Après deux éditions manquées (janvier 2021 et janvier 2022), l’équipe du Salon de la Radio profite d’une embellie dans le ciel de la crise sanitaire pour proposer un Paris Radio Show, les 2 et 3 juin. Depuis le mois de mars 2020, beaucoup de choses ont changé. Beaucoup de choses ont évolué. Même l’évènement qu’était le Salon de la Radio et de l’Audio Digital a dû revoir sa copie. Désormais, on l’appellera le Paris Radio Show. Désormais, il se déroulera à La Seine Musicale. Et désormais, il coïncidera avec la Fête de la Radio. Voilà pour les principales évolutions. Avant de reprendre un rythme de croisière sur trois jours, une version allégée, mais non moins particulièrement intéressante, sera organisée dans quelques jours. Un format PopUp où vont s’enchaîner, tambour battant, de nombreuses conférences, rencontres et animations.
Cette version allégée est un peu la réponse du berger à la bergère incarnée par une résilience, jamais démentie, de chacun des acteurs du secteur de la radio et de l’audio digital. Après deux ans de vie au ralenti, il est grand temps de remettre les compteurs à zéro et de compter sur un horizon dégagé. Les 2 et 3 juin seront d’abord l’occasion de réunir les professionnels, de revoir des amis, de découvrir des nouveautés, de penser la radio de demain, de prendre le pouls du secteur… et bien plus encore.
Ce numéro de La Lettre Pro de la Radio que vous avez entre les mains est le 142e d’une, déjà, très longue série. Malgré les vicissitudes de la vie, malgré une situation économique qui n’est facile ni pour les uns ni pour les autres, malgré un contexte international alarmant, malgré une motivation qu’il n’est pas toujours évident de maintenir à son plus haut niveau, ce numéro est aussi une façon de prouver que notre amour pour la radio n’a jamais été aussi fort. À croire que c’est toujours dans les périodes de crise que se révèlent les plus belles histoires d’amour !
Cette version allégée est un peu la réponse du berger à la bergère incarnée par une résilience, jamais démentie, de chacun des acteurs du secteur de la radio et de l’audio digital. Après deux ans de vie au ralenti, il est grand temps de remettre les compteurs à zéro et de compter sur un horizon dégagé. Les 2 et 3 juin seront d’abord l’occasion de réunir les professionnels, de revoir des amis, de découvrir des nouveautés, de penser la radio de demain, de prendre le pouls du secteur… et bien plus encore.
Ce numéro de La Lettre Pro de la Radio que vous avez entre les mains est le 142e d’une, déjà, très longue série. Malgré les vicissitudes de la vie, malgré une situation économique qui n’est facile ni pour les uns ni pour les autres, malgré un contexte international alarmant, malgré une motivation qu’il n’est pas toujours évident de maintenir à son plus haut niveau, ce numéro est aussi une façon de prouver que notre amour pour la radio n’a jamais été aussi fort. À croire que c’est toujours dans les périodes de crise que se révèlent les plus belles histoires d’amour !
Téléchargez le n° 142 de La Lettre Pro de la Radio, ICI
Rédigé par Brulhatour le Jeudi 12 Mai 2022 à 18:38
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J’ai vaguement l’impression que si Apple décidait de produire des cardans de voiture ou des tondeuses à gazon, ça marcherait. C’est d’ailleurs assez énervant, un peu exaspérant d’ailleurs, de constater que tout ce que touche ou lance Apple, fonctionne et, surtout rapporte.
Avant d’aborder, le sujet consacré à Apple Podcasts, il faut évoquer le destin tragique de l’iPod. Ce minuscule baladeur numérique a fait les grandes heures de la musique et, indirectement, on va dire probablement, les grandes heures du podcast. Apple a annoncé qu’elle cessait la fabrication de l’iPod. C’est une page de deux décennies qui se tourne parce que c’est grâce à ce genre d’outils que l’industrie (comme les créatifs, les compositeurs, les chanteurs, les musiciens, les producteurs de podcasts) a pu plus rapidement émerger. L’iPod s’est vendu à plus de 450 millions d’exemplaires. Même si on n’écoute pas forcément que des podcasts sur un iPod, ce sont 450 millions de chances supplémentaires de faire en sorte qu’il soit écouté. L’iPod, c’était (et c’est encore toujours un peu) la possibilité de découvrir de la musique, des radios et donc, des podcasts. Il faut saluer l’aspect pratique, léger et robuste de ce petit baladeur qui a, à sa manière, à participer à l’essor des podcasts.
