D’abord, je ferai un premier commentaire très personnel. Un commentaire d’auditeur. Je ne suis pas certain que la musique et le podcast fassent bon ménage. Je m’explique. Le podcast, c’est d’abord la voix. Donc, l’auditeur est d’abord sensible à la voix et, plus précisément, à la conversation abordée, aux dialogues, aux sujets, aux échanges entre les individus.
La musique vient, selon moi, après, en second plan. Elle n’est d’ailleurs pas forcément obligatoire, indispensable, impérative... Les auditeurs de podcast viennent d’abord écouter des mots dans une conversation, apprendre des infos, affiner leur vision et affuter leur curiosité. Pour le reste, il y a la radio qui sait, presque, bien le faire. Un podcast de musiques n’est donc plus tout à fait un podcast au sens où on l’entend aujourd’hui et pas tout à fait une émission de flux musical. C’est la raison pour laquelle, je vois davantage la musique comme un complément et comme une sorte de décoration sonore. Cela dit, je vais partager trois réflexions sur la musique dans les podcasts. Musique qui peut y trouver sa place, sous différentes formes. Il faut intelligemment penser à cette éventuelle déclinaison.
D’abord l’habillage
C’est l’emballage de votre podcast. On parle de générique quoique ce terme a pris un sérieux coup de vieux ces dernières années. On peut utiliser une musique pour ouvrir son podcast et pour le conclure. Quelle longueur ? Je vous dirai que plus c’est court, plus c’est bon parce que je pense que l’on doit tout de suite entrer dans le vif du sujet. Un générique de 2 ou 3 minutes, c’est aussi prendre le risque de ne pas encourager l’auditeur, toujours pressé, à aller plus loin dans l’écoute et à vous abandonner avant même avoir eu le temps d’aborder le sujet. Donc ici, on parlera davantage de virgules très courtes, moins de 10 secondes avec, pourquoi, une voix spécifique… C’est le jingle. Et dans le domaine du podcast, vous avez tout intérêt de vous lâcher. L’auditeur de podcast n’est pas l’auditeur de radio. Il veut être surpris. Il aime quand c’est créatif. Il aime quand ça casse les codes.
Ensuite, l’extrait
C’est intéressant de mettre en musique ces propos. C’est intéressant, par exemple, lorsque vous produisez un podcast sur Halloween de proposer un court medley d’extraits de chansons qui gravitent autour de cette thématique. L’extrait musical quand il est en lien avec le sujet abordé, quand il apporte une autre vision ou une vision complémentaire à une conversation et à un contenu, c’est très intéressant. Dans tous les cas, on ne devrait pas forcément inclure une musique sans raison valable au risque de produire un podcast ennuyeux. Il faut bien y réfléchir. Ici, vous êtes libre de faire ce que vous voulez mais surtout de ne pas faire comme les autres !
Enfin, l’illustration
Ici, je fais référence à la musique (autrement dit à la chanson) qui tient une place centrale dans le podcast. Le risque, c’est de glisser vers l’émission de radio et de réunir, au même moment et au même endroit, tous les ingrédients d’une émission destinée à la radio. Je lisais récemment un article sur un de nos supports consacré aux podcasts du Groupe M6. J’en extrait une phrase d’Eva Respault, directrice des activités digitales du Groupe M6 : "Aujourd’hui, on pense une émission de radio pas seulement pour l’antenne mais aussi pour le digital". Voilà tout est dit, et confirme ce que je disais à l’instant. Pas question de faire une émission de radio sans penser à sa déclinaison en podcast. Proposer un podcast essentiellement constitué de musiques (à l’image donc d’une émission de radio) a peu de chance d’attirer les foules. Donc, d’abord, dans votre démarche, vous gagneriez à ne jamais vous éloigner du "Podcast d’abord". Ne surtout pas copier ce que fait la radio, car ce que fait la radio aujourd’hui, ça ne marche plus ou moins bien qu’auparavant.
