Pour la première fois depuis sa création, Virgin Radio entre dans le Top 3 des radios musicales les plus écoutées en Ile-de-France et affiche sa meilleure audience en nombre d'auditeurs Franciliens depuis avril 2008.
D'abord les chiffres. Ensuite les explications. Avec 355 000 auditeurs quotidiens en Ile-de-France, une part d’audience de 2.2% et une durée d’écoute de 78 mn, Virgin Radio a ce matin retrouvé le sourire : 105 000 auditeurs gagnés soit une hausse de 42%, 1 point de part d’audience, une augmentation de 71% en quart d’heure moyen et de 15 mn de sa durée d’écoute par auditeur.
D'abord les chiffres. Ensuite les explications. Avec 355 000 auditeurs quotidiens en Ile-de-France, une part d’audience de 2.2% et une durée d’écoute de 78 mn, Virgin Radio a ce matin retrouvé le sourire : 105 000 auditeurs gagnés soit une hausse de 42%, 1 point de part d’audience, une augmentation de 71% en quart d’heure moyen et de 15 mn de sa durée d’écoute par auditeur.
LLP - Comment expliquez-vous cette hausse d’audience pour Virgin Radio dans un contexte très défavorable aux Musicales ?
RL - Nous observons le même phénomène en Ile-de-France que sur le plan national la semaine dernière. La bonne dynamique de Virgin Radio, mais également de RFM, se constate partout. Pour Virgin Radio, la station a connu un travail en profondeur depuis deux ans grâce à Roberto Ciurleo et Frédéric Pau qui ont créé une nouvelle identité pour mieux la différencier sur le marché radiophonique. J’ajoute que nous sommes cohérents sur toute la grille, du matin au soir. Nous progressons non seulement sur les tranches horaires mais également sur les tranches d’âge, en particulier, sur les 20 - 40 ans, notre cible prioritaire. C’est un renversement de tendance qui est bien réel et qui, j’espère, sera pérenne. Les équipes ont retrouvé la fierté dans leur radio et cela s'entend à l'antenne.
LLP - Camille Combal signe une augmentation de 42% d’audience cumulée en une vague. Virgin Radio a-t-elle enfin trouvé son Morning Man ?
RL - (Rires). Je suis sûr que l’on a le bon et avec la bonne équipe. Camille Combal est sympathique, drôle, il est élégant, et jamais vulgaire, et c’est un animateur qui est, en permanence, dans la proximité. Chaque auditeur peut s’identifier en l’écoutant le matin.
LLP - Les audiences de la libre antenne d’Enora Malagré sont-elles toujours aussi insuffisantes et pèsent-elles dans l’audience globale de la station ?
RL - Je vous l’ai dit, nous progressons sur toutes les tranches horaires et notamment sur les 13 - 34 ans y compris durant cette libre antenne. Je vous dirai simplement que baisser, c’est rapide et que monter, c’est lent. Nous ne nous obstinons pas contrairement à ce que vous pensez. Nous devons faire face à des poids lourds installés depuis longtemps donc, à une forte concurrence en soirée. La radio est un média d’habitudes. Il faut du temps.
RL - Nous observons le même phénomène en Ile-de-France que sur le plan national la semaine dernière. La bonne dynamique de Virgin Radio, mais également de RFM, se constate partout. Pour Virgin Radio, la station a connu un travail en profondeur depuis deux ans grâce à Roberto Ciurleo et Frédéric Pau qui ont créé une nouvelle identité pour mieux la différencier sur le marché radiophonique. J’ajoute que nous sommes cohérents sur toute la grille, du matin au soir. Nous progressons non seulement sur les tranches horaires mais également sur les tranches d’âge, en particulier, sur les 20 - 40 ans, notre cible prioritaire. C’est un renversement de tendance qui est bien réel et qui, j’espère, sera pérenne. Les équipes ont retrouvé la fierté dans leur radio et cela s'entend à l'antenne.
LLP - Camille Combal signe une augmentation de 42% d’audience cumulée en une vague. Virgin Radio a-t-elle enfin trouvé son Morning Man ?
