Parmi les pistes d’économies encore évoquées dans la presse ces derniers jours, figure la fermeture des antennes de France Musique et Fip. "La suppression de ces stations ou l’arrêt de leur diffusion sur les ondes hertziennes seraient catastrophiques pour la création musicale dans toute sa diversité. Les répertoires classique, jazz, la musique de création, mais aussi tout un pan de la chanson seraient très fortement fragilisés et réellement menacés, sans cette exposition" explique l'association "Tous pour la Musique".
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"Tous pour la Musique" rappelle que "la radio est en effet la première source de prescription musicale devant la télévision et Internet. 59% des Français déclarent s’informer sur la musique et découvrir de nouveaux talents grâce à la radio". L’ensemble des professionnels de la musique, rassemblés au sein de l’association "Tous pour la Musique", rappelle aussi qu’il serait inconcevable que le service public sacrifie ces antennes qui font vivre la diversité culturelle, et à travers elle toute une économie et tout un ensemble de créateurs. "La filière musicale marque par ailleurs son attachement à la préservation du rôle majeur joué par France Inter dans la découverte d’artistes nouveaux talents qui est un élément constitutif de l’ADN de France inter".
Le prochain COM (Contrat d’objectifs et de moyens), sera arbitré d’ici quinze jours et guidera l’audiovisuel radiophonique public jusqu’en 2019.
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