LLP - Comment va s'articuler cette nouveauté ?
DM - En première partie, nous proposerons une interview politique. Dans la seconde partie de l’émission, les journaux régionaux (PQR) vont envoyer des éditorialistes qui débattront de la question du jour. Dans un premier temps, cette matinale sera diffusée depuis les studios de Public Sénat puis, à terme, nous essaierons de le faire depuis nos studios en cours d’installation à Paris.
LLP - À terme, envisagez-vous de faire de Sud Radio une radio filmée, comme BFM Business ou RMC, qui a fait un bi-média ou alors comme les autres radios généralistes, Europe 1, France Inter, ou RTL qui filment leurs studios durant les émissions ?
DM - Il est clair que nous allons vers la convergence entre radio et vidéo, tout en respectant les codes. On fait de la radio filmée et pas de la télévision. C’est évidemment différent avec Public Sénat par il faut un beau plateau, une belle image, etc. L’idée est ensuite d’aller vers le numérique, de redécouper et remonter des petites séquences qui seront présentes sur les différents sites des partenaires presse et qui devraient être virales sur le Net.
Sud Radio évolue avec l’arrivée de nouveaux programmes et de nouveaux journalistes, des gens de talents qui nous ont rejoints. On ne communique pas trop, car on a décidé de faire les choses par étapes et ne pas bomber le torse en disant « vous allez voir ce que vous allez voir ». On reste calme, on structure petit à petit. On y va progressivement.
DM - En première partie, nous proposerons une interview politique. Dans la seconde partie de l’émission, les journaux régionaux (PQR) vont envoyer des éditorialistes qui débattront de la question du jour. Dans un premier temps, cette matinale sera diffusée depuis les studios de Public Sénat puis, à terme, nous essaierons de le faire depuis nos studios en cours d’installation à Paris.
LLP - À terme, envisagez-vous de faire de Sud Radio une radio filmée, comme BFM Business ou RMC, qui a fait un bi-média ou alors comme les autres radios généralistes, Europe 1, France Inter, ou RTL qui filment leurs studios durant les émissions ?
DM - Il est clair que nous allons vers la convergence entre radio et vidéo, tout en respectant les codes. On fait de la radio filmée et pas de la télévision. C’est évidemment différent avec Public Sénat par il faut un beau plateau, une belle image, etc. L’idée est ensuite d’aller vers le numérique, de redécouper et remonter des petites séquences qui seront présentes sur les différents sites des partenaires presse et qui devraient être virales sur le Net.
Sud Radio évolue avec l’arrivée de nouveaux programmes et de nouveaux journalistes, des gens de talents qui nous ont rejoints. On ne communique pas trop, car on a décidé de faire les choses par étapes et ne pas bomber le torse en disant « vous allez voir ce que vous allez voir ». On reste calme, on structure petit à petit. On y va progressivement.