Franck Pelloux est remonté. Lui et sa petite équipe, qui ont depuis 5 ans la tête dans le guidon, viennent encore de recevoir une réponse négative du CSA pour l’attribution d’une nouvelle fréquence. Celle-ci aurait pourtant été synonyme de bouffée d’oxygène, en particulier, sur le plan financier. La réponse négative du CSA n’a pourtant pas découragé Franck Pelloux qui en appelle aujourd’hui au Ministère de la culture et de la communication.
Transparence et concurrence
Dans un courrier adressé à Aurélie Filippetti, Franck Pelloux demande plus de transparence dans l’attribution des fréquences en s’interrogeant : "Qui décide et comment ? Quels sont les critères ? Y a-t-il encore des critères ?"
Le dijonnais en profite pour faire d’une pierre deux coups en mettant un exergue les difficiles relations entre les locales du service public et les radios locales privées. Dans ce même courrier, Frank Pelloux se fait indirectement le porte-parole de nombreuses radios de province en évoquant la stratégie de France Bleu : "concurrence déloyale et contrat d’exclusivité et de publicité locale maquillée malgré des millions d’euros de subventions pour chaque station".
Pour autant, l’équilibre financier semble être maintenant atteint depuis deux ans, et le passif des premières années en cours d’absorption. La station emploie désormais 5 personnes et de nombreux pigistes. Le CA 2012 devrait flirter avec les 400 K€ (une croissance à deux chiffres chaque année depuis 2008). Un chiffre d’affaires qui évolue forcément en fonction des nouvelles fréquences que Franck Pelloux espère obtenir du CSA.
Le dijonnais en profite pour faire d’une pierre deux coups en mettant un exergue les difficiles relations entre les locales du service public et les radios locales privées. Dans ce même courrier, Frank Pelloux se fait indirectement le porte-parole de nombreuses radios de province en évoquant la stratégie de France Bleu : "concurrence déloyale et contrat d’exclusivité et de publicité locale maquillée malgré des millions d’euros de subventions pour chaque station".
Pour autant, l’équilibre financier semble être maintenant atteint depuis deux ans, et le passif des premières années en cours d’absorption. La station emploie désormais 5 personnes et de nombreux pigistes. Le CA 2012 devrait flirter avec les 400 K€ (une croissance à deux chiffres chaque année depuis 2008). Un chiffre d’affaires qui évolue forcément en fonction des nouvelles fréquences que Franck Pelloux espère obtenir du CSA.
K6FM est écoutée 67100 auditeurs fidèles en Côte d'Or (+ 29 % en un an), dont 26 800 personnes qui écoutent le programme, tous les jours ou presque (+ 40 % en un an).
K6FM est leader en PDA sur la tranche 35/49 ans, deuxième offre en PDA sur les 25/49 ans et enregistre la meilleure durée d’écoute de toutes les radios privées commercialisables localement. En 2012, K6FM a conforté son auditoire qualitatif : plus d’un auditeur sur deux est un CSPI+.
K6FM est leader en PDA sur la tranche 35/49 ans, deuxième offre en PDA sur les 25/49 ans et enregistre la meilleure durée d’écoute de toutes les radios privées commercialisables localement. En 2012, K6FM a conforté son auditoire qualitatif : plus d’un auditeur sur deux est un CSPI+.