"J’appelle à de meilleures liaisons entre les unions de régulateurs et les réseaux d’opérateurs" a déclaré Olivier Schrameck. "Il y a là un champ très vaste d’association entre les groupes audiovisuels et ces acteurs de la régulation ainsi rassemblés [ERGA, CSA, RIRM, REFRAM... NDLR]. Un terrain d’ententes et d’actions conjuguées qui puissent bénéficier des coopérations bilatérales comme multilatérales des régulateurs, alors qu’elles nous unissent de plus en plus étroitement, institutionnellement et personnellement".
Une Europe des régulateurs
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"Le CSA plaide pour une régulation plus large et complète, cohérente, assouplie et rénovée, simplifiée aussi à l’heure du numérique (...) La régulation audiovisuelle ne peut se restreindre à une seule institution, mais appelle une coopération renforcée. Celle-ci a vocation à s’exercer entre plusieurs autorités de régulations sectorielles, mais aussi avec celles qui traitent de questions transversales fondamentales : la concurrence ainsi que la valorisation et la protection renforcée des droits d’auteurs et des données personnelles (...) Parallèlement, il nous faut renforcer aussi une Europe des régulateurs".
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