La radio progresse de + 3,9 % sur l’année 2012 malgré un ralentissement d’activité en décembre (+ 0,9 %). Tous les segments progressent en valeur, en particulier les programmes locaux qui contribuent pour 47 % à la croissance annuelle du média avec une hausse de + 13,3 % de leurs recettes brutes.
Les stations généralistes et les musicales progressent moins vite que la moyenne du média, respectivement + 2,2 % et + 2,4 %. En volume, la radio se développe légèrement (+ 1,9 %). Les stations généralistes évoluent deux fois plus vite à + 4,2 % quand les stations musicales sont stables (+ 0,5 %). Seule bémol, les annonceurs sont moins nombreux sur le média cette année (- 2,6 %) mais cette perte épargne les programmes locaux qui recrutent + 8,7% d’intervenants.
Les stations généralistes et les musicales progressent moins vite que la moyenne du média, respectivement + 2,2 % et + 2,4 %. En volume, la radio se développe légèrement (+ 1,9 %). Les stations généralistes évoluent deux fois plus vite à + 4,2 % quand les stations musicales sont stables (+ 0,5 %). Seule bémol, les annonceurs sont moins nombreux sur le média cette année (- 2,6 %) mais cette perte épargne les programmes locaux qui recrutent + 8,7% d’intervenants.
TV, presse et ciné
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En décembre, tous les indicateurs de la télévision sont positifs : + 7,2 % de recettes brutes, + 4% en durée publicitaire et + 7,4 % d’annonceurs. Mais sur le cumul annuel, le média clôture sur une baisse de - 2,6 % sur sa durée publicitaire et stabilise de son portefeuille annonceurs (+0,4%).
En presse, tous les résultats sont négatifs en décembre : les recettes brutes reculent de -9,1 % et la pagination perd - 10,8 %. Les quotidiens nationaux sont les plus impactés. Les magazines souffrent moins avec des recettes brutes en léger repli (-1,4%).
En cinéma, les recettes brutes progressent de + 10,2% sur le mois de décembre mais l’activité erratique enregistrée tout au long de l’année engendre une stabilisation de ses recettes à fin décembre (+ 0,2 %) et une légère perte d’annonceurs (- 2,6 %).
En presse, tous les résultats sont négatifs en décembre : les recettes brutes reculent de -9,1 % et la pagination perd - 10,8 %. Les quotidiens nationaux sont les plus impactés. Les magazines souffrent moins avec des recettes brutes en léger repli (-1,4%).
En cinéma, les recettes brutes progressent de + 10,2% sur le mois de décembre mais l’activité erratique enregistrée tout au long de l’année engendre une stabilisation de ses recettes à fin décembre (+ 0,2 %) et une légère perte d’annonceurs (- 2,6 %).