Martin Ajdari, 55 ans, est un profil de haut vol doté d’une riche expérience dans les secteurs des médias, de la culture et de l’administration publique. Diplômé de l'ESCP, de Sciences Po et de l’ENA, il a débuté sa carrière au ministère de l’Économie et des Finances avant de rejoindre Radio France en 2004 en tant que directeur général délégué.
Par la suite, il a occupé des fonctions stratégiques à France Télévisions, ainsi qu’au ministère de la Culture, où il a dirigé le cabinet des ministres Aurélie Filippetti et Fleur Pellerin. Depuis 2020, il est directeur général adjoint de l’Opéra national de Paris, chargé de la mise en œuvre du plan stratégique de l’établissement.
Par la suite, il a occupé des fonctions stratégiques à France Télévisions, ainsi qu’au ministère de la Culture, où il a dirigé le cabinet des ministres Aurélie Filippetti et Fleur Pellerin. Depuis 2020, il est directeur général adjoint de l’Opéra national de Paris, chargé de la mise en œuvre du plan stratégique de l’établissement.
Martin Ajdari succèdera à Roch-Olivier Maistre, qui quittera ses fonctions le 2 février 2025. Sous la présidence de Roch-Olivier Maistre, l’Arcom a connu des transformations majeures, notamment la fusion du CSA et de la HADOPI pour former l’Arcom, ainsi que le développement du DAB+, désormais bien ancré dans le paysage radiophonique français. Cette nomination s’inscrit dans une volonté d’assurer la continuité des réformes tout en apportant un souffle neuf à l’instance de régulation audiovisuelle et numérique.
Avant de prendre officiellement la tête de l’Arcom, le projet de nomination de Martin Ajdari sera soumis à l’examen des commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat, comme le prévoit la procédure légale. Cette étape sera cruciale pour valider la transition et confirmer le rôle central de l’Arcom dans la régulation des médias à l’ère numérique.
Avant de prendre officiellement la tête de l’Arcom, le projet de nomination de Martin Ajdari sera soumis à l’examen des commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat, comme le prévoit la procédure légale. Cette étape sera cruciale pour valider la transition et confirmer le rôle central de l’Arcom dans la régulation des médias à l’ère numérique.