Que dire d’Apple Podcasts ?
D’abord, Apple Podcasts, dans l’inconscient collectif, c’est un peu la Rolls-Royce des plateformes. C’est un peu comme être l’heureux propriétaire d’un iMac, d’un macBook, d’un iPod, d’un HomePod ou d’un iPhone (ou les 5 à la fois). Être présent sur Apple Podcasts, c’est un signe de crédibilité. L’assurance que votre podcast répondrait à (presque) à toutes les conditions. Ça classe immédiatement votre podcast parce que ce dernier bénéficie indirectement de l’image d’Apple. C’est véritablement un aspect à prendre en compte. Vous pouvez déposer vos podcasts sur une multitude de plateformes mais rien n’arrive, pour l’instant, à dépasser Apple Podcasts. Parce que Apple Podcasts, c’est une marque solidement implantée. C’est une façon de faire, une façon de voir les choses, mieux encore, une façon d’être. En cela, Apple Podcasts donne du coffre à votre podcast et à votre travail.
L’autre qualité d’Apple Podcasts, pour l’utilisateur (ici l’auditeur) c’est bien sûr la simplicité d’utilisation. Et surtout, selon moi, la possibilité de transférer les podcasts choisis sur d’autres supports d’Apple. C’est ce que l’on appelle la synchronisation et donc, la simplicité de les emporter partout.
Découvrabilité et partage
Un des rares inconvénients de cette plateforme, c’est que le podcast n’est pas son cœur de métier. Et ça, c’est un vrai souci. Car lorsque l’on regarde de plus près, il y a mille et une choses qui devraient être corrigées. On va (re)prendre l’exemple de la problématique liée à la découvrabilité des podcasts. C’est un handicap que ne sont pas parvenues à régler ces plateformes. Être sur Apple Podcasts, c’est bien mais y être écouté c’est encore mieux. L’auditeur passe trop de temps à chercher son bonheur, autrement dit, le podcast qui va répondre à son besoin du moment.
Par sérendipité, vous pouvez laisser faire le hasard mais le nombre de podcasts, d’épisodes, de séries ou de studios est tellement gigantesque qu’il est paradoxalement très difficile de trouver la perle rare. C’est pourquoi, la curation a encore quelques belles années devant elle.
Si j’avais encore un peu de temps, j’évoquerais un autre souci : la difficulté de partager son podcast à partir de Apple Podcast qui a fait le choix de ne pas vouloir créer un éparpillement de ses utilisateurs. C’est bien ou pas, le constat c’est que ce n’est pas forcément pratique. C’est pourquoi, il vous faut déjà opter pour une plateforme comme, par exemple, Spotify qui offre un partage plus facile, visuellement plus engageant. D’ailleurs, les deux géants sont aux coude-à-coude. Mais peu importe… Inutile de savoir qui a le plus d’auditeurs. Il y davantage de PC que de MacBook et en termes de chiffres d’affaires, ça dérange pas trop Apple...
L’interface d’Apple Podcasts, on en parle ?
Non ! En effet, c’est mieux... On va éviter. C'est le sujet qui fâche. Une interface assez soviétique qui n’a d’ailleurs jamais dépassé le stade de la sobriété, une interface que je situe visuellement entre Atari et Windows 95.
En conclusion, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier et toujours garder une poire pour la soif. Quand un conducteur roule en Rolls-Royce, il y a quand même de fortes chances pour que, en fonction des jours de la semaine, de son humeur ou des saisons de année, il roule, parfois, dans une autre cylindrée. On dira, par analogie, que Apple Podcasts c’est, presque, la même chose…
D’abord, Apple Podcasts, dans l’inconscient collectif, c’est un peu la Rolls-Royce des plateformes. C’est un peu comme être l’heureux propriétaire d’un iMac, d’un macBook, d’un iPod, d’un HomePod ou d’un iPhone (ou les 5 à la fois). Être présent sur Apple Podcasts, c’est un signe de crédibilité. L’assurance que votre podcast répondrait à (presque) à toutes les conditions. Ça classe immédiatement votre podcast parce que ce dernier bénéficie indirectement de l’image d’Apple. C’est véritablement un aspect à prendre en compte. Vous pouvez déposer vos podcasts sur une multitude de plateformes mais rien n’arrive, pour l’instant, à dépasser Apple Podcasts. Parce que Apple Podcasts, c’est une marque solidement implantée. C’est une façon de faire, une façon de voir les choses, mieux encore, une façon d’être. En cela, Apple Podcasts donne du coffre à votre podcast et à votre travail.
