D'ailleurs, quelle appellation faut-il donner à France Bleu (ex 107.1) à Paris ? C'est également une question que se pose le syndicat : "Depuis septembre, nous ne connaissons même plus le nom de notre propre radio : fini France Bleu 107.1 devenu "France Bleu" à l'antenne, "France Bleu Paris" sur les réseaux sociaux ou encore "France Bleu Paris région" sur le site Internet".
Le SNJ évoque également "une cure d’amaigrissement sévère" dans les effectifs de la station parisienne : "depuis un an, nous avons déjà perdu trois postes de journalistes, malgré un engagement écrit de l’ancien directeur du réseau de remplacer l'un d'eux. Un quatrième journaliste va rejoindre le pôle-enquête de Radio France" .
Le SNJ évoque également "une cure d’amaigrissement sévère" dans les effectifs de la station parisienne : "depuis un an, nous avons déjà perdu trois postes de journalistes, malgré un engagement écrit de l’ancien directeur du réseau de remplacer l'un d'eux. Un quatrième journaliste va rejoindre le pôle-enquête de Radio France" .
À cela s'ajoute aussi la présence à l’antenne de l'info-trafic qui "a fondu comme neige au soleil : plus assez attractive nous dit-on, alors que les applications pour la mobilité se multiplient. Pourtant, BFM-Paris a décidé d'en faire un axe fort de sa ligne éditoriale. Et pour le valoriser, la chaîne est allée recruter… chez nous, chez France Bleu (ex 107.1). Elle a engagé l’animateur emblématique de notre émission "On fait la route ensemble", abandonnée à la rentrée" s'agace le syndicat.
Le SNJ demande notamment à être enfin informé "du projet que Radio France a pour nous en matière éditoriale et pour ce qui concerne cette fameuse "convergence" avec Bleu réseau dont on nous menace depuis des mois" et demande enfin "des garanties en matière de postes et d’indépendance" pour ne pas devenir "la seule locale sous tutelle". À défaut, la station sera en grève le 7 novembre prochain.
Le SNJ demande notamment à être enfin informé "du projet que Radio France a pour nous en matière éditoriale et pour ce qui concerne cette fameuse "convergence" avec Bleu réseau dont on nous menace depuis des mois" et demande enfin "des garanties en matière de postes et d’indépendance" pour ne pas devenir "la seule locale sous tutelle". À défaut, la station sera en grève le 7 novembre prochain.