Initiative originale pour cette radio portée par "un collectif international de 60 personnes (artistes, peintres, sculpteurs, designers, musiciens, architectes...) qui a décidé d’investir une friche industrielle de plus de 100 000 m2, avec l'accord de la municipalité". Un collectif qui vient donc d’engager le projet Motoco comme "more to come" et qui pointe du doigt "un paysage radiophonique associatif mulhousien monolithique".
Pour ce collectif : "la seule radio de catégorie A que nous pouvons écouter sur nos transistors à Mulhouse est Phare FM, une radio confessionnelle chrétienne. De ce fait, les associations culturelles et innovantes qui œuvrent chaque jour dans la diversité pour faire vivre l'agglomération et donner envie aux habitants d'aimer leur cité se retrouvent privés d’un moyen d’expression primordial, peu coûteux en diffusion et gratuit en réception".
Pour ce collectif : "la seule radio de catégorie A que nous pouvons écouter sur nos transistors à Mulhouse est Phare FM, une radio confessionnelle chrétienne. De ce fait, les associations culturelles et innovantes qui œuvrent chaque jour dans la diversité pour faire vivre l'agglomération et donner envie aux habitants d'aimer leur cité se retrouvent privés d’un moyen d’expression primordial, peu coûteux en diffusion et gratuit en réception".
Une fréquence temporaire de 9 mois
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Si comparaison n’est pas raison, le projet Motoco évoque les villes de Belfort, Colmar, Strasbourg, Besançon, Freiburg... "toutes ces villes ont au moins une radio associative de catégorie A, non gangrénée par la publicité, ouverte à tous et permettant aux habitants de découvrir la richesse culturelle et associative de leur ville. C’est pour cela que les associations et les structures culturelles soutiennent notre demande, car elles sont souvent absentes des programmes radiophoniques mulhousiens".
Le collectif demande une fréquence temporaire de 9 mois, "sur une faible diffusion de 100 watts" afin de "donner un nouveau souffle à la radio associative locale en s’adossant au développement du projet Motoco qui passionne tout le monde par ici".
La pétition est en ligne ICI. Elle sera adressée à Daniel Giltard, Président du CTA de Nancy.
Le collectif demande une fréquence temporaire de 9 mois, "sur une faible diffusion de 100 watts" afin de "donner un nouveau souffle à la radio associative locale en s’adossant au développement du projet Motoco qui passionne tout le monde par ici".
La pétition est en ligne ICI. Elle sera adressée à Daniel Giltard, Président du CTA de Nancy.