Pour une poignée de députés, le constat est clair : "la diffusion des oeuvres musicales interprétées dans une langue régionale en usage en France sur les média concernés par l’obligation prévue par la loi du 30 septembre 1986 demeure aujourd’hui caractérisée par sa confidentialité et son confinement territorial ou réservée à certains média spécialisés, dont l’audience est par essence limitée" (lire également ICI).
Les députés souhaitent donc donner plus de visibilité aux langues régionales sur les radios grâce à un "amendement qui n’entend pas se limiter aux seules expressions ultramarines" car celui-ci viserait également "à favoriser la diversité de l’expression musicale et culturelle, à dynamiser et pérenniser la création musicale dans toutes les régions du territoire national et à assurer la défense du patrimoine national au sens de l’article 75-1 de la Constitution".
Entre le Zouk et le Biniou, les choix sont maigres.... Réponse à partir du 4 octobre.
Les députés souhaitent donc donner plus de visibilité aux langues régionales sur les radios grâce à un "amendement qui n’entend pas se limiter aux seules expressions ultramarines" car celui-ci viserait également "à favoriser la diversité de l’expression musicale et culturelle, à dynamiser et pérenniser la création musicale dans toutes les régions du territoire national et à assurer la défense du patrimoine national au sens de l’article 75-1 de la Constitution".
Entre le Zouk et le Biniou, les choix sont maigres.... Réponse à partir du 4 octobre.