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Les deux hommes se sont vus lundi soir. Et Mathieu a raconté cette entrevue à Europe 1, ce mardi matin. "J'ai apprécié son accueil. On était en tête-à-tête et pendant 30 minutes, on a échangé et conversé sur différents sujets. Je n'étais pas venu pour lui dire des amabilités et c'est pour cela que j'ai apprécié son accueil car ce n'était pas forcément très agréable pour lui de m'entendre dire que j'avais nourri beaucoup d'espoirs en son élection et que j'ai été beaucoup déçu par la suite", a expliqué le gérant de société.
Si la discussion était à bâton rompus, Matthieu a quand même souhaité l'orienter sur un sujet qui lui "tient à cœur : la régulation de l'immigration et la politique sécuritaire. Le président a contre-argumenté.
Si la discussion était à bâton rompus, Matthieu a quand même souhaité l'orienter sur un sujet qui lui "tient à cœur : la régulation de l'immigration et la politique sécuritaire. Le président a contre-argumenté.
"Je ne suis pas une girouette !"
Donc, un échange courtois, rendu possible grâce à Europe 1. Mais Mathieu a-t-il été convaincu par les arguments de Nicolas Sarkozy ? "Ce n'est pas 30 minutes de conversation qui vont me retourner. J'ai conscience qu'un citoyen lambda, comme moi, reçu par un ancien chef de l'Etat, c'est un grand privilège. Mais de là à changer mon vote, non. Je ne suis pas une girouette !"