LLP - Pour la première fois, tu passes devant NRJ à 7h45. Est-ce que Manu t’a téléphoné ce matin pour te féliciter ?
BG - Oui. Bien sûr. C’est un rituel. Il m’a envoyé un SMS. C’est bon esprit cette concurrence.
LLP - À ce rythme, on se demande où va s’arrêter la matinale de Fun Radio ?
BG - Ma crainte après les sondages, et surtout lorsque tu arrives à ce niveau, c’est que tu appréhendes ceux du 15 juillet. Je suis en vacances. Je suis revenu ce matin pour, déjà, réfléchir à des futurs contenus. Il y a des quarts d’heure où on double l’audience. Je ne sais si tu te rends compte.
BG - Oui. Bien sûr. C’est un rituel. Il m’a envoyé un SMS. C’est bon esprit cette concurrence.
LLP - À ce rythme, on se demande où va s’arrêter la matinale de Fun Radio ?
BG - Ma crainte après les sondages, et surtout lorsque tu arrives à ce niveau, c’est que tu appréhendes ceux du 15 juillet. Je suis en vacances. Je suis revenu ce matin pour, déjà, réfléchir à des futurs contenus. Il y a des quarts d’heure où on double l’audience. Je ne sais si tu te rends compte.
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LLP - Quelle est la recette du succès ?
BG - La sincérité. On a crée un lien avec les auditeurs de la matinale. C’est un peu plus que de la radio. C’est pour ça que je suis revenu ce matin. Les auditeurs nous appellent "la famille", c’est un lien affectif. J’ai donc pris l’antenne ce matin à 08h pour leur dire merci. C’est donc la sincérité et puis l’authenticité. Le principe de la matinale où tu dois rire à tout prix a fait son temps. La matinale est fabriquée comme une comédie à l’américaine. Tu ris mais tu peux aussi pleurer.
LLP - Comment te positionnes-tu face aux autres matinales des Musicales celles de NRJ et de Virgin Radio notamment ?
BG - Je suis content pour Manu et pour Camille parce que ça marche aussi plutôt bien pour eux.
LLP - Jamais l’écart entre Fun Radio et NRJ n’avait été aussi faible ? Quelles sont vos ambitions pour tenter de réduire encore l’écart ?
BG - Il n’existe d’ailleurs plus sur certains quarts d’heure ! Là, je suis déjà en train d’imaginer à quoi vont ressembler les sondages du 15 juillet. On va essayer d’enfoncer le clou. Il faut continuer à faire le travail. Mais, même pas dans nos rêves, nous avions imaginé ce que l’on fait aujourd’hui.
LLP - Où seras-tu à la rentrée de la saison 2016-2017 ?
BG - Il y a de grandes chances. Je m’y sens bien. Les scores, c’est aussi ce qui se passe hors antenne. Les patrons me font confiance. Il y a un vrai dialogue avec Tristan ou Sébastien, la relation est géniale.
LLP - Avec ton expérience, envisages-tu un poste de dirigeant dans quelques années ? Y as-tu déjà songé ?
BG - Pour être franc, on me l’a déjà proposé. Mais c’est compliqué d’être le mauvais élève au fond de la classe et le professeur. Pour l’instant non, mais pourquoi pas un jour. L’âge n’est plus important comme avant. Les auditeurs n’y font pas attention pourvu qu’ils s’amusent. Pour l’instant, je n’y pense pas. Et puis, Fun Radio a une direction très participative. ça me suffit.
BG - La sincérité. On a crée un lien avec les auditeurs de la matinale. C’est un peu plus que de la radio. C’est pour ça que je suis revenu ce matin. Les auditeurs nous appellent "la famille", c’est un lien affectif. J’ai donc pris l’antenne ce matin à 08h pour leur dire merci. C’est donc la sincérité et puis l’authenticité. Le principe de la matinale où tu dois rire à tout prix a fait son temps. La matinale est fabriquée comme une comédie à l’américaine. Tu ris mais tu peux aussi pleurer.
LLP - Comment te positionnes-tu face aux autres matinales des Musicales celles de NRJ et de Virgin Radio notamment ?
BG - Je suis content pour Manu et pour Camille parce que ça marche aussi plutôt bien pour eux.
LLP - Jamais l’écart entre Fun Radio et NRJ n’avait été aussi faible ? Quelles sont vos ambitions pour tenter de réduire encore l’écart ?
BG - Il n’existe d’ailleurs plus sur certains quarts d’heure ! Là, je suis déjà en train d’imaginer à quoi vont ressembler les sondages du 15 juillet. On va essayer d’enfoncer le clou. Il faut continuer à faire le travail. Mais, même pas dans nos rêves, nous avions imaginé ce que l’on fait aujourd’hui.
LLP - Où seras-tu à la rentrée de la saison 2016-2017 ?
BG - Il y a de grandes chances. Je m’y sens bien. Les scores, c’est aussi ce qui se passe hors antenne. Les patrons me font confiance. Il y a un vrai dialogue avec Tristan ou Sébastien, la relation est géniale.
LLP - Avec ton expérience, envisages-tu un poste de dirigeant dans quelques années ? Y as-tu déjà songé ?
BG - Pour être franc, on me l’a déjà proposé. Mais c’est compliqué d’être le mauvais élève au fond de la classe et le professeur. Pour l’instant non, mais pourquoi pas un jour. L’âge n’est plus important comme avant. Les auditeurs n’y font pas attention pourvu qu’ils s’amusent. Pour l’instant, je n’y pense pas. Et puis, Fun Radio a une direction très participative. ça me suffit.