RL - (Rires). Je suis sûr que l’on a le bon et avec la bonne équipe. Camille Combal est sympathique, drôle, il est élégant, et jamais vulgaire, et c’est un animateur qui est, en permanence, dans la proximité. Chaque auditeur peut s’identifier en l’écoutant le matin.
LLP - Les audiences de la libre antenne d’Enora Malagré sont-elles toujours aussi insuffisantes et pèsent-elles dans l’audience globale de la station ?
RL - Je vous l’ai dit, nous progressons sur toutes les tranches horaires et notamment sur les 13 - 34 ans y compris durant cette libre antenne. Je vous dirai simplement que baisser, c’est rapide et que monter, c’est lent. Nous ne nous obstinons pas contrairement à ce que vous pensez. Nous devons faire face à des poids lourds installés depuis longtemps donc, à une forte concurrence en soirée. La radio est un média d’habitudes. Il faut du temps.
LLP - RFM est une des rares, comme Virgin Radio, à progresser également sur an et sur ce marché francilien. Denac a-t-il trouvé la bonne recette ?
RL - Le format fonctionne. Il y a des Golds et des nouveautés. C’est ce qui fait son originalité. Le format vise les 35 - 59 ans qui aiment les Golds mais apprécient également les nouveautés. Leurs enfants y viennent pour les nouveautés qu’ils apprécient mais aussi pour les Golds. RFM est une radio familiale et ça marche.
LLP - Le mercato sur les Musicales de Lagardère Active a t-il déjà débuté ? Y aura-t-il des changements sur Virgin et sur RFM à la rentrée ?
RL - C’est un peu tôt pour le dire. Virgin Radio et RFM fonctionnent bien. Il y aura probablement, comme à chaque rentrée, des changements à la marge mais pas de changement dans les fondamentaux. Sur la base de ces bons chiffres, nous n’avons aucune raison de privilégier des changements.
RL - Le format fonctionne. Il y a des Golds et des nouveautés. C’est ce qui fait son originalité. Le format vise les 35 - 59 ans qui aiment les Golds mais apprécient également les nouveautés. Leurs enfants y viennent pour les nouveautés qu’ils apprécient mais aussi pour les Golds. RFM est une radio familiale et ça marche.
LLP - Le mercato sur les Musicales de Lagardère Active a t-il déjà débuté ? Y aura-t-il des changements sur Virgin et sur RFM à la rentrée ?
RL - C’est un peu tôt pour le dire. Virgin Radio et RFM fonctionnent bien. Il y aura probablement, comme à chaque rentrée, des changements à la marge mais pas de changement dans les fondamentaux. Sur la base de ces bons chiffres, nous n’avons aucune raison de privilégier des changements.
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LLP - Avec votre riche et longue expérience radiophonique, comment voyez-vous évoluer le media radio dans la prochaine décennie ?
RL - C’est une question très large. La radio est un média de proximité et de mobilité. Un compagnon dont on aura toujours besoin, et cela, quel que soit le support utilisé par l’auditeur. A l’avenir, on l’écoutera probablement davantage sur son Smartphone que sur son vieux poste.
LLP - Et la RNT ?
RL - C’est une technologie coûteuse et qui suppose une double diffusion. La radio génère déjà 10% de son audience grâce au digital. Un tiers des jeunes l’écoute déjà sur leur téléphone portable. Si la RNT venait à être lancée en France, elle accuserait donc un important retard par rapport à ces nouveaux comportements d’écoute.
RL - C’est une question très large. La radio est un média de proximité et de mobilité. Un compagnon dont on aura toujours besoin, et cela, quel que soit le support utilisé par l’auditeur. A l’avenir, on l’écoutera probablement davantage sur son Smartphone que sur son vieux poste.
LLP - Et la RNT ?
RL - C’est une technologie coûteuse et qui suppose une double diffusion. La radio génère déjà 10% de son audience grâce au digital. Un tiers des jeunes l’écoute déjà sur leur téléphone portable. Si la RNT venait à être lancée en France, elle accuserait donc un important retard par rapport à ces nouveaux comportements d’écoute.