Le Conseil a estimé qu’en dépit de la visée humoristique de cette émission qui a pour objet de traiter de façon décalée des sujets d’actualité tels, qu’en l’espèce, l’ouverture du procès d’une personne jugée pour son éventuelle responsabilité dans ces massacres, certains propos de cette séquence ont été marqués par une désinvolture outrancière telle qu’elle pouvait être perçue comme une complaisance à l’égard d’un génocide.
Il a également demandé à la station de prendre toutes les mesures nécessaires afin que cette séquence ne soit plus mise à disposition du public sur l’ensemble de ses services, notamment sur son site internet.