On connaissait Shazam, cette application "miraculeuse" qui reconnaît presque toutes les musiques que vous pouvez entendre autour de vous. Aux USA, l’application sait aussi désormais reconnaitre les show télévisés. Il suffit de Shazamer un extrait de programme pour que l’application en donne la source.
Mais depuis quelques mois, Shazam devient aussi le partenaire de campagnes de publicité interactives, cross-médias. Depuis 2013, des campagnes de publicités (SFR, Nissan, etc.) à la télévision intègrent le sigle Shazam. Le téléspectateur peut obtenir davantage d’informations sur le produit, participer à des jeux, voir d’autres spots de la marque…
Même chose à la radio avec la seule grosse différence : ça s’entend. On remarque d'ailleurs encore plus la mention "Shazamer". C’est peut-être même encore plus efficace.
Mais depuis quelques mois, Shazam devient aussi le partenaire de campagnes de publicité interactives, cross-médias. Depuis 2013, des campagnes de publicités (SFR, Nissan, etc.) à la télévision intègrent le sigle Shazam. Le téléspectateur peut obtenir davantage d’informations sur le produit, participer à des jeux, voir d’autres spots de la marque…
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La radio booste le trafic en ligne pendant les fêtes
La première campagne qui utilise ce process est celle de Francine, la farine. Elle a reçu en décembre 2014 le prix de la création publicitaire radio organisé par les 12 radios membres du Bureau de la Radio. Le président du jury Olivier Altmann, fondateur de l'agence Altmann + Pacreau, déclarait : "Aujourd'hui la radio, comme tous les autres médias, est en train de migrer dans le monde digital : podcasts, webradios, deezer, spotify, itunes radio, etc. La nouvelle génération écoute de la musique en continu ou des animateurs comiques et provocateurs. Elle a de plus en plus la faculté de zapper ce qu'elle ne veut pas entendre. Et si nous, les publicitaires, voulons continuer à les intéresser, il est plus urgent que jamais de savoir les divertir, de leur offrir un contenu aussi impactant qu'un morceau de rap ou qu'une blague potache de Cyril Hanouna. Il en va de l'avenir d'un secteur qui représente encore 800 millions d'investissement des annonceurs, mais seulement 3% de part de marché. Il en va de notre responsabilité à tous. Car quoiqu'on en dise, les gens continueront à écouter la radio le matin en se levant, en prenant leur voiture matin et soir, en préparant leur diner, ou en effectuant leurs tâches ménagères le week-end." (citation reprise par le site e-marketing.fr).
L’interactivité en publicité n’est pas une nouveauté
On pouvait déjà cliquer sur un spot diffusé sur notre tablette par exemple, ou encore appuyer sur le bouton OK de notre télécommande pendant la diffusion d’un spot pour en savoir plus. On sait que les applications des radios incluent aussi cette interactivité. Une nouvelle forme de publicité qu’il faut savoir utiliser (pour les diffuseurs), qu’il faut savoir supporter (pour les auditeurs, téléspectateurs, internautes,…).