule baladeur numérique a fait les grandes heures de la musique et, indirectement, on va dire probablement, les grandes heures du podcast. Apple a annoncé qu’elle cessait la fabrication de l’iPod. C’est une page de deux décennies qui se tourne parce que c’est grâce à ce genre d’outils que l’industrie (comme les créatifs, les compositeurs, les chanteurs, les musiciens, les producteurs de podcasts) a pu plus rapidement émerger. L’iPod s’est vendu à plus de 450 millions d’exemplaires. Même si on n’écoute pas forcément que des podcasts sur un iPod, ce sont 450 millions de chances supplémentaires de faire en sorte qu’il soit écouté. L’iPod, c’était (et c’est encore toujours un peu) la possibilité de découvrir de la musique, des radios et donc, des podcasts. Il faut saluer l’aspect pratique, léger et robuste de ce petit baladeur qui a, à sa manière, à participer à l’essor des podcasts.
Que dire d’Apple Podcasts ?
D’abord, Apple Podcasts, dans l’inconscient collectif, c’est un peu la Rolls-Royce des plateformes. C’est un peu comme être l’heureux propriétaire d’un iMac, d’un macBook, d’un iPod, d’un HomePod ou d’un iPhone (ou les 5 à la fois). Être présent sur Apple Podcasts, c’est un signe de crédibilité. L’assurance que votre podcast répondrait à (presque) à toutes les conditions. Ça classe immédiatement votre podcast parce que ce dernier bénéficie indirectement de l’image d’Apple. C’est véritablement un aspect à prendre en compte. Vous pouvez déposer vos podcasts sur une multitude de plateformes mais rien n’arrive, pour l’instant, à dépasser Apple Podcasts. Parce que Apple Podcasts, c’est une marque solidement implantée. C’est une façon de faire, une façon de voir les choses, mieux encore, une façon d’être. En cela, Apple Podcasts donne du coffre à votre podcast et à votre travail.
L’autre qualité d’Apple Podcasts, pour l’utilisateur (ici l’auditeur) c’est bien sûr la simplicité d’utilisation. Et surtout, selon moi, la possibilité de transférer les podcasts choisis sur d’autres supports d’Apple. C’est ce que l’on appelle la synchronisation et donc, la simplicité de les emporter partout.
Découvrabilité et partage
Un des rares inconvénients de cette plateforme, c’est que le podcast n’est pas son cœur de métier. Et ça, c’est un vrai souci. Car lorsque l’on regarde de plus près, il y a mille et une choses qui devraient être corrigées. On va (re)prendre l’exemple de la problématique liée à la découvrabilité des podcasts. C’est un handicap que ne sont pas parvenues à régler ces plateformes. Être sur Apple Podcasts, c’est bien mais y être écouté c’est encore mieux. L’auditeur passe trop de temps à chercher son bonheur, autrement dit, le podcast qui va répondre à son besoin du moment.
Par sérendipité, vous pouvez laisser faire le hasard mais le nombre de podcasts, d’épisodes, de séries ou de studios est tellement gigantesque qu’il est paradoxalement très difficile de trouver la perle rare. C’est pourquoi, la curation a encore quelques belles années devant elle.
Si j’avais encore un peu de temps, j’évoquerais un autre souci : la difficulté de partager son podcast à partir de Apple Podcast qui a fait le choix de ne pas vouloir créer un éparpillement de ses utilisateurs. C’est bien ou pas, le constat c’est que ce n’est pas forcément pratique. C’est pourquoi, il vous faut déjà opter pour une plateforme comme, par exemple, Spotify qui offre un partage plus facile, visuellement plus engageant. D’ailleurs, les deux géants sont aux coude-à-coude. Mais peu importe… Inutile de savoir qui a le plus d’auditeurs. Il y davantage de PC que de MacBook et en termes de chiffres d’affaires, ça dérange pas trop Apple...
L’interface d’Apple Podcasts, on en parle ?