Pour le reste, soyez curieux. Désormais, Internet regorge de millions de sons en libre accès. Rien ne vous empêche de les créer vous-même grâce à des logiciels simples d’accès et d’utilisation (dans ce cas, vous personnaliserez d’autant plus votre podcast). Soyez aussi attentif aux studios et aux compositeurs pour qui, la musique et l’habillage, c’est le métier. Et puis, enfin, soyez attentif à l’aspect juridique. Ai-je le droit de diffuser tel ou tel contenu musical ? Quelle durée maximale pour un extrait ? Comment va réagir ma plateforme si je diffuse de la musique déposée dans un organisme comme la Sacem ? Autant de questions qui méritent donc une vraie réflexion...
D’abord l’habillage
C’est l’emballage de votre podcast. On parle de générique quoique ce terme a pris un sérieux coup de vieux ces dernières années. On peut utiliser une musique pour ouvrir son podcast et pour le conclure. Quelle longueur ? Je vous dirai que plus c’est court, plus c’est bon parce que je pense que l’on doit tout de suite entrer dans le vif du sujet. Un générique de 2 ou 3 minutes, c’est aussi prendre le risque de ne pas encourager l’auditeur, toujours pressé, à aller plus loin dans l’écoute et à vous abandonner avant même avoir eu le temps d’aborder le sujet. Donc ici, on parlera davantage de virgules très courtes, moins de 10 secondes avec, pourquoi, une voix spécifique… C’est le jingle. Et dans le domaine du podcast, vous avez tout intérêt de vous lâcher. L’auditeur de podcast n’est pas l’auditeur de radio. Il veut être surpris. Il aime quand c’est créatif. Il aime quand ça casse les codes.
Ensuite, l’extrait
C’est intéressant de mettre en musique ces propos. C’est intéressant, par exemple, lorsque vous produisez un podcast sur Halloween de proposer un court medley d’extraits de chansons qui gravitent autour de cette thématique. L’extrait musical quand il est en lien avec le sujet abordé, quand il apporte une autre vision ou une vision complémentaire à une conversation et à un contenu, c’est très intéressant. Dans tous les cas, on ne devrait pas forcément inclure une musique sans raison valable au risque de produire un podcast ennuyeux. Il faut bien y réfléchir. Ici, vous êtes libre de faire ce que vous voulez mais surtout de ne pas faire comme les autres !
Enfin, l’illustration
Ici, je fais référence à la musique (autrement dit à la chanson) qui tient une place centrale dans le podcast. Le risque, c’est de glisser vers l’émission de radio et de réunir, au même moment et au même endroit, tous les ingrédients d’une émission destinée à la radio. Je lisais récemment un article sur un de nos supports consacré aux podcasts du Groupe M6. J’en extrait une phrase d’Eva Respault, directrice des activités digitales du Groupe M6 : "Aujourd’hui, on pense une émission de radio pas seulement pour l’antenne mais aussi pour le digital". Voilà tout est dit, et confirme ce que je disais à l’instant. Pas question de faire une émission de radio sans penser à sa déclinaison en podcast. Proposer un podcast essentiellement constitué de musiques (à l’image donc d’une émission de radio) a peu de chance d’attirer les foules. Donc, d’abord, dans votre démarche, vous gagneriez à ne jamais vous éloigner du "Podcast d’abord". Ne surtout pas copier ce que fait la radio, car ce que fait la radio aujourd’hui, ça ne marche plus ou moins bien qu’auparavant.
Pour le reste, soyez curieux. Désormais, Internet regorge de millions de sons en libre accès. Rien ne vous empêche de les créer vous-même grâce à des logiciels simples d’accès et d’utilisation (dans ce cas, vous personnaliserez d’autant plus votre podcast). Soyez aussi attentif aux studios et aux compositeurs pour qui, la musique et l’habillage, c’est le métier. Et puis, enfin, soyez attentif à l’aspect juridique. Ai-je le droit de diffuser tel ou tel contenu musical ? Quelle durée maximale pour un extrait ? Comment va réagir ma plateforme si je diffuse de la musique déposée dans un organisme comme la Sacem ? Autant de questions qui méritent donc une vraie réflexion...
