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"Toutes les femmes vont tout me dire tout haut" chuchote systématiquement Solange à la fin de ses chroniques. Le reste, elle le laisse entièrement aux filles qu’elle interroge. Des filles qui se confient et partagent leur vie sexuelle. Des petits moments privés d’une vie sexuelle presque ordinaire, dévoilés sans tabous au micro de Solange et révélés par Le Mouv’.
Les titres des chroniques sont pour le moins explicites : "Le brouteur", "Ma chatte en feu", "Ma libido égale à celle des mecs", "Le point G pour les nuls"… Et l’on assiste à un monologue de Nelly, Chloé, Bintou, Léa, Mathilde, Anne-Lise, Virginie… fait de souvenirs, d’anecdotes, de jugements, de points de vue, d’envies ou de dégoûts dans des chroniques de 2’30.
Les titres des chroniques sont pour le moins explicites : "Le brouteur", "Ma chatte en feu", "Ma libido égale à celle des mecs", "Le point G pour les nuls"… Et l’on assiste à un monologue de Nelly, Chloé, Bintou, Léa, Mathilde, Anne-Lise, Virginie… fait de souvenirs, d’anecdotes, de jugements, de points de vue, d’envies ou de dégoûts dans des chroniques de 2’30.
Solange, née à Montréal en 1985 et diplômée du cours Florent, rencontre des filles, croisés sur des réseaux sociaux, dans leur chambre à coucher avec un micro et les enregistre. Elle leur demande de se dévoiler et d’aborder des sujets qui, bien que constituant habituellement les conversations entre filles, ne sont que très rarement livrés aux oreilles d'auditeurs.
Après Solange te Parle et surtout la mini-série très étonnante intitulée Solange t’écoute dans le bus programmée sur le site de France Inter (lire ICI ), cette Solange impose progressivement un style, une façon d’utiliser les mots, les sons et la radio, façon qui secoue quelques codes. Enfin quelque chose de différent.
Les revenus publicitaires de Radio France resteront plafonnés
