Deux slogans sont mis en exergue : "Les images violentes on doit les éviter, sinon il faut en parler" et "Les images choquantes on doit les éviter, sinon il faut en parler", plaçant ainsi le dialogue au cœur de son message et invitant le jeune public à un échange sur les images visionnées. Toutes les chaînes de télévision vont diffuser, notamment aux heures de grande écoute, la campagne de sensibilisation à la protection du jeune public, produite par le CSA.
Les radios se mobilisent également en diffusant un message, écho de la campagne télévisuelle, rappelant aux parents et aux adultes responsables d’enfants et d’adolescents, la nécessité de superviser les programmes regardés par les mineurs et de provoquer un échange sur les images visualisées.
Les radios se mobilisent également en diffusant un message, écho de la campagne télévisuelle, rappelant aux parents et aux adultes responsables d’enfants et d’adolescents, la nécessité de superviser les programmes regardés par les mineurs et de provoquer un échange sur les images visualisées.
Une mission essentielle du CSA
"Les éditeurs ont bien conscience que la protection du jeune public est au cœur du contrat de confiance qu’ils ont avec leurs téléspectateurs et auditeurs. Mais aujourd’hui l’enjeu est ailleurs et la régulation doit s’adapter aux modes de consommation des jeunes", a rappelé Carole Bienaimé-Besse, en charge du groupe de travail "Protection de la jeunesse". Pour sa part, le Président du CSA, Olivier Schrameck, a souligné que "la protection des publics les plus fragiles parmi lesquels bien entendu les jeunes, est une mission essentielle du CSA en particulier dans notre environnement numérique".