Rédigé par Brulhatour le Mercredi 27 Octobre 2021 à 19:59
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Produit par la Podcast&RadioHouse, voici 3 nouveaux épisodes de la série "Oppidum, le podcast de l'Histoire du Bas-Limousin". Cette série, qui exige un imposant travail en amont des enregistrements, devrait se poursuivre jusqu'en juin prochain à raison d'un épisode par semaine.
Finalement, cet imposant travail est assez stimulant. Il consiste à choisir des sujets liés à l'Histoire de ce territoire, à jauger et à juger leur intérêt pour l'auditeur, à définir un angle original d'éditorialisation et un axe engageant d'attaque. Après, l'Homme de Neandertal en Corrèze, les Gaulois de Tintignac et un portrait de l'abbé Poulbrière, nous avons fait le choix d'évoquer les racines d'une des plus anciennes familles du Bas-Limousin, les odonymes gaillards et le fleuve Dordogne, frontière naturelle entre la Corrèze et la Cantal, de Bort-les Orgues à Beaulieu-sur-Dordogne.
Un Marquis, un professeur et un journaliste interviennent respectivement dans ces 3 nouveaux épisodes.
Un Marquis, un professeur et un journaliste interviennent respectivement dans ces 3 nouveaux épisodes.
Une ambition et une philosophie
Notre ambition est de vulgariser l'Histoire locale mais aussi et surtout de raconter ce qui passe habituellement sous les radars en traitant des sujets peu communs et qui ont pourtant fait la richesse du Bas-Limousin. Notre philosophie s'appuie sur cette phrase de Saint-Augustin : "Les temps sont mauvais, les temps sont difficiles. Voilà ce que disent les gens. Vivons bien, et les temps seront bons. C'est nous qui sommes ces temps : tels nous sommes, tels sont les temps".
À suivre, un podcast sur l'archéologie du paysage (ou comment mieux observer ce qui nous entoure pour remonter le temps), sur le sacre de Gondovald, seul et unique Roi (éphémère) de Brive ou encore une escapade le long de la rivière Vézère...
Quelques chiffres...
En 49 jours, et en seulement 6 épisodes, nous enregistrons un taux de complétion de 53%. Cela veut dire que 53%, en moyenne, des auditeurs écoutent un podcast dans son intégralité. C'est un très bon résultat. Les auditeurs sont issus de la Corrèze, de la Haute-Vienne, de l'Île-de-France et du Rhône. 80% de l'audience est générée sur le site oppidum-podcast.fr. Le reste sur Spotify et Dezzer.
Vous pouvez également écouter Oppidum sur Audiomeans.
Notre ambition est de vulgariser l'Histoire locale mais aussi et surtout de raconter ce qui passe habituellement sous les radars en traitant des sujets peu communs et qui ont pourtant fait la richesse du Bas-Limousin. Notre philosophie s'appuie sur cette phrase de Saint-Augustin : "Les temps sont mauvais, les temps sont difficiles. Voilà ce que disent les gens. Vivons bien, et les temps seront bons. C'est nous qui sommes ces temps : tels nous sommes, tels sont les temps".
À suivre, un podcast sur l'archéologie du paysage (ou comment mieux observer ce qui nous entoure pour remonter le temps), sur le sacre de Gondovald, seul et unique Roi (éphémère) de Brive ou encore une escapade le long de la rivière Vézère...
Quelques chiffres...
En 49 jours, et en seulement 6 épisodes, nous enregistrons un taux de complétion de 53%. Cela veut dire que 53%, en moyenne, des auditeurs écoutent un podcast dans son intégralité. C'est un très bon résultat. Les auditeurs sont issus de la Corrèze, de la Haute-Vienne, de l'Île-de-France et du Rhône. 80% de l'audience est générée sur le site oppidum-podcast.fr. Le reste sur Spotify et Dezzer.
Vous pouvez également écouter Oppidum sur Audiomeans.
