"J'ai eu le temps de m'y faire (à la fin de l'aventure, NDLR.) Mon bébé avait 37 ans, il pouvait marcher tout seul ou avec quelqu'un d'autre ! J'ai tourné les pages. Une souffrance, une blessure ? Non, non ! Il faut bien arrêter ! Mais j'ai peut-être été un peu imprudent en disant en interview qu'il faudrait m'arrêter, que je n'arrêterai jamais... J'ai tourné les pages, je vais en écrire d'autres mais elles seront moins nombreuses mais tout aussi passionnantes !" analyse Bouvard au micro de Sotto.
Ruquier : sujet tabou ?
"Pourquoi voulez-vous que je parle...?". Question de Sotto : "Vos déclarations n'ont pas été très chaleureuses... ?". Réponse de Bouvard : "Je n'ai pas à être chaleureux ! Je suis un petit soldat extrêmement respectueux de la hiérarchie : elle a jugé bon que je ne fasse pas une année de plus mais m'a proposé un contrat pour deux années de plus, je dis merci la hiérarchie ! Je n'ai rien à dire sur Laurent Ruquier, je le connais très peu, je lui souhaite beaucoup de bonheur et j'en souhaite surtout, mais ça on le saura dans quelques temps, à ceux qui l'écouteront !".
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