Écoute différée, à la demande, podcast... Ces termes reviennent de plus en plus souvent dans le vocabulaire des professionnels de la radio. "Podcaster" est devenu une activité régulière pour un quart des consommateurs d’émissions radio. La plupart des radios ne se préoccupent pas vraiment de l’écoute différée ; leur audience s’ajoute simplement aux auditeurs en direct. D’autres radios produisent des éléments spécifiquement destinés à l’écoute à la demande. Elles connaissent souvent le succès.
Vous aimerez aussi
-
La Confédération suisse ouverte à un soutien élargi aux radios locales
-
Ici Normandie raconte l’histoire de Caen en 14 épisodes
-
Le MAG 170 - S’adapter ou périr : le futur de la radio selon James Cridland
-
Les 50 podcasts les plus écoutés aux États-Unis au 1er trimestre 2025
-
Ici Champagne-Ardenne explore la reddition du 7 mai 1945
Cinq orateurs interviendront lors du prochain Atelier Radiophonique Romand (ARARO), le 9 février à l’Université de Neuchâtel, sur les réalisations en matière de podcasts. Parmi eux, Serge Schick est directeur délégué au marketing stratégique et au développement de Radio France. Les thèmes iront d’exemples vécus en France et en Norvège à la commercialisation des podcasts en passant par les conséquences stratégiques et managériales. L’objectif est d’identifier les opportunités des podcasts pour les radios.
L’Académie du journalisme et des médias, la RTS et les Radios Régionales Romandes se réjouissent accueilleront les professionnels dès 08h30, pour le café. L’atelier débutera à 09h00 avec des exposés courts et suffisamment de temps pour la discussion.
L’Académie du journalisme et des médias, la RTS et les Radios Régionales Romandes se réjouissent accueilleront les professionnels dès 08h30, pour le café. L’atelier débutera à 09h00 avec des exposés courts et suffisamment de temps pour la discussion.