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Le besoin de la population d’être informée et orientée, mais aussi de se distraire, pendant la crise du coronavirus a dopé la demande de programmes de radio et de télévision au premier semestre 2020, offrant aux diffuseurs des taux d’audience records. Dans le même temps, les mesures prises pour lutter contre la propagation du virus ont porté atteinte à plusieurs piliers de l’audience radio et TV. Citons pour exemples les restrictions subies par des contextes d’utilisation de première importance, comme le trafic pendulaire pour la radio, ainsi que la suppression d’offres attirant un large public, comme le sport du côté de la télévision. Par rapport à l’année dernière, la télévision a vu son taux de pénétration augmenter d’environ un point de pourcentage, avec une durée d’utilisation par téléspectateur et par jour en hausse de dix minutes.
Par rapport au premier semestre 2019, la radio accuse un recul de son taux de pénétration journalière, qui est passé de 81% à 78%. Ce recul est nettement plus important en Suisse romande (- 5%) et en Suisse italienne (- 4%) qu’en Suisse alémanique (- 3%). En Suisse latine, on observe en outre une diminution de la durée d’utilisation par auditeur, atteignant deux minutes en Suisse romande alors qu'elle reste inchangée en Suisse italienne. En Suisse alémanique, cette valeur a au contraire augmenté de 4 minutes.
Pour des raisons à la fois méthodologiques et d’économie de recherche, les systèmes de mesure de Mediapulse SA ne couvrent pas la consommation de radio et de télévision sous toutes ses formes, si bien que les chiffres présentés tendent plutôt à la sous-estimer. Ainsi, l’utilisation de la télévision dans des lieux publics ou sur des appareils mobiles n’est pas mesurée. Pour la radio, c’est l’écoute en différé ou au moyen d’un casque qui n’est pas prise en compte.
Pour des raisons à la fois méthodologiques et d’économie de recherche, les systèmes de mesure de Mediapulse SA ne couvrent pas la consommation de radio et de télévision sous toutes ses formes, si bien que les chiffres présentés tendent plutôt à la sous-estimer. Ainsi, l’utilisation de la télévision dans des lieux publics ou sur des appareils mobiles n’est pas mesurée. Pour la radio, c’est l’écoute en différé ou au moyen d’un casque qui n’est pas prise en compte.