L’autre qualité d’Apple Podcasts, pour l’utilisateur (ici l’auditeur) c’est bien sûr la simplicité d’utilisation. Et surtout, selon moi, la possibilité de transférer les podcasts choisis sur d’autres supports d’Apple. C’est ce que l’on appelle la synchronisation et donc, la simplicité de les emporter partout.
Découvrabilité et partage
Un des rares inconvénients de cette plateforme, c’est que le podcast n’est pas son cœur de métier. Et ça, c’est un vrai souci. Car lorsque l’on regarde de plus près, il y a mille et une choses qui devraient être corrigées. On va (re)prendre l’exemple de la problématique liée à la découvrabilité des podcasts. C’est un handicap que ne sont pas parvenues à régler ces plateformes. Être sur Apple Podcasts, c’est bien mais y être écouté c’est encore mieux. L’auditeur passe trop de temps à chercher son bonheur, autrement dit, le podcast qui va répondre à son besoin du moment.
Par sérendipité, vous pouvez laisser faire le hasard mais le nombre de podcasts, d’épisodes, de séries ou de studios est tellement gigantesque qu’il est paradoxalement très difficile de trouver la perle rare. C’est pourquoi, la curation a encore quelques belles années devant elle.
Si j’avais encore un peu de temps, j’évoquerais un autre souci : la difficulté de partager son podcast à partir de Apple Podcast qui a fait le choix de ne pas vouloir créer un éparpillement de ses utilisateurs. C’est bien ou pas, le constat c’est que ce n’est pas forcément pratique. C’est pourquoi, il vous faut déjà opter pour une plateforme comme, par exemple, Spotify qui offre un partage plus facile, visuellement plus engageant. D’ailleurs, les deux géants sont aux coude-à-coude. Mais peu importe… Inutile de savoir qui a le plus d’auditeurs. Il y davantage de PC que de MacBook et en termes de chiffres d’affaires, ça dérange pas trop Apple...
L’interface d’Apple Podcasts, on en parle ?
Non ! En effet, c’est mieux... On va éviter. C'est le sujet qui fâche. Une interface assez soviétique qui n’a d’ailleurs jamais dépassé le stade de la sobriété, une interface que je situe visuellement entre Atari et Windows 95.
En conclusion, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier et toujours garder une poire pour la soif. Quand un conducteur roule en Rolls-Royce, il y a quand même de fortes chances pour que, en fonction des jours de la semaine, de son humeur ou des saisons de année, il roule, parfois, dans une autre cylindrée. On dira, par analogie, que Apple Podcasts c’est, presque, la même chose…
Le Paris Radio Show (ex-Salon de la Radio) se tiendra les jeudi 2 et vendredi 3 juin 2022 à La Seine Musicale à Boulogne. Les visiteurs, les exposant set les partenaires pourront bénéficier d’un tout nouveau principe de réseautage. Plus de 80 structures des secteurs de la radio, du podcast et de l’audio digital seront présentes pour dévoiler leurs nouveautés.
Le Paris Radio Show est le seul salon dédié aux secteurs de la radio, du podcast natif et de l'audio digital en France gratuit pour les visiteurs professionnels. Il réunit plus de 4 000 visiteurs sur deux jours. Incontournable depuis plus de 20 ans (ex-Salon de la Radio), le Paris Radio Show est organisé aux mêmes dates que la Fête de la Radio et hébergera les Assises de la Radio et le RedTech Summit. Il permet de répondre à toutes les questions que se pose la profession sur la production de contenu, les programmes, la stratégie, la technique, le marketing, la monétisation, les enjeux, les nouveaux formats, les NFT, la publicité, l’IA et la voix et permet de préparer le futur et d’y voir plus clair. Ce moment convivial rassemble un concentré d’énergie et de savoir sur deux jours.
