Pour les autres catégories, c’est beaucoup plus compliqué. Pour les catégorie B, les dirigeants sont très attentifs au respect de la promesse, c’est-à-dire à l’éditorialisation de la grille. Ici, on ne mélange pas les torchons et les serviettes et on préfère mille fois investir dans une production fabriquée en totalité dans les studios plutôt que de céder aux sirènes d’un contenu gratuit. Tout simplement parce que la radio ne maîtrise pas la chaîne de production, le contenu, le style, le ton, le message qui est mis en avant et la personnalité qui est aux commandes. On ne fait pas entrer le loup si facilement dans la bergerie…
Pour les autres catégories, on ne perdra de temps : inutile de les solliciter. C’est compromis parce que ce n’est pas dans la culture des radios de catégorie C, D et E. Et puis, parce qu’il existe déjà un budget spécifique avec des professionnels spécifiques dédiés à ce genre d’exercice.
Bon… Néanmoins, il vous reste quelques cartouches à tirer. N’oubliez pas cette règle, enfin, ce conseil : avant de créer un podcast et de s’interroger ensuite (c’est-à-dire une fois la production terminée) sur quel support vous allez pouvoir le diffuser, mieux vaut faire les choses dans l’ordre. Un podcast ? D’accord ! Mais d’abord, pour qui et pour quel support ? Vous gagnez du temps, de l’énergie et probablement de l’argent.
Donc, dans l’ordre : réfléchissez à un thème, arrêtez le thème retenu, le fouiller et le creuser pour peser la matière et l’intérêt, cherchez parallèlement les potentialités de diffusion, rédigez un cahier des charges puis un pilote (un numéro zéro), chiffrez le coût de production et votre rémunération, démarchez un diffuseur…
Sinon le plan B. Allez convaincre une municipalité ou une collectivité territoriale (un département, une région, une communauté d’agglomération… le mille-feuille est épais, c’est un mal français, donc les potentialités, grandes). Vendez une série de podcasts en lien avec, par exemple, la saison touristique du bassin de Trifouilly-les-Oies, une série sur les grandes dates de l’histoire locale, une série sur les grandes personnalités du département, une série sur l’écologie dans une région… Les pistes sont nombreuses. Les thèmes doivent toujours être en adéquation avec le support. La piste de la proximité autour du podcast et une piste prometteuse. Financièrement prometteuse.
Le podcast, c’est la liberté, le support radio, ce sont de nouvelles règles auxquelles il faut se soumettre sans perdre son âme. Faut frapper à la porte avec sa compétence. J’allais dire avec son ultra compétence, ça c’est votre légitimité. Ensuite, faut frapper à la bonne porte et faut y frapper au bon moment. Fort. Ça c’est une autre histoire…
Pour les autres catégories, on ne perdra de temps : inutile de les solliciter. C’est compromis parce que ce n’est pas dans la culture des radios de catégorie C, D et E. Et puis, parce qu’il existe déjà un budget spécifique avec des professionnels spécifiques dédiés à ce genre d’exercice.
Bon… Néanmoins, il vous reste quelques cartouches à tirer. N’oubliez pas cette règle, enfin, ce conseil : avant de créer un podcast et de s’interroger ensuite (c’est-à-dire une fois la production terminée) sur quel support vous allez pouvoir le diffuser, mieux vaut faire les choses dans l’ordre. Un podcast ? D’accord ! Mais d’abord, pour qui et pour quel support ? Vous gagnez du temps, de l’énergie et probablement de l’argent.
Donc, dans l’ordre : réfléchissez à un thème, arrêtez le thème retenu, le fouiller et le creuser pour peser la matière et l’intérêt, cherchez parallèlement les potentialités de diffusion, rédigez un cahier des charges puis un pilote (un numéro zéro), chiffrez le coût de production et votre rémunération, démarchez un diffuseur…
Sinon le plan B. Allez convaincre une municipalité ou une collectivité territoriale (un département, une région, une communauté d’agglomération… le mille-feuille est épais, c’est un mal français, donc les potentialités, grandes). Vendez une série de podcasts en lien avec, par exemple, la saison touristique du bassin de Trifouilly-les-Oies, une série sur les grandes dates de l’histoire locale, une série sur les grandes personnalités du département, une série sur l’écologie dans une région… Les pistes sont nombreuses. Les thèmes doivent toujours être en adéquation avec le support. La piste de la proximité autour du podcast et une piste prometteuse. Financièrement prometteuse.
Le podcast, c’est la liberté, le support radio, ce sont de nouvelles règles auxquelles il faut se soumettre sans perdre son âme. Faut frapper à la porte avec sa compétence. J’allais dire avec son ultra compétence, ça c’est votre légitimité. Ensuite, faut frapper à la bonne porte et faut y frapper au bon moment. Fort. Ça c’est une autre histoire…