Vous aimerez aussi
-
France Bleu Champagne-Ardenne déménage
-
L'émission "Les Pieds sur Terre" explore 20 ans de bouleversements sexuels
-
ACPM : l'audience des radios les plus écoutées sur le web
-
L'application Radio France veut être le "lieu de convergence pour les podcasts des médias publics"
-
"Recettes & Récits" : Un livre gourmand et intime de François-Régis Gaudry
"C’est notre rôle d’être sur le terrain et de couvrir l’actualité du bout de la rue comme celle du bout du monde". Pour Jean Philippe Baille, le directeur de la rédaction de franceinfo, c’est comme une évidence, franceinfo devait délocaliser une partie de ses programmes aux États-Unis pour faire vivre la présidentielle à ses auditeurs. "Être là ou l’histoire se déroule, c’est notre ADN" affirme-t-il, d’autant que tout peut arriver et que Trump fascine au-delà des frontières. Pour l’occasion, la radio publique a mis les petits plats dans les grands.
Deux émissions spéciales de 17h à 20h en direct de Washington, les 3 et 4 novembre, animées par Nicolas Teillard. Une Nuit Américaine avec deux équipes de journalistes pour suivre Donald Trump et Joe Biden. Des duplex depuis les états clés, dont la Floride.
Deux émissions spéciales de 17h à 20h en direct de Washington, les 3 et 4 novembre, animées par Nicolas Teillard. Une Nuit Américaine avec deux équipes de journalistes pour suivre Donald Trump et Joe Biden. Des duplex depuis les états clés, dont la Floride.
Ajoutons "Les Informés de franceinfo" en émission spéciale avec Jean Marc Four, le patron de l’information internationale à Radio France. Au total, la Maison ronde envoie quinze journalistes aux États-Unis pour cette élection, dont l’historien et écrivain, spécialiste des USA, Thomas Snégaroff, sept d’entre eux appartiennent à la seule rédaction de franceinfo. Un dispositif qui a été compliqué à mettre en œuvre selon Jean-Philippe Baille à cause de la situation sanitaire liée à la Covid-19 sur place, mais grâce à l’aide de l’ambassade de France toutes les accréditations viennent d’être délivrées. Par ailleurs, face à la difficulté qui s’annonce d’obtenir des résultats viables dès la fin du scrutin, la radio ne donnera aucun pourcentage avant d’avoir croisé, au moins, trois sources différentes.
Jean Philippe Baille compte également sur les estimations de la filiale américaine de l’institut de sondage, Ipsos, partenaire de la radio publique pour l’occasion. Enfin, si l’actualité sur le coronavirus prend encore plus d’ampleur en France, durant cette élection, Jean-Philippe Baille le promet, il réadaptera l’antenne de franceinfo.
Jean Philippe Baille compte également sur les estimations de la filiale américaine de l’institut de sondage, Ipsos, partenaire de la radio publique pour l’occasion. Enfin, si l’actualité sur le coronavirus prend encore plus d’ampleur en France, durant cette élection, Jean-Philippe Baille le promet, il réadaptera l’antenne de franceinfo.