Radio Classique va bien. Son audience est en progression dans les 98 villes où elle est diffusée, avec parfois des pics à plus de 5% dans certaines villes. Ses recettes publicitaires sont, elles aussi, en progression. Radio Classique se veut être une radio à part : deux radios en une, une qui fait de l’information, une autre qui diffuse de la musique classique.
Cette nouvelle campagne de publicité a donc pour but de mieux faire connaître la radio auprès des CSP+ actifs : les 35 / 60 ans. Attirer non seulement les grands amateurs de musique classique, mais aussi les amateurs occasionnels qui trouvent ainsi un refuge, une bulle hors de l’agitation du quotidien.
La campagne exprime, de façon simple et décalée, l'idée que grâce à Radio Classique, les plus grands compositeurs - de Bach à Beethoven - s'invitent sous une douche ou d'un embouteillage...
Cette nouvelle campagne de publicité a donc pour but de mieux faire connaître la radio auprès des CSP+ actifs : les 35 / 60 ans. Attirer non seulement les grands amateurs de musique classique, mais aussi les amateurs occasionnels qui trouvent ainsi un refuge, une bulle hors de l’agitation du quotidien.
La campagne exprime, de façon simple et décalée, l'idée que grâce à Radio Classique, les plus grands compositeurs - de Bach à Beethoven - s'invitent sous une douche ou d'un embouteillage...
La réalisation des deux visuels a été confiée à un grand nom de la photographie : Peter Lippmann, qui a notamment signé de célèbres photos de luxe et de mode - et dont le challenge, a été ici de redonner vie à deux grands compositeurs dans un univers contemporain. Les deux modèles interprétant Jean-Sébastien Bach et Ludwig Van Beethoven ont fait l'objet d'une prise de vues à la qualité telle que les images, pourtant photographiées, semblent évoquer des tableaux de maîtres.
Deux affiches sont prévues dans un premier temps. Une donc avec Beethoven sous la douche, l’autre avec Bach, dans une voiture. L’accroche, "Radio Classique, la radio qui change des radios classiques" utilise volontairement trois fois le mot radio. "C’est volontaire".
Deux affiches sont prévues dans un premier temps. Une donc avec Beethoven sous la douche, l’autre avec Bach, dans une voiture. L’accroche, "Radio Classique, la radio qui change des radios classiques" utilise volontairement trois fois le mot radio. "C’est volontaire".
La campagne fait l'objet d'un déploiement national avec un important dispositif d'affichage à Paris et dans 23 autres grandes villes de France. Sur des supports imposants (de 2 à 8m2), la campagne est visible dans des zones de forts passages urbains (parkings, gares, métros, grandes avenues).Un plan média d'envergure a également été prévu dans la presse quotidienne et hebdomadaire nationale (Le Figaro, Les Echos, Le Monde, Le Parisien, Le Point, L'Obs, Marianne, Challenges, l'Express, Madame Figaro, Télérama etc.). L'ensemble de la campagne se déroule sur un mois et demi (du 10 novembre au 19 décembre) et est valorisé à 2,6 millions d'euros.
Une campagne qui répond à un triple objectif : développer la notoriété de la radio, affirmer son caractère unique, et in fine, séduire de nouveaux auditeurs.
Une campagne qui répond à un triple objectif : développer la notoriété de la radio, affirmer son caractère unique, et in fine, séduire de nouveaux auditeurs.