LLPR - Depuis 30 ans, comment qualifieriez-vous votre relation avec RMC ?
JR - Une belle histoire, une grande partie de ma vie et de mon évolution professionnelle surtout. Le plaisir du quotidien dans une radio qui a toujours été bienveillante avec moi surtout dans le nouveau format. Une véritable marque de confiance et de reconnaissance pour passer de correspondant en région au service des sports avant de décoller grâce au nouveau format où j’ai su et pu trouver ma place aux côtés des consultants qui m’ont tous permis d’apprendre et de progresser. Le sentiment de faire, aussi, partie des meubles.
LLPR - Votre meilleur souvenir ? Votre pire souvenir ?
JR - Le meilleur, c’est la finale de l’Euro 2000 et surtout le but en or de Trézéguet. Un moment particulier pour ma première finale commentée sur RMC alors que je ne suivais l’équipe de France que depuis quelques mois. Car, même si j’ai couvert la coupe du Monde de 98, je ne suivais pas encore les Bleus. Quant au pire, le Mondial de 2010 et la grève de Knysna en Afrique du Sud où j’ai eu l’impression, pendant quelques jours, de faire du fait-divers ce qui n’était pas banal certes, mais qui n’avait rien à voir avec le football.
JR - Une belle histoire, une grande partie de ma vie et de mon évolution professionnelle surtout. Le plaisir du quotidien dans une radio qui a toujours été bienveillante avec moi surtout dans le nouveau format. Une véritable marque de confiance et de reconnaissance pour passer de correspondant en région au service des sports avant de décoller grâce au nouveau format où j’ai su et pu trouver ma place aux côtés des consultants qui m’ont tous permis d’apprendre et de progresser. Le sentiment de faire, aussi, partie des meubles.
LLPR - Votre meilleur souvenir ? Votre pire souvenir ?
JR - Le meilleur, c’est la finale de l’Euro 2000 et surtout le but en or de Trézéguet. Un moment particulier pour ma première finale commentée sur RMC alors que je ne suivais l’équipe de France que depuis quelques mois. Car, même si j’ai couvert la coupe du Monde de 98, je ne suivais pas encore les Bleus. Quant au pire, le Mondial de 2010 et la grève de Knysna en Afrique du Sud où j’ai eu l’impression, pendant quelques jours, de faire du fait-divers ce qui n’était pas banal certes, mais qui n’avait rien à voir avec le football.
LLPR - Qu’est-ce qui a changé dans le métier ?.
JR - Tout va très vite, trop vite parfois. Il faut savoir s’adapter avec les réseaux sociaux notamment. C’est une question de génération peut-être mais l’approche avec les joueurs et les clubs a complétement changé. Cela ne me perturbe pas tant que ça mais cela me donne parfois l’impression de ne plus faire le même métier. Mais, c’est comme pour l’arrivée de la vidéo dans le foot, il faut savoir vivre avec son temps.
LLPR - Dans quel état d’esprit êtes-vous avant de commenter votre 1 489e match ?
JR - Autant impatient de commenter un match de foot pour RMC. La passion est toujours là et l’envie aussi. Que ce soit un match de coupe de France ou une rencontre de Ligue des champions, c’est pareil pour moi. Réellement, même si, comme avant chaque match, je n’attends qu’une chose… des buts pour pouvoir apporter de l’émotion à ceux qui nous écoutent. Après, je suis conscient que certaines soirées peuvent apporter des moments magiques plus que d’autres et j’espère que ce PSG – Real Madrid vaudra le détour.
JR - Tout va très vite, trop vite parfois. Il faut savoir s’adapter avec les réseaux sociaux notamment. C’est une question de génération peut-être mais l’approche avec les joueurs et les clubs a complétement changé. Cela ne me perturbe pas tant que ça mais cela me donne parfois l’impression de ne plus faire le même métier. Mais, c’est comme pour l’arrivée de la vidéo dans le foot, il faut savoir vivre avec son temps.
LLPR - Dans quel état d’esprit êtes-vous avant de commenter votre 1 489e match ?
JR - Autant impatient de commenter un match de foot pour RMC. La passion est toujours là et l’envie aussi. Que ce soit un match de coupe de France ou une rencontre de Ligue des champions, c’est pareil pour moi. Réellement, même si, comme avant chaque match, je n’attends qu’une chose… des buts pour pouvoir apporter de l’émotion à ceux qui nous écoutent. Après, je suis conscient que certaines soirées peuvent apporter des moments magiques plus que d’autres et j’espère que ce PSG – Real Madrid vaudra le détour.