Non ! En effet, c’est mieux... On va éviter. C'est le sujet qui fâche. Une interface assez soviétique qui n’a d’ailleurs jamais dépassé le stade de la sobriété, une interface que je situe visuellement entre Atari et Windows 95.
En conclusion, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier et toujours garder une poire pour la soif. Quand un conducteur roule en Rolls-Royce, il y a quand même de fortes chances pour que, en fonction des jours de la semaine, de son humeur ou des saisons de année, il roule, parfois, dans une autre cylindrée. On dira, par analogie, que Apple Podcasts c’est, presque, la même chose…
D’abord, Apple Podcasts, dans l’inconscient collectif, c’est un peu la Rolls-Royce des plateformes. C’est un peu comme être l’heureux propriétaire d’un iMac, d’un macBook, d’un iPod, d’un HomePod ou d’un iPhone (ou les 5 à la fois). Être présent sur Apple Podcasts, c’est un signe de crédibilité. L’assurance que votre podcast répondrait à (presque) à toutes les conditions. Ça classe immédiatement votre podcast parce que ce dernier bénéficie indirectement de l’image d’Apple. C’est véritablement un aspect à prendre en compte. Vous pouvez déposer vos podcasts sur une multitude de plateformes mais rien n’arrive, pour l’instant, à dépasser Apple Podcasts. Parce que Apple Podcasts, c’est une marque solidement implantée. C’est une façon de faire, une façon de voir les choses, mieux encore, une façon d’être. En cela, Apple Podcasts donne du coffre à votre podcast et à votre travail.
L’autre qualité d’Apple Podcasts, pour l’utilisateur (ici l’auditeur) c’est bien sûr la simplicité d’utilisation. Et surtout, selon moi, la possibilité de transférer les podcasts choisis sur d’autres supports d’Apple. C’est ce que l’on appelle la synchronisation et donc, la simplicité de les emporter partout.
Découvrabilité et partage
Un des rares inconvénients de cette plateforme, c’est que le podcast n’est pas son cœur de métier. Et ça, c’est un vrai souci. Car lorsque l’on regarde de plus près, il y a mille et une choses qui devraient être corrigées. On va (re)prendre l’exemple de la problématique liée à la découvrabilité des podcasts. C’est un handicap que ne sont pas parvenues à régler ces plateformes. Être sur Apple Podcasts, c’est bien mais y être écouté c’est encore mieux. L’auditeur passe trop de temps à chercher son bonheur, autrement dit, le podcast qui va répondre à son besoin du moment.
Par sérendipité, vous pouvez laisser faire le hasard mais le nombre de podcasts, d’épisodes, de séries ou de studios est tellement gigantesque qu’il est paradoxalement très difficile de trouver la perle rare. C’est pourquoi, la curation a encore quelques belles années devant elle.
Si j’avais encore un peu de temps, j’évoquerais un autre souci : la difficulté de partager son podcast à partir de Apple Podcast qui a fait le choix de ne pas vouloir créer un éparpillement de ses utilisateurs. C’est bien ou pas, le constat c’est que ce n’est pas forcément pratique. C’est pourquoi, il vous faut déjà opter pour une plateforme comme, par exemple, Spotify qui offre un partage plus facile, visuellement plus engageant. D’ailleurs, les deux géants sont aux coude-à-coude. Mais peu importe… Inutile de savoir qui a le plus d’auditeurs. Il y davantage de PC que de MacBook et en termes de chiffres d’affaires, ça dérange pas trop Apple...
L’interface d’Apple Podcasts, on en parle ?
Non ! En effet, c’est mieux... On va éviter. C'est le sujet qui fâche. Une interface assez soviétique qui n’a d’ailleurs jamais dépassé le stade de la sobriété, une interface que je situe visuellement entre Atari et Windows 95.
En conclusion, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier et toujours garder une poire pour la soif. Quand un conducteur roule en Rolls-Royce, il y a quand même de fortes chances pour que, en fonction des jours de la semaine, de son humeur ou des saisons de année, il roule, parfois, dans une autre cylindrée. On dira, par analogie, que Apple Podcasts c’est, presque, la même chose…