Les premiers éditoriaux des radios françaises donneraient-ils le ton de ce que sera cette année 2013 ? Si tel est le cas, il y a de quoi s’inquiéter. Olivier Duhamel qui anime Médiapolis sur Europe 1 s’est intéressé aux éditoriaux diffusés ce 2 janvier sur Europe 1, RTL et France Inter.
Le constat ? Les prévisions démentent tout l’optimisme de François Hollande. Axel de Tarlé (le 2 à 7h10 sur Europe 1) évoque "plus de chômage, plus de déficits, une crise peut-être plus sévère". Dominique Seux (le 2 à 7h20 sur France Inter) parle d’une "économie 2013 qui paraît cuite et ultra cuite". Pour Bénédicte Tassart (le 2 à 7h25 sur RTL), "les personnes pourtant optimistes en général pour 2013 ne semblent pas considérer le gouvernement en mesure d’agir". Enfin, pour Nicolas Beytout (le 2 janvier à 7h45 sur France Inter), "il n’y a rigoureusement aucune chance pour que la courbe du chômage se retourne à la fin de l’année".
Si tout cela se confirme en 2013, la radio aura donc une carte à jouer durant les prochains mois. Celle de créer des programmes autour d’un de ses fondamentaux : le divertissement. Car c’est bien ce que recherchera l’auditeur : être diverti par la radio pour oublier, même provisoirement, la crise. Le divertissement pourrait ainsi être le fil rouge des programmes en 2013 pour ceux qui voudraient générer de l'audience.
Le constat ? Les prévisions démentent tout l’optimisme de François Hollande. Axel de Tarlé (le 2 à 7h10 sur Europe 1) évoque "plus de chômage, plus de déficits, une crise peut-être plus sévère". Dominique Seux (le 2 à 7h20 sur France Inter) parle d’une "économie 2013 qui paraît cuite et ultra cuite". Pour Bénédicte Tassart (le 2 à 7h25 sur RTL), "les personnes pourtant optimistes en général pour 2013 ne semblent pas considérer le gouvernement en mesure d’agir". Enfin, pour Nicolas Beytout (le 2 janvier à 7h45 sur France Inter), "il n’y a rigoureusement aucune chance pour que la courbe du chômage se retourne à la fin de l’année".
Si tout cela se confirme en 2013, la radio aura donc une carte à jouer durant les prochains mois. Celle de créer des programmes autour d’un de ses fondamentaux : le divertissement. Car c’est bien ce que recherchera l’auditeur : être diverti par la radio pour oublier, même provisoirement, la crise. Le divertissement pourrait ainsi être le fil rouge des programmes en 2013 pour ceux qui voudraient générer de l'audience.