La réponse ne s’est pas faite attendre. Cette fois-ci, c’est le GIE Les Indés Radios qui monte au créneau : "Les Indés Radios, 8.5 millions d'auditeurs quotidiens, rejoignent le Sirti pour réclamer le maintien d'une loi anti-concentration qui a fait ses preuves et un rattrapage sur 1000 fréquences FM supplémentaires".
Pour le Groupement (fondé il y a 21 ans et qui a réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 165 M€) : "empêcher les groupes nationaux d'absorber des radios indépendantes de catégorie B ne protège en aucun cas le secteur indépendant auquel le CSA a attribué des fréquences aussi bien en B, C, D que E".
Pour le Groupement (fondé il y a 21 ans et qui a réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 165 M€) : "empêcher les groupes nationaux d'absorber des radios indépendantes de catégorie B ne protège en aucun cas le secteur indépendant auquel le CSA a attribué des fréquences aussi bien en B, C, D que E".
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"L'absorption de radios indépendantes de catégorie C, D et E, possible dès lors que le plafond anti-concentration serait remis en cause, marginaliserait l'audience de ce groupement et réduirait à néant la part de chiffre d'affaires national des radios restantes. Ce qui remettrait en cause la viabilité de l'ensemble du secteur indépendant, B comprises".
Le groupement Les Indés Radios en profite pour rappeler que "le Bureau de la radio représente avec 4 groupes 60% des fréquences alors que le secteur indépendant en entier n'en représente que 15% avec 130 radios et qu’il a refusé le développement en Radio Numérique Terrestre qui lui aurait permis de développer de nouveaux projets sans nécessité d'absorber les fréquences FM attribuées à leurs confrères indépendants".