Au programme de ces deux jours, des petits déjeuners pour les Assises de la Radio réunissant les plus grands dirigeants du paysage radiophonique et audio français, un village institutionnel avec la présence de l’ARCOM et du WorldDAB autour d’autres institutions des secteurs de l’audiovisuel, des sessions Radio et Podcast en plein cœur de l’espace exposants, des master class conviviales pour aller au fond des sujets, un déjeuner Meet-up régies + annonceurs qui présentera les nouvelles offres des régies en partenariat avec le Club des Annonceurs, un déjeuner nouveautés présentera les dernières nouveautés des produits et services pour les acteurs curieux et la presse spécialisée...
En direct sur ConnectOnAir
Ajoutons des Meet-ups métiers qui vous permettront de mieux vous connaître en 1h30 chrono, le Red Tech Summit avec 30 grands patrons de 15 pays se réuniront pour un think tank modéré par des spécialistes, un espace nouveautés à l’entrée du salon qui "valorisera les dernières nouveautés techniques et technologiques de produit à tous les visiteurs" ou encore le site ConnectOnAir - La Radio du Salon qui diffusera en direct et invitera comme chaque année les professionnels, les exposants et les personnalités du secteur.
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Bon à savoir
Pour obtenir votre badge d'accès gratuit, c'est par ICI. Parcourez le programme du Paris Radio Show, LÀ. Pour découvrir les exposants, c'est ICI. Et pour réserver votre stand, c'est par LÀ.
Le Paris Radio Swho se déroulera à La Seine Musicale sur l'Île Seguin à Boulogne-Billancourt, le jeudi 2 juin de 9h à 18h ainsi que le vendredi 3 juin, de 9h à 17h.
Le Paris Radio Swho se déroulera à La Seine Musicale sur l'Île Seguin à Boulogne-Billancourt, le jeudi 2 juin de 9h à 18h ainsi que le vendredi 3 juin, de 9h à 17h.
Faut-il voir dans Twitter une plateforme qui vous permet aussi de promouvoir vos podcasts, de partager des extraits sonores ou encore d’engager une audience et de fidéliser une communauté ? Bien sûr ! À l’image de tous les réseaux sociaux, Twitter est un lieu intéressant où naissent parfois de belles aventures. C’est pourquoi, il ne faut pas passer à côté de Twitter.
Quelle différence fondamentale entre Facebook, Instagram, TikTok et consort ? Et bien, il n’y en a aucune. Ici, on est là pour d’abord se divertir. Ce n’est pas tout à fait la même chose sur Twitter où on est là pour s’informer rapidement. Avant, un tweet représentait seulement 140 caractères. Désormais, on peut en loger 280. C’est peu mais c’est un avantage : on va droit au but et on dit moins de conneries.
Twitter donc, c’est l’endroit où l’on s’informe d’abord. Où l’on s’instruit. C’est un univers qui repose sur une autre temporalité : toute information y a une date de péremption très proche de sa mise en ligne. Autrement dit, une fois en ligne, il faut quelques minutes seulement pour que cette info passe aux oubliettes. Sur Twitter donc, ça va vite. Très vite. Comme ailleurs, ce qui fonctionne le mieux ce sont les tweets accompagnés d’une photo ou, mieux, les tweets accompagnés d’une très courte vidéo.
L’équation gagnante sur Twitter est beaucoup plus simple qu’ailleurs : soit vous êtes intéressant et donc, ça fonctionne. Soit, vous ne l’êtes pas et vous resterez dans une relative solitude numérique. Sur Twitter, on mesure l’intérêt que vous produisez grâce au nombre de followers qui vous suivent, en fonction de l’intérêt aussi de ce que vous partagez, en fonction de votre cadence de publication (qui doit être plus élevée qu’ailleurs) et, enfin, en fonction du nombre d’interactions qui sont générées. Il y en a 3 : vous aimez un tweet (anciennement c’était un bouton dénommé Favoris), un retweet simple et un retweet avec une citation. Le Graal, c’est de se retrouver dans les Trending Topics, les tendances. Elles évoluent en permanence.