À mi-voix ou à pleine voix, l’essentiel est de donner de la voix. À voix haute ou à voix basse, dans un podcast, on peut faire passer son message de vive voix. Et si vous allez encore plus loin, vos auditeurs pourront même en rester sans voix. Pour réussir, il faut être en voix et savoir poser sa voix. La voix, à la radio comme dans le podcast, c’est un sujet qui provoque toujours des voix dissonantes.
Trois choses à savoir…
Le timbre
C’est ce que dégage votre voix : son intensité, sa puissance. Une voix peut être chaude ou froide. Certaines voix sont naturellement chaudes ou sensuelles. Parfois métalliques. Les voix peuvent être aussi claires, rauques, éraillées, plates, atones… Des voix qui viennent d’en bas (celles qui ont du coffre) ou celles qui viennent d’en haut (les voix nasales ou nasillardes). Le timbre peut varier en fonction de la rapidité du débit et de la puissance de vos cordes vocales. La voix, c’est un outil ex-tra-or-di-naire. Tellement extraordinaire que les voix des enceintes connectées et des GPS ne lui arrivent pas à la cheville.
Le débit
Il répond à des modes. Dans les Années 90, on avait tendance à parler vite et beaucoup. Depuis une grosse dizaine d’années, on a tendance à insérer des virgules et des points à tout bout de champ. Conséquence : on a l’impression d’entendre parler les journalistes en morse. C’est moche parce que c’est une mode et que demain, ce sera encore plus moche, parce que ce ne sera plus une mode.
L’accent
Il faut revendiquer votre accent, ne pas le gommer et en être fier. Il faut s’en servir comme une marque de fabrique. Votre accent, c’est probablement ce qui caractérise le mieux votre voix, et plus encore, votre personnalité. Ce qui est surprenant, c’est que ceux qui vous diront d’effacer votre accent, ont aussi un accent mais ne s’en aperçoive pas. La richesse des voix, c’est qu’elles sont plurielles. Les réduire à une seule et même intonation, c’est vouloir effacer les particularismes locaux, les particularismes du Nord, du Sud, ceux de l’Ouest ou de l’Est.
Le timbre
C’est ce que dégage votre voix : son intensité, sa puissance. Une voix peut être chaude ou froide. Certaines voix sont naturellement chaudes ou sensuelles. Parfois métalliques. Les voix peuvent être aussi claires, rauques, éraillées, plates, atones… Des voix qui viennent d’en bas (celles qui ont du coffre) ou celles qui viennent d’en haut (les voix nasales ou nasillardes). Le timbre peut varier en fonction de la rapidité du débit et de la puissance de vos cordes vocales. La voix, c’est un outil ex-tra-or-di-naire. Tellement extraordinaire que les voix des enceintes connectées et des GPS ne lui arrivent pas à la cheville.
Le débit
Il répond à des modes. Dans les Années 90, on avait tendance à parler vite et beaucoup. Depuis une grosse dizaine d’années, on a tendance à insérer des virgules et des points à tout bout de champ. Conséquence : on a l’impression d’entendre parler les journalistes en morse. C’est moche parce que c’est une mode et que demain, ce sera encore plus moche, parce que ce ne sera plus une mode.
L’accent
Il faut revendiquer votre accent, ne pas le gommer et en être fier. Il faut s’en servir comme une marque de fabrique. Votre accent, c’est probablement ce qui caractérise le mieux votre voix, et plus encore, votre personnalité. Ce qui est surprenant, c’est que ceux qui vous diront d’effacer votre accent, ont aussi un accent mais ne s’en aperçoive pas. La richesse des voix, c’est qu’elles sont plurielles. Les réduire à une seule et même intonation, c’est vouloir effacer les particularismes locaux, les particularismes du Nord, du Sud, ceux de l’Ouest ou de l’Est.
Trois pistes à suivre…
Ne transformez pas votre voix
Transformer sa voix, c’est comme transformer sa voiture en lui ajoutant un volant en peau de mouton et une grande antenne. Généralement, ça cache quelque chose. Et ce quelque chose, c’est souvent une faiblesse ou un choix de copier ce qui est tendance. Et ce n’est pas en la mettant sous le tapis avec deux ou trois plugins ou en prenant des intonations à la mode que vous allez parvenir à séduire. Plus vous êtes naturel, mieux c’est. Autrement dit, n’en faites pas trop parce que l’auditeur le remarque très vite et que vous risquez de tomber dans la caricature ce qui décrédibiliserait votre contenu.
