C'est le nombre mensuel, en millions, de téléchargements des podcasts de France Culture. La station de Radio France est championne des téléchargements d’émissions et pionnière des podcasts natifs conçus pour les supports numériques (Hasta Dente !, Superfails, L’anachronique culturelle…). Ces productions seront à l'honneur au Paris Podcast Festival qui s'ouvre ce vendredi.

C'est le nombre de grands rendez-vous du Paris Podcast Festival de vendredi à dimanche à la Gaîté Lyrique, en partenariat avec La Lettre Pro de la Radio. Vous pourrez assister à l’enregistrement d’un épisode spécial festival ou encore participer à des écoutes collectives.

C'est le nombre de Français qui connaissent au moins un assistant vocal, selon une étude sur les assistants vocaux de MyMedia.group, publiée par nos confrères d'OffreMedia. On apprend que 61% l'utilisent plus ou moins occasionnellement et 19% se déclarent utilisateurs réguliers l'usage des assistants vocaux. Le premier support pour l’usage des assistants vocaux est le smartphone, en particulier pour les 18-34 ans (60% de pénétration). Les enceintes connectées ne sont citées que par 13% des interrogés.

C'est la part d'audience de la radio numérique terrestre (DAB+) au Royaume-Uni, selon une étude MIDAS. La bande FM / FM reste encore majoritaire avec 55,1 % de part de marché. Les assistants vocaux représentent 4 % et la TVA 12 %.

La radio est "un média transgénérationnel" selon Médiamétrie. Plébiscitée par les 35-59 ans (près de 85% d’entre eux l’écoutent chaque jour), elle touche aussi les jeunes (72% des 13-24 ans) et les seniors (78% des 60 ans et plus). Chacun y trouve ses centres d’intérêt. Il faut dire que l’offre est riche et plurielle : on recense 900 stations en France et 7 000 fréquences.

C'est le nombre (en millions de personnes) en France qui écoutent la radio. Les auditeurs, toutes générations confondues, lui font confiance autant pour l’information que pour la musique, selon l’Année Radio de Médiamétrie.

Radio France se différencie déjà par le volume de publicité diffusé : "Plafonné à 17 minutes par jour, contre plus de 2 heures sur les radios privés, c'est une vraie différence" a expliqué, ce mercredi matin, Sibyle Veil, sur France Inter.

Selon l'IFPI, la musique est complètement partie prenante de notre vie quotidienne : en moyenne, nous en écoutons 17.8 heures par semaine, la voiture étant le lieu d’écoute le plus populaire. Le streaming est omniprésent : 86% d’entre nous écoutent la musique grâce à un service de streaming à la demande.

Le nouveau Campus Altice rassemble 1 300 personnes dont 1 000 journalistes. À cela, s'ajoutent 7 plateaux, 53 caméras, 300 écrans, 13 chaînes de télévision, 2 radios (RMC et BFM Business), 130 émissions différentes chaque semaine, 5 matinales quotidiennes… Le Campus Altice  aura coûté 35 M€.
 

jusqu’au 2 novembre, les collaborateurs de Radio France et les employés de Radio-Canada sont invités à participer à un grand concours d’idées autour de l’innovation et du numérique. Deux idées (une pour chaque entreprise) seront sélectionnées. Les vainqueurs de chaque pays seront accueillis dans les locaux des organisateurs, pour participer au prototypage de leur projet.

Un rapport parlementaire préconise 40 recommandations avant la nouvelle loi, prévue en 2019, dans le cadre d'une réforme de l'audiovisuelle. Objectifs : encadrer davantage les plates-formes comme Netflix ou supprimer la publicité sur Radio France et France 5.  Un montant de 100 M€, via les recettes de la redevance élargie, seraient affectées à Radio France et France 5 en guise de compensation.

En voiture, la radio connaît un vrai succès. Le volume d’écoute en voiture, en semaine, est de 31% et de 40% chez les actifs. Près de la moitié du volume d’écoute des programmes musicaux se fait d'ailleurs en voiture. Les pics de consommation de la radio en voiture sont à 07h45 et à 17h selon Médiamétrie.

La Suisse compte 4 multiplex nationaux, 5 multiplex régionaux et 2 multiplex locaux. Sur les 136 services disponibles en DAB ou en DAB+, 50 ne font pas l’objet d’une diffusion simultanée en FM. La réception analogique ne représentait plus à l’automne 2017 que 39% du volume d’écoute de la radio, soit une baisse de 12 points en 2 ans au profit du DAB+.

En 2017, 1 301 titres francophones ont été envoyés par l’ensemble des producteurs aux radios via Muzicenter. Ces 1301 titres francophones ont représenté 42% des envois aux radios (hors instrumental). Ces 1 301 titres francophones envoyés aux radios ne représentent pas l’exhaustivité de la production et les réseaux jeunes concentrent 92% de leurs diffusions francophones mensuelles sur seulement 50 titres.

Calculé à partir des diffusions sur plus de 200 radios, l'intérêt et l'originalité du classement "Le Radio Buzz 40 / La Lettre Pro de la Radio" c'est surtout qu'il ne prend pas en compte l’audience des radios, autrement dit :  "Un programmateur = 1 voix".  "Le Radio Buzz 40 / La Lettre Pro de la Radio"  classe les 40 titres du moment. Consultable ICI.

Après le succès des trois dernières éditions, Radio France met à l’honneur la richesse de son trésor musical pour la troisième année consécutive. 4 550 disques vinyles sélectionnés parmi les double ou triple exemplaires de la Discothèque de Radio France, et répartis en 505 lots sont proposés à la vente jusqu'au 11 octobre.

Au classement estival de l'ACPM, le groupe Radionomy est celui qui motorise le plus de flux différents : 9 082 pour 227 913 746 écoutes actives à l'international. Radio France en propose 70, NRJ Group 819, les Indés Radios 357, Espace Group 148 et seulement 2 (RMC et BFM Business) pour le groupe NextRadioTV.

Selon Yacast, c'est la part du temps d'antenne occupée par la musique sur NRJ. Chez les autres radios musicales, cette part est de 53% sur Skyrock, de 56% sur Fun Radio,  de 61% sur Virgin Radio, de 63% sur Mouv', de 65% sur M Radio, de 73% sur RFM et sur Nostalgie, de 74% sur RTL2 et sur Chérie. Une part qui est de seulement 24% sur Rire & Chansons.

L’ouverture totale des secteurs interdits comme le ciné­ma, l'édition littéraire et les opérations commerciales de la distribution à la publicité télévisée pourrait complètement bouleverser le marché pub d'ici 2022. La radio serait la grande victime et pourrait perdre jusqu’à 238 millions d’euros.

C'est le nombre de régies radio publicitaires qui ont décidé de se regrouper sous la bannière de l'Union des régies radio. La future association devrait officiellement voir le jour à la rentrée. Elle se composera de Ketil Media, Lagardère Publicité, LNEI, M6 Publicité, NextRégie, NRJ Global, Radio France Publicité, TF1 Publicité et SkyRégie.