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"Les syndications se multiplient : 30 locales vont devoir dégrader leurs programmes pour répondre aux impératifs d'économies, lors des vacances de fin d'année. Dans certains, cela ne génère aucune économie, comme l'ont prouvées les mutualisations des vacances de la Toussaint" indique un communiqué.
"Avec des antennes communes à plus de deux stations, comment peut-on encore oser parler de proximité ? Et que dire de la reprise des programmes nationaux ? C'est un total abandon de notre mission de service public de proximité. Ces "solutions" n'ont rien de satisfaisant, ce sont juste de mauvaises idées pour remplir des cases" poursuite le communiqué.
"Avec des antennes communes à plus de deux stations, comment peut-on encore oser parler de proximité ? Et que dire de la reprise des programmes nationaux ? C'est un total abandon de notre mission de service public de proximité. Ces "solutions" n'ont rien de satisfaisant, ce sont juste de mauvaises idées pour remplir des cases" poursuite le communiqué.
Des "programmes hors-sol"
Si certaines locales de France Bleu ont fait le choix de maintenir leurs programmes locaux durant cette période, "d'autres solutions peuvent être imaginées pour mettre les moyens disponibles au services de la proximité". Les syndicats évoquent des "programmes hors-sol" et qualifient les syndications de "non-sens absolu".
Ils demandent la tenue d'une commission France Bleu extraordinaire consacrée aux solutions adaptées à mettre en place face aux contraintes budgétaires.
Ils demandent la tenue d'une commission France Bleu extraordinaire consacrée aux solutions adaptées à mettre en place face aux contraintes budgétaires.
L’Arcom publie son rapport annuel sur l’éducation aux médias
