![Drôle, imprévisible et toujours bienveillant, Vacher veut être "le pote idéal que les auditeurs auront hâte de retrouver en fin de journée" Drôle, imprévisible et toujours bienveillant, Vacher veut être "le pote idéal que les auditeurs auront hâte de retrouver en fin de journée"](https://www.lalettre.pro/photo/art/default/37021638-32849381.jpg?v=1567614826)
Drôle, imprévisible et toujours bienveillant, Vacher veut être "le pote idéal que les auditeurs auront hâte de retrouver en fin de journée"
LLPR - Quelle tonalité allez-vous donner à votre programme ?
Vacher - Nous allons parler de vie quotidienne, de l'actualité. J'ai envie que le programme sonne vrai, que les auditeurs se reconnaissent en nous. Je ne veux pas être l'animateur qui joue à l'animateur tout en gardant des airs faussement modeste. Si vous ne comprenez pas ma phrase pas d'inquiétude, je suis dans le même cas.
LLPR - Bruno Guillon aura-t-il une oreille attentive durant cette saison ?
Vacher - Je pense ! C'est lui qui produit l'émission. J'apprécie sa grande expérience radio et sa bienveillance à mon égard.
Vacher - Nous allons parler de vie quotidienne, de l'actualité. J'ai envie que le programme sonne vrai, que les auditeurs se reconnaissent en nous. Je ne veux pas être l'animateur qui joue à l'animateur tout en gardant des airs faussement modeste. Si vous ne comprenez pas ma phrase pas d'inquiétude, je suis dans le même cas.
LLPR - Bruno Guillon aura-t-il une oreille attentive durant cette saison ?
Vacher - Je pense ! C'est lui qui produit l'émission. J'apprécie sa grande expérience radio et sa bienveillance à mon égard.
LLPR - Quel regard portez-vous sur la radio d’aujourd’hui et sur celle de demain ?
Vacher - Je ne prédis évidemment pas un très grand futur à la radio telle qu'on la connait aujourd'hui. On va, à mon avis, consommer la radio de la même manière qu'on consomme Netflix. Ce sera du "à la demande", des podcasts quoi. Et pour la radio d'aujourd'hui à vrai dire, je ne l'écoute pas. Mais vraiment. En même temps, ne dit-on pas que ce sont les forgerons les plus mal chaussés ? Non ? Tant pis.
Vacher - Je ne prédis évidemment pas un très grand futur à la radio telle qu'on la connait aujourd'hui. On va, à mon avis, consommer la radio de la même manière qu'on consomme Netflix. Ce sera du "à la demande", des podcasts quoi. Et pour la radio d'aujourd'hui à vrai dire, je ne l'écoute pas. Mais vraiment. En même temps, ne dit-on pas que ce sont les forgerons les plus mal chaussés ? Non ? Tant pis.