"Le pluralisme radiophonique est une question d’équilibre et d’harmonie. Proposer aux auditeurs une offre satisfaisante de programmes radios, tout en assurant aux opérateurs un nombre potentiel d’auditeurs suffisant à l’économie de leur projet, sont les deux règles qui semblent régir les choix du CSA" explique la CNRA. Afin de survivre, les Associatives doivent-elles s’inscrire dans une démarche compétitive au risque de menacer leur objectif premier ?. "Equilibre toujours, lorsqu’on évoque l’économie de nos radios. Le budget du FSER, bien qu’en augmentation pour 2017, reste insuffisant pour construire un avenir serein. Combien de temps nos radios associatives devront-elles jouer au funambule pour optimiser l’usage de ces crédits publics ?".
Cette rencontre, ce vendredi entre 10h30 et 12h30, réunira le président du CSA Olivier Schrameck (sous réserve), Alain Seban (président de la Commission du FSER), Martin Ajdari (directeur général de la DGMIC), François-Xavier Meslon (directeur des médias radio au CSA), Laura Debezy (secrétaire générale FSER) et Jean-Yves Breteau (président de la CNRA).
Programme complet ICI.
Cette rencontre, ce vendredi entre 10h30 et 12h30, réunira le président du CSA Olivier Schrameck (sous réserve), Alain Seban (président de la Commission du FSER), Martin Ajdari (directeur général de la DGMIC), François-Xavier Meslon (directeur des médias radio au CSA), Laura Debezy (secrétaire générale FSER) et Jean-Yves Breteau (président de la CNRA).
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