Ce dispositif vise les professions journalistiques énumérées au 1° de l’article 81 du CGI, à savoir : les journalistes, les rédacteurs, les photographes, les directeurs de journaux, les critiques dramatiques et musicaux. Le bénéfice de ce dispositif est lié à l’exercice effectif de la profession de journaliste.
Par conséquent, la simple possession de la carte d’identité professionnelle de journaliste ne permet pas à elle seule de bénéficier de ces dispositions. À l’inverse, l’exercice de la profession de journaliste de manière effective et continue sans détention de la carte ouvre droit au bénéfice de ces dispositions.
Cette allocation de frais d’emploi est à déduire des revenus imposables tirés de la profession de journaliste, soit 7 650 €, pour une activité, à temps plein où partiel.
Par conséquent, la simple possession de la carte d’identité professionnelle de journaliste ne permet pas à elle seule de bénéficier de ces dispositions. À l’inverse, l’exercice de la profession de journaliste de manière effective et continue sans détention de la carte ouvre droit au bénéfice de ces dispositions.
Cette allocation de frais d’emploi est à déduire des revenus imposables tirés de la profession de journaliste, soit 7 650 €, pour une activité, à temps plein où partiel.
Il appartient donc aux intéressés de choisir, lors de la souscription de leur déclaration des revenus, la solution qui leur paraît la plus avantageuse entre la déduction forfaitaire de 10 % avec exonération des allocations pour frais d’emploi (limitée à 7 650 €) ou la déduction des frais réels (le montant des frais réels doit alors être porté cases 1AK à 1DK selon la personne concernée au sein du foyer fiscal).