Twitter donc, c’est l’endroit où l’on s’informe d’abord. Où l’on s’instruit. C’est un univers qui repose sur une autre temporalité : toute information y a une date de péremption très proche de sa mise en ligne. Autrement dit, une fois en ligne, il faut quelques minutes seulement pour que cette info passe aux oubliettes. Sur Twitter donc, ça va vite. Très vite. Comme ailleurs, ce qui fonctionne le mieux ce sont les tweets accompagnés d’une photo ou, mieux, les tweets accompagnés d’une très courte vidéo.
L’équation gagnante sur Twitter est beaucoup plus simple qu’ailleurs : soit vous êtes intéressant et donc, ça fonctionne. Soit, vous ne l’êtes pas et vous resterez dans une relative solitude numérique. Sur Twitter, on mesure l’intérêt que vous produisez grâce au nombre de followers qui vous suivent, en fonction de l’intérêt aussi de ce que vous partagez, en fonction de votre cadence de publication (qui doit être plus élevée qu’ailleurs) et, enfin, en fonction du nombre d’interactions qui sont générées. Il y en a 3 : vous aimez un tweet (anciennement c’était un bouton dénommé Favoris), un retweet simple et un retweet avec une citation. Le Graal, c’est de se retrouver dans les Trending Topics, les tendances. Elles évoluent en permanence.
À faire et à ne pas faire :
Soyez intéressant
Comme sur tous les réseaux sociaux ou sur l’ensemble des supports, il y a une condition sine qua non à respecter : ne jamais être ennuyeux. Et donc, tenter autant que faire ce peu, d’être intéressant. Être intéressant : cela veut dire partager un contenu qui conduit à la satisfaction ou à la réaction. Vous le mesurez facilement avec l’engagement que vous produisez et, sur Twitter, la plateforme vous propose un outil de mesure qui vous offre des statistiques, on va dire de base. Il faut généralement beaucoup tweeter pour générer de l’audience, en tous cas, être présent, surtout en semaine. Le week-end, Twitter c’est mort sauf chez ceux qui regardent la TV…
Soignez les publications
L’internaute n’est pas dupe. Un seul partage d’un lien ne suffit pas. Il faut soigner la publication. Un tweet est toujours plus performant en proposant une autre entrée de lecture que la seule reprise du titre de l’article. Accompagner son tweet d’une illustration, c’est aussi maximiser sa propulsion. Plus encore, grâce à une vidéo. Il existe d’ailleurs des outils intéressants qui permettent par exemple d’insérer du son, des images et du texte comme du sous-titrage. Le sous-titrage est très important car beaucoup n’utilisent pas le son sur Twitter. Pour rappel, sur Twitter, on n’a jamais deux fois la possibilité de faire une bonne impression : un tweet envoyé ne peut pas (encore) être corrigé.
Suivez les tendances
Sur Twitter, on utilise des # quand on veut se faire connaître et surtout apparaitre dans les résultats de recherche et dans les résultats des Trending Topics. Vous n’êtes pas le seul à le faire donc, il faut jouer des coudes. Une fois que vous avez construit votre communauté, ces # ne sont pas franchement utiles… Dans vos tweets, vous pouvez aussi taguer d’autres utilisateurs. Vous pouvez suivre d’autres utilisateurs mais pas les forcer à vous suivre. Donc, si vous êtes suivi (si vous avez beaucoup de followers, c’est ce que vous êtes populaire ou plutôt intéressant). À partir de combien est-on intéressant ? À vous d’y répondre…
Humanisez votre compte
Sur les réseaux sociaux, mettez le moteur à l’ombre et mettez-vous dans la lumière pour humaniser votre profil. Il faut d’abord que les followers comprennent qu’il y a un individu derrière un compte. Un vrai individu : pas un robot. Donc, c’est important d’humaniser votre profil. Comment ? C’est un savant mélange entre vie professionnelle et personnelle. Dans quel but ? Démontrer que vous êtes comme vos followers : vous avez les mêmes centres d’intérêt, les mêmes coups de gueules, les mêmes coups de coeur, les même affinités…
Ne mettez pas votre compte en privé
C’est une possibilité offerte par Twitter : cadenasser votre compte. Seuls les followers que vous avez choisis peuvent y avoir accès (c’est un peu comme un groupe privé sur Facebook). J’ai jamais compris à quoi ça servait…
Quoi qu’il en soit, et c’est mathématique, plus vous serez présent sur les réseaux sociaux, plus vous engagerez de l’audience. Quand on débute dans le monde du podcast, mieux vaut donc occuper l’espace, tout l’espace, pour multiplier les opportunités. Faire le choix d’en mettre un ou plusieurs de côté, comme mettre de côté Twitter, c’est probablement être un peu prétentieux dans sa démarche ou être certain de la réussite de sa stratégie. Ensuite, bien sûr, tout cela exige du travail : une mise en ligne régulière et de qualité. Cela demande du temps, et le temps c’est, toujours, de l’argent...
