Aurélie Filipetti s'est d'abord exprimée sur les raisons de l'organisation de cet événement : "après les Assises de l’audiovisuel, je voulais que l’on consacre une journée spécifique à la radio souvent négligée dans les discussions".
La ministre n'a pas manqué de souligner qu'il s’agissait de "préparer utilement l’avenir du secteur. Car qu'elles soient associatives, commerciales ou publiques, la radio fait partie de notre paysage démocratique".
Aurélie Filippetti a aussi habilement fait remarquer que "peu de femmes étaient intervenues lors de cette journée".
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"Globalement, la radio est un média en bonne santé" a indiqué la ministre. "Mais je suis consciente de la fragilité de cette économie. Le succès de la radio tient à son étonnante capacité d’adaptation".
La ministre, lors de son discours visant à conclure les premières Assises de la radio, Quai Branly à Paris, a déclaré : "Le FSER en 2014 sera de 28,8 M d'euros, soit seulement de 200 000 euros de moins qu'en 2013. La dotation du FSER reste maintenu à son niveau plein et entier."
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