Agnain Martin est tombé dans la radio un peu par hasard, à la fin des années 80. Comme tout le monde. "J’étais musicien, guitariste dans un groupe de rock, je vivais à Paris. Ça marchait plutôt bien : on était sous contrat dans une maison de disque, chez CBS". Mais en 1988, le destin frappe à la porte du jeune rockeur alsacien.
Une radio locale de chez lui, à Mulhouse, Radio Porte Sud, rencontre des difficultés à la fois financières et structurelles. Ce sont les premiers balbutiements des radios commerciales, et beaucoup de pionniers des années 80 tirent la langue. Les années de joyeuse improvisation tirent à leur fin : il faut désormais se montrer professionnels ou… mourir. "Cette radio n’avait pas de stratégie commerciale, pas de structure cohérence, pas de méthodes de travail… elle courait à la catastrophe". Le jeune artiste, qui a déjà la bosse du commerce, distille quelques conseils à l’équipe en place… qui finit par lui offrir le poste de directeur.
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Une radio locale de chez lui, à Mulhouse, Radio Porte Sud, rencontre des difficultés à la fois financières et structurelles. Ce sont les premiers balbutiements des radios commerciales, et beaucoup de pionniers des années 80 tirent la langue. Les années de joyeuse improvisation tirent à leur fin : il faut désormais se montrer professionnels ou… mourir. "Cette radio n’avait pas de stratégie commerciale, pas de structure cohérence, pas de méthodes de travail… elle courait à la catastrophe". Le jeune artiste, qui a déjà la bosse du commerce, distille quelques conseils à l’équipe en place… qui finit par lui offrir le poste de directeur.
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