L’intersyndicale CNRA/SNRL a explicité l’importance du travail de terrain qu’effectuent les radios associatives et leurs difficultés croissantes à faire face à l’augmentation de leurs charges courantes ainsi qu’à de nouvelles charges devenues obligatoires : mutuelle et prévoyance.
L'intersyndicale a souligné la baisse sensible des subventions des collectivités territoriales et la fragilisation réelle des radios et a rappelé qu’elles ont contribué par une réflexion avec la DGMIC à l’écriture du nouveau décret afin de renforcer la subvention sélective en regard d’actions de communication sociale de proximité.
L'intersyndicale a souligné la baisse sensible des subventions des collectivités territoriales et la fragilisation réelle des radios et a rappelé qu’elles ont contribué par une réflexion avec la DGMIC à l’écriture du nouveau décret afin de renforcer la subvention sélective en regard d’actions de communication sociale de proximité.
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Malgré cela, force est de constater que les radios qui obtiennent le plus de points ont vu leur subvention sélective baisser de façon significative, ce qui permet d’affirmer que l’enveloppe globale du FSER est devenue "insuffisante". Cette intersyndicale a donc refusé une baisse de l’aide automatique qui sert en priorité à "garantir l’emploi" et a alerté sur l’urgence à apporter un complément de 1M€, dès cette année. Les deux syndicats ont affirmé que "seule une augmentation du FSER de à minima de 2 à 3 M€ en 2017, permettra aux radios associatives de maintenir leurs emplois et de continuer à remplir leurs missions" et ont rappelé que "la subvention FSER est directement utilisée pour l’emploi et le fonctionnement des services radiophoniques".