Soyez intéressant
Comme sur tous les réseaux sociaux ou sur l’ensemble des supports, il y a une condition sine qua non à respecter : ne jamais être ennuyeux. Et donc, tenter autant que faire ce peu, d’être intéressant. Être intéressant : cela veut dire partager un contenu qui conduit à la satisfaction ou à la réaction. Vous le mesurez facilement avec l’engagement que vous produisez et, sur Twitter, la plateforme vous propose un outil de mesure qui vous offre des statistiques, on va dire de base. Il faut généralement beaucoup tweeter pour générer de l’audience, en tous cas, être présent, surtout en semaine. Le week-end, Twitter c’est mort sauf chez ceux qui regardent la TV…
Soignez les publications
L’internaute n’est pas dupe. Un seul partage d’un lien ne suffit pas. Il faut soigner la publication. Un tweet est toujours plus performant en proposant une autre entrée de lecture que la seule reprise du titre de l’article. Accompagner son tweet d’une illustration, c’est aussi maximiser sa propulsion. Plus encore, grâce à une vidéo. Il existe d’ailleurs des outils intéressants qui permettent par exemple d’insérer du son, des images et du texte comme du sous-titrage. Le sous-titrage est très important car beaucoup n’utilisent pas le son sur Twitter. Pour rappel, sur Twitter, on n’a jamais deux fois la possibilité de faire une bonne impression : un tweet envoyé ne peut pas (encore) être corrigé.
Suivez les tendances
Sur Twitter, on utilise des # quand on veut se faire connaître et surtout apparaitre dans les résultats de recherche et dans les résultats des Trending Topics. Vous n’êtes pas le seul à le faire donc, il faut jouer des coudes. Une fois que vous avez construit votre communauté, ces # ne sont pas franchement utiles… Dans vos tweets, vous pouvez aussi taguer d’autres utilisateurs. Vous pouvez suivre d’autres utilisateurs mais pas les forcer à vous suivre. Donc, si vous êtes suivi (si vous avez beaucoup de followers, c’est ce que vous êtes populaire ou plutôt intéressant). À partir de combien est-on intéressant ? À vous d’y répondre…
Humanisez votre compte
Sur les réseaux sociaux, mettez le moteur à l’ombre et mettez-vous dans la lumière pour humaniser votre profil. Il faut d’abord que les followers comprennent qu’il y a un individu derrière un compte. Un vrai individu : pas un robot. Donc, c’est important d’humaniser votre profil. Comment ? C’est un savant mélange entre vie professionnelle et personnelle. Dans quel but ? Démontrer que vous êtes comme vos followers : vous avez les mêmes centres d’intérêt, les mêmes coups de gueules, les mêmes coups de coeur, les même affinités…
Ne mettez pas votre compte en privé
C’est une possibilité offerte par Twitter : cadenasser votre compte. Seuls les followers que vous avez choisis peuvent y avoir accès (c’est un peu comme un groupe privé sur Facebook). J’ai jamais compris à quoi ça servait…
Quoi qu’il en soit, et c’est mathématique, plus vous serez présent sur les réseaux sociaux, plus vous engagerez de l’audience. Quand on débute dans le monde du podcast, mieux vaut donc occuper l’espace, tout l’espace, pour multiplier les opportunités. Faire le choix d’en mettre un ou plusieurs de côté, comme mettre de côté Twitter, c’est probablement être un peu prétentieux dans sa démarche ou être certain de la réussite de sa stratégie. Ensuite, bien sûr, tout cela exige du travail : une mise en ligne régulière et de qualité. Cela demande du temps, et le temps c’est, toujours, de l’argent...
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