Interpellé par Claudy Siar au sujet de la grève de la faim qu’il a entamée dans les locaux de la radio locale à Paris Tropiques FM (lire ICI), le Conseil supérieur de l’audiovisuel rappelle qu’il s’est préoccupé "dès l’été 2013 du conflit opposant MM. Siar et Lemure, actionnaires, à M. Mouangué, également actionnaire et Mme Rousseau, gérante. Lors des échanges avec les représentants de la radio organisés par le Comité territorial de l’audiovisuel de Paris à l’occasion d’une visite sur place et d’auditions, de rendez-vous avec le conseiller Patrice Gélinet puis avec le Président Olivier Schrameck au sein d’une délégation du CREFOM, d’entretiens téléphoniques avec ceux-ci, il a été rappelé que le Conseil ne pouvait, en vertu de la loi, intervenir dans la résolution de conflits relatifs à l’organisation et à la gestion interne de la société".
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Si le Conseil veille au respect des engagements pris en matière de programmes et de conditions techniques d’autorisation, il n'a pas relevé de manquement de nature à remettre en cause les données au vu desquelles l'autorisation avait été délivrée. Il a seulement mis en garde la station le 4 février dernier en raison d’une durée insuffisante des informations et rubriques locales.
Pour autant : "Attaché au développement de cette radio et à son apport à l’expression de la culture ultra-marine, le Conseil maintient avec une attention particulière le contrôle du respect des engagements de la station".
Le Comité territorial de Paris du CSA reste prêt, comme il l'a toujours été, à exercer une mission de conciliation, avec l’accord des parties.
Pour autant : "Attaché au développement de cette radio et à son apport à l’expression de la culture ultra-marine, le Conseil maintient avec une attention particulière le contrôle du respect des engagements de la station".
Le Comité territorial de Paris du CSA reste prêt, comme il l'a toujours été, à exercer une mission de conciliation, avec l’accord des parties.