Ce 20 juin, Christopher Baldelli, président de RTL, était l'invité d'Hedwige Chevrillon sur BFM Business
"RTL n’aura jamais autant changé (…) Il y a aussi des vrais points de continuité avec Marc-Olivier Fogiel, Stéphane Bern ou Julien Courbet" a expliqué Christopher Baldelli dans un long entretien accordé à Edwige Chevrillon sur BFM Business.
L’audience à la rentrée ? "Se fixer un objectif d’audience, c’est supposer que la concurrence n’a pas talent. L’audience que je ferai dépend de ce que nous proposons mais dépend aussi de ce que proposeront les autres radios. On ne choisit pas son audience. C’est l’auditeur qui choisit".
L’audience à la rentrée ? "Se fixer un objectif d’audience, c’est supposer que la concurrence n’a pas talent. L’audience que je ferai dépend de ce que nous proposons mais dépend aussi de ce que proposeront les autres radios. On ne choisit pas son audience. C’est l’auditeur qui choisit".
Des mouvements en interne
A la tête de la direction de l’information ? A l’antenne ? "Laurent Bazin a reçu une proposition pour qu’il reste sur RTL (…) Il y a des changements en cours dans l’ensemble de l’Etat Major de RTL. Je ne peux pas en dire beaucoup plus (…) Il y a un départ qui a été annoncé hier. Et il y aura peut-être encore tel ou tel ajustement. Quelques changements dans l’équipe de direction".
La RNT ? "Nous n’y croyons pas"
"Il y a deux radios numériques. Celle que les gens peuvent avoir par leurs iPad, par leurs ordinateurs ou par leurs Smartphones. Et ça on y croit. Et nous sommes très impliqué. Plus de 20 % des gens écoutent la radio numérique pour Fun Radio. Pour la Radio Numérique Terrestre, c’est objectivement un mode de diffusion qui est très cher, qui oblige à changer son récepteur et qui impose une double diffusion durant très longtemps. Nous n’y avons pas cru comme les autres grands groupes radio publics et privés".
Faut-il faire une croix dessus ? "Nous n’y croyons pas".
Faut-il faire une croix dessus ? "Nous n’y croyons pas".