Demandez des conseils
Encore une fois, vous ne gagnerez pas la guerre tout seul. Il faut être accompagné par celles et ceux qui ont compris qu’ils ont une voix. Il y a ce que l’on appelle les voix-off, une catégorie qui regroupe mille et une voix différents, de la voix de répondeur téléphonique à la voix du spot publicitaire. Il y a les voix attitrées à des marques. Il y a des voix attirées à des comédiens. Dans ces deux dernières catégories, vous rencontrerez le plus souvent des gens qui passent leur temps sur les planches. Leur voix est intéressante parce qu’ils savent jouer à peu près et n’importe.
Ne vous désespérez pas
Si vous avez un accent à couper au couteau, ce n’est absolument pas grave. Généralement, ce n’est pas votre voix qui vous empêchera de porter tel ou tel projet mais votre compétence. Il y a de nombreux contre-exemples. Jean-Christophe Averty qui présentait sur France Inter Les Cinglés du Music-Hall avait bien plus qu’un cheveu sur la langue. Mais il avait un style, une façon de présenter les choses... Aujourd’hui, Jean-Michel Apathie parle avec un accent du Sud-Ouest. Cela ne l’empêche pas de raconter ce qu’il raconte même si vous n’êtes pas forcément d’accord avec lui.
Ne transformez pas votre voix
Transformer sa voix, c’est comme transformer sa voiture en lui ajoutant un volant en peau de mouton et une grande antenne. Généralement, ça cache quelque chose. Et ce quelque chose, c’est souvent une faiblesse ou un choix de copier ce qui est tendance. Et ce n’est pas en la mettant sous le tapis avec deux ou trois plugins ou en prenant des intonations à la mode que vous allez parvenir à séduire. Plus vous êtes naturel, mieux c’est. Autrement dit, n’en faites pas trop parce que l’auditeur le remarque très vite et que vous risquez de tomber dans la caricature ce qui décrédibiliserait votre contenu.
Demandez des conseils
Encore une fois, vous ne gagnerez pas la guerre tout seul. Il faut être accompagné par celles et ceux qui ont compris qu’ils ont une voix. Il y a ce que l’on appelle les voix-off, une catégorie qui regroupe mille et une voix différents, de la voix de répondeur téléphonique à la voix du spot publicitaire. Il y a les voix attitrées à des marques. Il y a des voix attirées à des comédiens. Dans ces deux dernières catégories, vous rencontrerez le plus souvent des gens qui passent leur temps sur les planches. Leur voix est intéressante parce qu’ils savent jouer à peu près et n’importe.
Ne vous désespérez pas
Si vous avez un accent à couper au couteau, ce n’est absolument pas grave. Généralement, ce n’est pas votre voix qui vous empêchera de porter tel ou tel projet mais votre compétence. Il y a de nombreux contre-exemples. Jean-Christophe Averty qui présentait sur France Inter Les Cinglés du Music-Hall avait bien plus qu’un cheveu sur la langue. Mais il avait un style, une façon de présenter les choses... Aujourd’hui, Jean-Michel Apathie parle avec un accent du Sud-Ouest. Cela ne l’empêche pas de raconter ce qu’il raconte même si vous n’êtes pas forcément d’accord avec lui.
Bonus
La question conne… "Faut-il parler debout ou assis ?"
Certains préfèrent parler debout. D’autres assis. Qui parlent debout ? Les comédiens ou encore les animateurs de flux musicaux. Qui parlent assis ? Les journalistes. La position assise est idéale pour un exercice d’interview.
Parler allonger ? On n’a pas encore essayer (pas à ma connaissance). En revanche, l’exercice peut être intéressant pour renforcer la connivence ou l’intimité d’un interview. Si l’un ou l’autre s’endort, soit les questions, soit les réponses sont ennuyeuses. C’est l’avantage d’être allongé…
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