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Tout comme en télévision où une partie de la bande III a été concédée aux services Télécom, ce qui impose un changement de fréquences pour certaines chaines de la TNT, changement rendu difficile par la réduction de la place dédiée à la diffusion de la télévision, l’ANFR envisage aujourd’hui de suivre le même mouvement pour la bande L, mouvement encouragé par les institutions européennes.
Jusqu’à présent, cette bande de fréquence était divisée en deux parties, une gérée par le CSA et l’autre gérée par l’ARCEP. La nouvelle disposition prévoit donc d’attribuer toutes les fréquences aux télécommunications, décidément très gourmandes.
Jusqu’à présent, cette bande de fréquence était divisée en deux parties, une gérée par le CSA et l’autre gérée par l’ARCEP. La nouvelle disposition prévoit donc d’attribuer toutes les fréquences aux télécommunications, décidément très gourmandes.
Le CSA rappelle qu’en janvier 2013, il a autorisé Onde Numérique à exploiter un bouquet payant de radios numériques sur cette bande de fréquences. Le Conseil souhaite que "les autorités françaises prennent toutes les dispositions nécessaires afin que l’opérateur puisse poursuivre son activité jusqu’au terme de son autorisation", reconductions légales comprises. Le CSA demande donc que la répartition des fréquences telle qu’organisée actuellement perdure.
La partie de la bande L gérée par le CSA n’est utilisée aujourd’hui que par Onde Numérique. Utilisée est un grand mot puisque, malgré une autorisation prévoyant l’exploitation effective du service en avril 2014, à part des tests à Toulouse, où est basée cette société, rien n’a été lancé. Le CSA prévoyait que le réseau devait couvrir au moins 20% de la population métropolitaine en janvier 2016. Échéance qui semblerait difficile à tenir.
La partie de la bande L gérée par le CSA n’est utilisée aujourd’hui que par Onde Numérique. Utilisée est un grand mot puisque, malgré une autorisation prévoyant l’exploitation effective du service en avril 2014, à part des tests à Toulouse, où est basée cette société, rien n’a été lancé. Le CSA prévoyait que le réseau devait couvrir au moins 20% de la population métropolitaine en janvier 2016. Échéance qui semblerait difficile à tenir.