Quels enseignements tirés de ce sondage réalisé par Opinionway pour la radio Raje ? Le manque de mobilité, le coût et le non respect de l’anonymat constituent un frein à l’écoute de la radio sur Internet pour une majorité de personnes interrogées. A contrario, 45% des Français ont déjà entendu parler de la RNT, plus d’un tiers des sondés serait prêt à investir pour accéder à la RNT.
Si 45% des français ont entendu parler de RNT seulement 16% savent ce que c’est. RAJE en conclu que ces chiffres ne sont pas si mauvais vu qu’il n’y eu aucune communication grand public sur le sujet. Cela laisse un fort potentiel.
78% des sondés sont intéressés par la RNT mais 58% ne souhaitent pas dépenser un euro pour la recevoir. 20% seraient prêts à payer jusqu’à 20 euros, 16% plus de 30 euros. Pour RAJE, c’est "une excellente nouvelle alors que la plupart des adaptateurs sur le marché sont en vente entre 20 et 30 euros". Il faut aussi rappeler que le coût d’un appareil, avec ou sans RNT, est sensiblement identique.
Si 45% des français ont entendu parler de RNT seulement 16% savent ce que c’est. RAJE en conclu que ces chiffres ne sont pas si mauvais vu qu’il n’y eu aucune communication grand public sur le sujet. Cela laisse un fort potentiel.
78% des sondés sont intéressés par la RNT mais 58% ne souhaitent pas dépenser un euro pour la recevoir. 20% seraient prêts à payer jusqu’à 20 euros, 16% plus de 30 euros. Pour RAJE, c’est "une excellente nouvelle alors que la plupart des adaptateurs sur le marché sont en vente entre 20 et 30 euros". Il faut aussi rappeler que le coût d’un appareil, avec ou sans RNT, est sensiblement identique.
Freins perçus à l’écoute de la radio sur Internet
Notoriété de la radio numérique terrestre
Investissement envisagé dans un équipement recevant la RNT
L'heure de la confrontation
"La situation actuelle pourrait se résumer à une confrontation entre d’un côté les conservateurs qui souhaitent que rien ne bouge afin de défendre leurs intérêts (légitimes) commerciaux et les progressistes qui ont tout intérêt (légitime encore) à ce que la RNT soit lancée dans les meilleures conditions. Le tout sous les yeux d’acteurs qui voient dans la RNT un enjeu central pour l’avenir du média radio comme le CSA qui l’a indiqué en janvier dernier à l’occasion de la publication de son rapport sur l’évolution des modes de diffusion de la radio et d’autres qui semblent être dans une expectative silencieuse, le Gouvernement et le Groupe Radio France" a expliqué Valère Correard, DG Média du Groupe SOS.