LLP - Pourquoi cette opération sur Sud Radio ?
CB - Sud Radio devient la première radio généraliste d'information en France à se positionner aussi clairement sur cette thématique qui, au fil des mois, va prendre une ampleur particulière, puisque fin novembre, la France accueillera la conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Paris. Le monde entier va se retrouver au chevet de la planète pour tenter de se mettre d'accord sur les mesures nécessaires pour endiguer le réchauffement climatique et ses conséquences.
C'est un sujet qui peut nous paraître lointain mais qui en réalité nous touche au quotidien. Ce que nous avons voulu, c'est jouer la carte de la proximité, en mettant en valeur des initiatives citoyennes positives et concrètes.
Pour cela , nous avons souhaité que l'un de nos météorologues Sud Radio, Olivier Cèbe, nous raconte chaque jour de belles histoires autour de l'écologie et de l'environnement. Il s'agit de montrer qu il existe autre chose qu'une écologie punitive.
CB - Sud Radio devient la première radio généraliste d'information en France à se positionner aussi clairement sur cette thématique qui, au fil des mois, va prendre une ampleur particulière, puisque fin novembre, la France accueillera la conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Paris. Le monde entier va se retrouver au chevet de la planète pour tenter de se mettre d'accord sur les mesures nécessaires pour endiguer le réchauffement climatique et ses conséquences.
C'est un sujet qui peut nous paraître lointain mais qui en réalité nous touche au quotidien. Ce que nous avons voulu, c'est jouer la carte de la proximité, en mettant en valeur des initiatives citoyennes positives et concrètes.
Pour cela , nous avons souhaité que l'un de nos météorologues Sud Radio, Olivier Cèbe, nous raconte chaque jour de belles histoires autour de l'écologie et de l'environnement. Il s'agit de montrer qu il existe autre chose qu'une écologie punitive.
LLP - Comment va s’articuler cette opération jusqu’à la conférence sur le climat à Paris en décembre prochain ?
CB - Au delà de cette opération quotidienne, nous allons, dès le mois de septembre, organiser en direct un débat hebdomadaire sur une question environnementale. Pour cela, nous allons travaillé avec le WWF qui va nous apporter de la matière mais aussi permettre à de grands spécialistes de l'environnement de venir nous raconter la terre et les océans aujourd'hui victimes des pollutions les plus abominables, c'est la cas, par exemple, de la Méditerranée avec des plages et des fonds marins jonchés de plastiques. Par ailleurs, la rédaction fera des reportages réguliers et nous serons en décembre avec le WWF au cœur des négociations de Paris.
CB - Au delà de cette opération quotidienne, nous allons, dès le mois de septembre, organiser en direct un débat hebdomadaire sur une question environnementale. Pour cela, nous allons travaillé avec le WWF qui va nous apporter de la matière mais aussi permettre à de grands spécialistes de l'environnement de venir nous raconter la terre et les océans aujourd'hui victimes des pollutions les plus abominables, c'est la cas, par exemple, de la Méditerranée avec des plages et des fonds marins jonchés de plastiques. Par ailleurs, la rédaction fera des reportages réguliers et nous serons en décembre avec le WWF au cœur des négociations de Paris.
LLP - Les auditeurs de Sud Radio sont-ils sensibles à l’écologie ?
CB - La question, c'est plutôt de savoir si l'on attend de savoir ce que souhaite l'auditeur (qui est responsable de son environnement) ou si Sud Radio lui propose de l'information dans laquelle, il peut trouver des réponses à ses questions. Je suis, par définition, pour attirer l’auditeur en lui proposant de l'information. Si la question est de savoir si sur l'écologie, comme sur les autres sujets, il faut être populiste pour que ça marche, je dis non, il y en a d'autres qui font ça très bien et c'est pas pour cela que l'on est mieux informé. Je préfère donc une information populaire de qualité y compris sur l'environnement et l'écologie.
CB - La question, c'est plutôt de savoir si l'on attend de savoir ce que souhaite l'auditeur (qui est responsable de son environnement) ou si Sud Radio lui propose de l'information dans laquelle, il peut trouver des réponses à ses questions. Je suis, par définition, pour attirer l’auditeur en lui proposant de l'information. Si la question est de savoir si sur l'écologie, comme sur les autres sujets, il faut être populiste pour que ça marche, je dis non, il y en a d'autres qui font ça très bien et c'est pas pour cela que l'on est mieux informé. Je préfère donc une information populaire de qualité y compris sur l'environnement et l'écologie.