S’agissant de la production de nouveautés musicales, plus particulièrement de titres francophones, indispensables aux radios pour le respect de leurs obligations de diffusion de chansons francophones, l’Observatoire fait "le constat implacable de l’effondrement de l’offre".
Dans un communiqué commun, les radios privées évoquent aussi que "l’Observatoire relevait dans son pré-rapport que, selon les données du SNEP, seuls 242 albums francophones ont été commercialisés en 2014, contre 718 en 2003, ce qui représente une chute de -66,3% de la production de musique francophone en un peu plus de 10 ans. Cette indication n’est pas reprise dans le rapport définitif".
L'ensemble des nouveautés produites en France aurait chuté de -62,3% en un an. La situation des seuls titres francophones fait elle aussi apparaître une chute de -51,4% en un an.
Dans un communiqué commun, les radios privées évoquent aussi que "l’Observatoire relevait dans son pré-rapport que, selon les données du SNEP, seuls 242 albums francophones ont été commercialisés en 2014, contre 718 en 2003, ce qui représente une chute de -66,3% de la production de musique francophone en un peu plus de 10 ans. Cette indication n’est pas reprise dans le rapport définitif".
L'ensemble des nouveautés produites en France aurait chuté de -62,3% en un an. La situation des seuls titres francophones fait elle aussi apparaître une chute de -51,4% en un an.
Des revendications du SNEP jugées inacceptables
"Alors que la source de production francophone se tarit incontestablement au fil des années, les radios, sont quant à elles toujours soumises aux mêmes quotas de diffusion de chansons francophones, selon les fondements d’une loi de 1994, modifiée pour la dernière fois en 2000" notes les radios privées. Il n'empêche que "sur les 6 709 nouveautés francophones déclarées en 2014, les radios en ont programmé 5 506, soit plus de 82%".
Dans ce contexte, et face au développement du streaming, "les attaques et revendications persistantes du SNEP visant à imposer toujours plus de contraintes en matière de diffusion de chansons francophones sont proprement inacceptables. L’urgence est à la préservation d’un paysage radiophonique dynamique et diversifié qui passe par un assouplissement des contraintes réglementaires disproportionnées qui pèsent aujourd’hui sur les radios privées" .
Dans ce contexte, et face au développement du streaming, "les attaques et revendications persistantes du SNEP visant à imposer toujours plus de contraintes en matière de diffusion de chansons francophones sont proprement inacceptables. L’urgence est à la préservation d’un paysage radiophonique dynamique et diversifié qui passe par un assouplissement des contraintes réglementaires disproportionnées qui pèsent aujourd’hui sur les radios privées" .