Drôle, imprévisible et toujours bienveillant, Vacher veut être "le pote idéal que les auditeurs auront hâte de retrouver en fin de journée"
Vous aimerez aussi
LLPR - Quelle tonalité allez-vous donner à votre programme ?
Vacher - Nous allons parler de vie quotidienne, de l'actualité. J'ai envie que le programme sonne vrai, que les auditeurs se reconnaissent en nous. Je ne veux pas être l'animateur qui joue à l'animateur tout en gardant des airs faussement modeste. Si vous ne comprenez pas ma phrase pas d'inquiétude, je suis dans le même cas.
LLPR - Bruno Guillon aura-t-il une oreille attentive durant cette saison ?
Vacher - Je pense ! C'est lui qui produit l'émission. J'apprécie sa grande expérience radio et sa bienveillance à mon égard.
Vacher - Nous allons parler de vie quotidienne, de l'actualité. J'ai envie que le programme sonne vrai, que les auditeurs se reconnaissent en nous. Je ne veux pas être l'animateur qui joue à l'animateur tout en gardant des airs faussement modeste. Si vous ne comprenez pas ma phrase pas d'inquiétude, je suis dans le même cas.
LLPR - Bruno Guillon aura-t-il une oreille attentive durant cette saison ?
Vacher - Je pense ! C'est lui qui produit l'émission. J'apprécie sa grande expérience radio et sa bienveillance à mon égard.
LLPR - Quel regard portez-vous sur la radio d’aujourd’hui et sur celle de demain ?
Vacher - Je ne prédis évidemment pas un très grand futur à la radio telle qu'on la connait aujourd'hui. On va, à mon avis, consommer la radio de la même manière qu'on consomme Netflix. Ce sera du "à la demande", des podcasts quoi. Et pour la radio d'aujourd'hui à vrai dire, je ne l'écoute pas. Mais vraiment. En même temps, ne dit-on pas que ce sont les forgerons les plus mal chaussés ? Non ? Tant pis.
Vacher - Je ne prédis évidemment pas un très grand futur à la radio telle qu'on la connait aujourd'hui. On va, à mon avis, consommer la radio de la même manière qu'on consomme Netflix. Ce sera du "à la demande", des podcasts quoi. Et pour la radio d'aujourd'hui à vrai dire, je ne l'écoute pas. Mais vraiment. En même temps, ne dit-on pas que ce sont les forgerons les plus mal chaussés ? Non ? Tant pis.