Reconfinés depuis le 28 octobre, les professionnels de la radio vont une nouvelle fois devoir s'adapter. Et probablement bien au-delà des fêtes de fin d'année. D'aucuns évoquent une France au ralenti jusqu'au printemps prochain ! Et l'on peut ainsi vous promettre qu'il y aura donc bien une 3e vague.
Ce sera celle des faillites, des dépôts de bilan, des licenciements, des liquidations, des misères sociales ou, dans le meilleur des cas, d'une période funeste durant laquelle il faudra cravacher, plus que de raison. Pendant que les grands esprits se déchirent pour savoir ce qui est essentiel ou ce qui ne l'est pas, avec de vieilles et éculées mécaniques de pensée, personne n'a vraiment pris conscience de cette 3e vague, de ce tsunami social qui est enclenché. Rien ne l'arrêtera.
Il devrait être catastrophique pour les radios associatives dont la subvention annuelle du FSER est indexée sur le chiffre d'affaires réalisé l'année précédente. Il sera dramatique pour les radios indépendantes et, en particulier, pour celles déjà fragilisées au printemps dernier. "On devrait commencer à raser gratis dans pas longtemps" ou encore "Ce sera sanglant", préviennent déjà quelques cadres de direction. Ne parlons pas ici du secteur de l'événementiel dont l'existence même est remise en cause comme le foie de Prométhée, dévoré par l'aigle du Caucase. Le supplice durera-t-il encore 30 000 ans ?
D'ici à la fin de cette annus horribilis, La Lettre Pro de la Radio devait vous proposer quatre nouvelles étapes du RadioTour. Au vu de la situation sanitaire, trois ont déjà été annulées (Bordeaux, Toulouse et Montpellier). Celle du 3 décembre, à Rennes, est plus qu'incertaine.
Mais, face à un ennemi invisible et à des erreurs bien visibles, vous connaissez notre détermination à vous accompagner. Nous le prouvons déjà depuis le printemps dernier. Nous vous le prouverons tout au long de cette saison. Quoi qu'il arrive.
Ce sera celle des faillites, des dépôts de bilan, des licenciements, des liquidations, des misères sociales ou, dans le meilleur des cas, d'une période funeste durant laquelle il faudra cravacher, plus que de raison. Pendant que les grands esprits se déchirent pour savoir ce qui est essentiel ou ce qui ne l'est pas, avec de vieilles et éculées mécaniques de pensée, personne n'a vraiment pris conscience de cette 3e vague, de ce tsunami social qui est enclenché. Rien ne l'arrêtera.
Il devrait être catastrophique pour les radios associatives dont la subvention annuelle du FSER est indexée sur le chiffre d'affaires réalisé l'année précédente. Il sera dramatique pour les radios indépendantes et, en particulier, pour celles déjà fragilisées au printemps dernier. "On devrait commencer à raser gratis dans pas longtemps" ou encore "Ce sera sanglant", préviennent déjà quelques cadres de direction. Ne parlons pas ici du secteur de l'événementiel dont l'existence même est remise en cause comme le foie de Prométhée, dévoré par l'aigle du Caucase. Le supplice durera-t-il encore 30 000 ans ?
D'ici à la fin de cette annus horribilis, La Lettre Pro de la Radio devait vous proposer quatre nouvelles étapes du RadioTour. Au vu de la situation sanitaire, trois ont déjà été annulées (Bordeaux, Toulouse et Montpellier). Celle du 3 décembre, à Rennes, est plus qu'incertaine.
Mais, face à un ennemi invisible et à des erreurs bien visibles, vous connaissez notre détermination à vous accompagner. Nous le prouvons déjà depuis le printemps dernier. Nous vous le prouverons tout au long de cette saison. Quoi qu'il arrive.