Cet accord, qui prend le relais de celui initialement conclu en 2010, conforte la collaboration entre les deux entités. Il inscrit dans le long terme la reconnaissance des droits des auteurs représentés par la Scam, et garantit la rémunération des auteurs pour l’exposition de leurs oeuvres par les créateurs et les fournisseurs de contenus sur YouTube. La Scam représente désormais des centaines d’auteurs dans des thématiques diverses, telles que le lifestyle, la culture, les sciences, ou encore le sport, à travers, des reportages, interviews, tutoriels… pour lesquels YouTube est aujourd’hui devenu le vecteur principal de diffusion.
"Ce nouvel accord avec la Scam illustre notre ancrage dans l’écosystème audiovisuel français, avec une ambition commune : accompagner les auteurs dans la gestion de leurs oeuvres, participer à la création de valeur et promouvoir les créations originales françaises dans le monde entier" a déclaré Justine Ryst, Directrice en charge des partenariats YouTube, Europe du Sud.
Pour sa part, Hervé Rony, Directeur général de la Scam a indiqué que "ce nouvel accord avec YouTube pérennise la reconnaissance des droits des auteurs et conforte le principe de leur rémunération pour les exploitations numériques d’oeuvres spécifiquement créées pour le web ou préalablement diffusées via d’autres médias. La Scam, au nom des 40 000 auteurs qu’elle représente, continue de renforcer son action dans un univers numérique en constante évolution et prouve que la gestion collective garde toute sa légitimité quel que soit le mode d’exploitation".
Pour sa part, Hervé Rony, Directeur général de la Scam a indiqué que "ce nouvel accord avec YouTube pérennise la reconnaissance des droits des auteurs et conforte le principe de leur rémunération pour les exploitations numériques d’oeuvres spécifiquement créées pour le web ou préalablement diffusées via d’autres médias. La Scam, au nom des 40 000 auteurs qu’elle représente, continue de renforcer son action dans un univers numérique en constante évolution et prouve que la gestion collective garde toute sa légitimité quel que soit le mode d’exploitation".