Vous aimerez aussi
-
Près de 69 787 sites de réseaux mobiles autorisés en France
-
Belgique : : le CSA publie son évaluation du pluralisme des médias
-
RMC étend sa présence dans les Vosges
-
DAB+ : les radios locales italiennes réclament plus de fréquences
-
Belgique : le CSA appelle à une vigilance accrue sur la séparation entre publicité et information
Cette étude met en avant une dégradation de la qualité sonore pour une puissance multiplex supérieure à 5dBr.
Le but est donc de limiter la puissance du son diffusé par les radios. Au-delà des limites qualifiées de normales, un son trop fort entraine une forte distorsion et une fatigue auditive rapide. Autre conséquences, une forte dégradation de la zone d'écoute, une fragilité du signal HF de toutes les radios environnantes (zones géographiques environnantes mais aussi sur la même zone géographique) en se fragilisant aussi elles mêmes par leur propre signal. (Merci à Philippe Chambon pour ses explications).
Le but est donc de limiter la puissance du son diffusé par les radios. Au-delà des limites qualifiées de normales, un son trop fort entraine une forte distorsion et une fatigue auditive rapide. Autre conséquences, une forte dégradation de la zone d'écoute, une fragilité du signal HF de toutes les radios environnantes (zones géographiques environnantes mais aussi sur la même zone géographique) en se fragilisant aussi elles mêmes par leur propre signal. (Merci à Philippe Chambon pour ses explications).