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Il propose d’accorder un délai à l’autorité de régulation pour adopter une nouvelle méthode qui fasse consensus. Ce plafond est un élément législatif majeur de protection des radios indépendantes françaises dans un secteur où la concentration du marché publicitaire s’est d’ores et déjà amplifiée.
Le SIRTI rappelle qu’il est primordial de préserver le plafond tel qu’il est aujourd’hui et avec une méthode de calcul cohérente afin de maintenir l’équilibre et le pluralisme du paysage radio. Ce plafond est essentiel, il constitue un outil de diversité de la bande FM indispensable à la survie et au développement d’un paysage dynamique de radios indépendantes, locales, régionales et thématiques.
Le SIRTI rappelle qu’il est primordial de préserver le plafond tel qu’il est aujourd’hui et avec une méthode de calcul cohérente afin de maintenir l’équilibre et le pluralisme du paysage radio. Ce plafond est essentiel, il constitue un outil de diversité de la bande FM indispensable à la survie et au développement d’un paysage dynamique de radios indépendantes, locales, régionales et thématiques.
Dans la perspective d’une invalidation de la méthode du 11 décembre 2013, le SIRTI fait confiance à l’autorité de régulation, et souhaite donc que le CSA propose rapidement, en accord avec les éditeurs, une nouvelle méthode fiable de calcul qui préserve le pluralisme des radios.
Cette méthode devra être cohérente avec les outils utilisés par le CSA pour planifier les fréquences en FM ainsi qu’avec ceux de Radio France pour calculer sa propre couverture.
Cette méthode devra être cohérente avec les outils utilisés par le CSA pour planifier les fréquences en FM ainsi qu’avec ceux de Radio France pour calculer sa propre couverture.
Les revenus publicitaires de Radio France resteront plafonnés
