Marc Voinchet lance le site web en anglais : francemusique.com © François Quairel / La Lettre Pro de la Radio
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L’heure est aux synergies entre les entreprises du service public, après la présentation de la réforme par la Ministre. Qu’en-est-il de France Musique ?
On a déjà pris de l’avance dans ces synergies ! Puisque nous produisons des concerts en collaboration avec Arte (chaîne publique franco – allemande avec laquelle le portail artefrancemusique.arte.tv a été créé, NLDR) depuis un certain temps. Mais c’est certainement le début d’autres collaborations également avec France Télévisions, notamment au sein des futures plateformes communes autour de la culture et de la jeunesse.
On a déjà pris de l’avance dans ces synergies ! Puisque nous produisons des concerts en collaboration avec Arte (chaîne publique franco – allemande avec laquelle le portail artefrancemusique.arte.tv a été créé, NLDR) depuis un certain temps. Mais c’est certainement le début d’autres collaborations également avec France Télévisions, notamment au sein des futures plateformes communes autour de la culture et de la jeunesse.
France Musique peut-elle s’adresser à un public plus jeune ?
Les émissions de radio pour les jeunes sont rarement réussies. C’est très difficile de faire de bons programmes à caractère pédagogique. Mais je pense que France Musique a des choses à faire pour ce public, nous y travaillons, notamment sur le numérique.
Vous êtes directeur de la station depuis 3 ans. Quel bilan en tirez-vous ?
Dans France Musique, il y a musique. Quand il vient chez nous, l’auditeur cherche de la musique. J’ai voulu remettre cela au centre de nos programmes en rappelant quelques réflexes de radio : avoir une parole mesurée et bien cadrée. Je pense que nous y sommes arrivés même si il y aura encore quelques aménagements sur la grille des programmes, à la rentrée, notamment le week-end et dans nos matinées.
Sur le digital, vos résultats d’audience sont excellents avec une hausse de 34 % de l’audience numérique sur un an et plus d’un million de podcasts téléchargés par mois. Vous lancez une version de votre site web en anglais. Pour quelle raison ?
francemusique.com est un miroir de notre site internet en français. L’idée est d’être mieux référencé dans le monde entier alors que nous sommes déjà le deuxième site internet consacré à la musique classique en Europe. Nous avons embauché quelqu’un interne qui travaillait à la documentation de Radio France. Un profil extraordinaire qui traduit et rédige des articles originaux, en Anglais.
Les émissions de radio pour les jeunes sont rarement réussies. C’est très difficile de faire de bons programmes à caractère pédagogique. Mais je pense que France Musique a des choses à faire pour ce public, nous y travaillons, notamment sur le numérique.
Vous êtes directeur de la station depuis 3 ans. Quel bilan en tirez-vous ?
Dans France Musique, il y a musique. Quand il vient chez nous, l’auditeur cherche de la musique. J’ai voulu remettre cela au centre de nos programmes en rappelant quelques réflexes de radio : avoir une parole mesurée et bien cadrée. Je pense que nous y sommes arrivés même si il y aura encore quelques aménagements sur la grille des programmes, à la rentrée, notamment le week-end et dans nos matinées.
Sur le digital, vos résultats d’audience sont excellents avec une hausse de 34 % de l’audience numérique sur un an et plus d’un million de podcasts téléchargés par mois. Vous lancez une version de votre site web en anglais. Pour quelle raison ?
francemusique.com est un miroir de notre site internet en français. L’idée est d’être mieux référencé dans le monde entier alors que nous sommes déjà le deuxième site internet consacré à la musique classique en Europe. Nous avons embauché quelqu’un interne qui travaillait à la documentation de Radio France. Un profil extraordinaire qui traduit et rédige des articles originaux, en Anglais.