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"Beaucoup de questions restent en suspens. Pire, certaines annonces de la direction semblent contradictoires avec la presse. Un seul actionnaire souhaite vendre, nous a-t-on dit. Apparemment, tous. Qu’en est-il vraiment ? Est-ce TDF qui est à vendre en entier ou seulement une partie ? Si oui, laquelle ? En ces temps de disette voulue par la direction, combien coûte à TDF l’engagement de ces banques ? Quelles conséquences si les propositions faites sont bien en-deçà du prix d’achat ou au contraire mirobolantes ?" s'interroge le syndicat. La CGT pense que si vente il y a, elle se fera probablement à un prix plus élevé que celui de l’achat initial : "or, être vendu cher est synonyme d’exigences de rendements très élevés à venir. Cela se traduit en charges de travail dévastatrices pour la santé mentale et physique des salariés, sans compter d’éventuelles suppressions de postes dictées par la politique des nouveaux acquéreurs".